Le faux 007 d’Abidjan face aux vrais dangers d’Afrique

Une petite histoire d'espionnage qui ne prétend qu'à nous faire découvrir les nouveaux enjeux géopolitiques de la Côte d'Ivoire.
Une petite histoire d'espionnage qui ne prétend qu'à nous faire découvrir les nouveaux enjeux géopolitiques de la Côte d'Ivoire.
Un très court roman noir, le récit d'une fusillade. Une douzaine de personnages dans un bar écrasé de chaleur. Il y aura huit tirs, une quinzaine de balles et très peu de survivants.
Dans ce thriller psychologique, on sait dès le début que cette stupide randonnée dans un parc national de Suède va très mal finir. Mais, bon public, on écoute Anna nous raconter comment tout cela s’est (mal) goupillé et comment les catastrophes sont arrivées l’une après l’autre.
Un SDF et un réfugié kurde vont « adopter » un petit chien. Cette histoire de ménage à trois a tout du conte de Noël charmant mais cache une critique acerbe de notre société de consommation. Des personnages attachants et un scénario plus subtil qu'il n'y paraît.
Plus qu'une autobiographie, Philippe Manevy nous propose une « biographie généalogique » avec l'histoire de ses grands-parents, ouvriers de la soie à Lyon au siècle dernier. Devoir de mémoire.
Lyon, 1930 : le double meurtre d'Écully défraie la chronique de l'époque. Voici l'histoire vraie des deux meurtriers dont l'un était curieusement tatoué : ses mémoires seront reliés « pleine peau » par le docteur Lacassagne, médecin des prisons ...
Entrez ! Entrez dans le cabinet des curiosités !
Portrait de famille recomposée : une mère et ses deux filles fascinées par un beau-père mythomane. Florence Seyvos décortique avec soin et délicatesse les relations subtiles et complexes de ces quatre personnages.
Premier épisode d'une reconstitution minutieuse (et nostalgique) du travail des gardes du corps qui se vouèrent corps et âmes au Général de Gaulle pendant de longues années : un point de vue inédit sur la politique des années 50-60 et les débuts de la Ve République.
Le très beau noir & blanc de Chapouté nous invite au voyage, avec cette petite histoire tranquille et ordinaire. Une invitation à ouvrir notre regard non pas sur un lointain Alaska, mais bien sur le monde qui nous entoure ici et maintenant.
Un Indridason grand cru où l'insupportable Konrad s'obstine encore et toujours à fouiller dans le passé de ses compatriotes pour établir un lien entre des événements antédiluviens qui n'en ont apparemment aucun.
Cet album est un véritable reportage militant pour témoigner de la surpêche le long des côtes atlantiques d'Afrique (ici en Gambie) et des conditions de vie des laissés-pour-compte du développement mondial.
De très beaux dessins et une colorisation grandiose : ce sont les images qui racontent l'histoire. Un court récit, comme une nouvelle, l'histoire d'un homme taiseux et solitaire qui erre comme un fantôme dans les rues d'une ville déserte, hors-saison.
Après Le serpent et le coyote (Le Lombard, 2022), Matz et Xavier reprennent les routes de l'Ouest Américain et revisitent le western au son d'une radio des années 70.
L'album reprend la diatribe écologique qu'était le bouquin de Norek. Plus qu'une alerte, c'est une véritable alarme et qui résonne très fort. Le fond comme le ton sont sans appel : un thriller pré-apocalyptique. Tout comme Caryl Férey, Olivier Norek fait partie de ces écrivains qui aiment adapter leurs romans en albums de bande dessinée. Et on adore ça.
On connaît bien désormais Ian Manook cet écrivain-voyageur, auteur de polars dits « ethniques », qui nous balade depuis une dizaine d’années vers diverses contrées exotiques, depuis la Mongolie de son Yeruldelgger jusqu’au plus récent Krummavisur islandais.
Un western en forme de road-movie, entre un vieux hors-la-loi décati et un jeune orphelin sourd et muet. Une chevauchée qui cache bien des surprises. À commencer par le courrier de Calamity Jane. Au scénario de cet album : Philippe Foerster (né en 1954) qui a fait ses classes à l’école belge aux côtés de Sokal, Schuiten, entre autres, avant de travailler auprès de Gotlib. Au dessin, un autre Philippe, Philippe Berthet (né en 1956) : un « frontalier » qui basculera rapidement du côté belge de la BD.
Une traque pleine de dangers, un « nature-writing » efficace dans le froid et la neige d'une forêt primaire en plein hiver, quand le blizzard souffle une légende indienne ou une fable philosophique.
En 1954, une authentique et véridique affaire de « fuites » va secouer la IVe République avec, au cœur de cette incroyable histoire d’espionnage franco-française : François Mitterrand !
Un road-novel avec des héroïnes que l'on dirait héritières Thelma et Louise. L'Américaine Hannah Deitch vit à Los Angeles et nous offre là son premier roman : Ennemies publiques. Un road-novel emballé et emballant. La traduction de l'anglais (US) est de Cindy Colin-Kapen.
Dominique Forma nous emmène visiter « ses » États-Unis : entre Los Angeles et Las Vegas, un virée déjantée (littéralement) dans les déserts perdus.
Les superbes aquarelles de Krassinsky nous invitent à un beau voyage initiatique en pleine nuit arctique. Un régal pour les yeux et les esprits des vents et des glaces.
Chronique urbaine hyper réaliste : les mémoires d'un vieux chauffeur de taxi de Chicago. Une prose au ras du bitume qui peut rappeler celle de Bukowski.
Une jolie petite surprise, un bijou finement travaillé, qui nous fait nous intéresser à l’histoire de Chypre, cette île mal connue. Constantia Sotiriou est née en 1975, à Nicosie où elle vit toujours. Ledra Palace est son premier roman paru en anglais sous le titre Brandy Sour. C’est le nom du cocktail que le barman de l’hôtel avait réalisé pour le roi Farouk d’Égypte : la boisson ressemblait à du thé glacé, et masquait ainsi les penchants alcoolisés du roi. Le roman est traduit du grec (Chypre) par Nicolas Pallier.
Ambiance série télévisée pour cette enquête sicilienne au pied de l'Etna. Un deuxième épisode des enquêtes de Vanina : une agréable série toujours aussi dépaysante et charmante.
Retour sur l'une des affaires les plus mystérieuses des années 60. Une enquête passionnante, un véritable thriller et un devoir de mémoire indispensable.