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Auteurs et médias dans un procès géant à New York : l’IA de la discorde

Douze actions en justice intentées contre OpenAI et Microsoft pour violation de droits d’auteur ont été regroupées dans le district sud de New York. Ces affaires, jusque-là réparties entre plusieurs États, concernent l’utilisation non autorisée d’œuvres protégées dans le cadre de l’entraînement de modèles d’intelligence artificielle des mastodontes de la tech.

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Des livres piratés dans l'IA de Facebook : les éditeurs tirent à boulets rouges

Rouges d’exaspération, les éditeurs britanniques : la moutarde leur est montée une fois de plus au nez, suite à la parution d’un article de The Atlantic. Ce dernier met en cause l’usage d'oeuvres illégalement diffusées sur LibGen, et dont Meta (maison-mère de Facebook) s’est servi pour alimenter son IA. Encore. Conclusion, la so british Publishers Association fustige ces exaspérantes méthodes de pirates.

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IA : le monde du livre dit non au nouveau code de conduite européen

Dans une déclaration commune publiée le 28 mars 2025, une large coalition d’auteurs, artistes et détenteurs de droits européens exprime sa vive opposition au troisième projet du Code de conduite GPAI de l’AI Act de l’Union Européenne. Selon ces organisations internationales, le texte « compromet les objectifs de l'Acte AI, viole le droit de l'Union européenne et ignore l'intention du législateur européen ».

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IA : au tribunal, Meta invoque le fair use

Outre-Atlantique, le procès contre Meta et son outil d'intelligence artificielle Llama se poursuit. Accusée par un groupe d'auteur, dont Ta-Nehisi Coates et l’humoriste Sarah Silverman, qui lui reprochent d'avoir utilisé des millions de livres piratés pour entraîner ses modèles d’IA, l'entreprise de Mark Zuckerberg brandit l'argument du fair use.

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Meta fait n'importe quoi ? Éditeurs et auteurs français saisissent la justice

Le Syndicat national de l'édition (SNE), la Société des Gens de Lettres (SGDL) et Syndicat National des Auteurs et des Compositeurs (SNAC) assignent le groupe Meta en justice pour « contrefaçon » et « parasitisme économique ». Les organisations d'auteurs et d'éditeurs estiment que le géant de la tech a exploité, sans autorisation des ayants droit, des volumes « colossaux » d'œuvres sous droit.

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