Vous recherchez des moyens sympas et efficaces pour booster les compétences en français de vos enfants ? Vous êtes au bon endroit !

Avec le nombre d’applications et de sites éducatifs qui pullulent sur Internet, il peut être difficile de s’y retrouver. Voici donc un petit guide des meilleures options ludiques et éducatives qui vont vraiment aider vos enfants à s’épanouir en français. 

En utilisant plusieurs outils simultanément, l’apprentissage devient plus complet et efficace. Et le mieux ? Ce sont des outils ludiques qui leur permettent de progresser sans que cela semble être un effort.

La plus complète pour progresser en français : Savio.fr

Une solution très complète et ludique

Vous  cherchez une solution tout-en-un ? Savio.fr est la meilleure option. C’est vraiment le couteau Suisse des outils numériques pour progresser en français. Une web app ludique, bienveillante et dynamique. Cette plateforme couvre tout ce qu’il faut pour maîtriser la langue française, du CE1 à la 6e :  des jeux pédagogiques pour enrichir son vocabulaire et développer la lecture, l’orthographe, la grammaire, la conjugaison. 

Des progrès notables sans efforts 

Avec Savio, suivre les progrès de vos enfants est un jeu d’enfant, et vous pouvez même personnaliser les parcours d’apprentissage. Ils vont adorer, croyez-moi !

Vous faites l’école à la maison et vous avez du mal à trouver des supports qui respectent le programme ? Reposez-vous sur l’expertise de Savio. Les leçons et les exercices de français ont été conçus par des enseignantes de l’Éducation nationale.

Savio est également parfaitement adapté aux familles expatriées : elle permet à vos enfants de maintenir leur niveau de français même s’ils ne sont pas scolarisés dans un système francophone. 

Pour la lecture niveau débutant : Corneille

Débuter la lecture est un grand moment, et Corneille rend ce moment vraiment ludique ! La pratique quotidienne de la lecture est essentielle pour améliorer les compétences en lecture.

Avec des jeux phonétiques et des histoires interactives, vos enfants ne verront pas le temps passer. Ils apprendront à lire sans même s’en rendre compte, grâce à des activités conçues pour captiver leur attention et stimuler leur envie d’apprendre. Les histoires sont riches et existent aussi en support papier pour accompagner l’usage de l’application.

 Pour la belle écriture : Dynamilis

Écrire « proprement », ça s’apprend ! Dynamilis est parfait pour ça. L’application propose des exercices pour améliorer l’écriture cursive, avec des retours immédiats et des progrès visibles. Vos enfants pourront voir comment ils s’améliorent au fil du temps, et vous pourrez être fiers de leurs jolis mots bien formés. 

Les jeux sont loin d’être ennuyeux et l’environnement est très attractif et ludique pour les enfants qui ne se rendront même pas compte qu’ils sont en train de se muscler et d’affiner leur écriture. 

C’est la force de Dynamilis qui s’adapte parfaitement aux exigences de chaque pays également (car on n’écrit pas de la même manière au Québec, qu’en Angleterre ou en France !).

Pour booster la lecture : Lalilo

Lalilo, c’est la solution idéale pour transformer les petits lecteurs en grands dévoreurs de livres. Avec des activités de compréhension, de fluence et de vocabulaire, adaptées au niveau de chaque enfant, Lalilo fait de la lecture une aventure passionnante. Plus ils pratiquent, plus ils progressent !

Spécial enfants Dys : Dyspositif

Les enfants atteints de troubles spécifiques des apprentissages tels que la dyslexie ont aussi droit à des outils adaptés. Dyspositif est conçu pour eux, avec des polices spéciales, des couleurs adaptées et plein de supports multimédia pour rendre la lecture et l’écriture plus accessibles. Une vraie bouée de sauvetage pour les parents et une source de confiance pour les enfants !

Pour aller plus en profondeur sur certains sujets

Lilote pour encourager à lire des vrais livres

Cette application permet d’encourager les enfants à la lecture grâce à un système ingénieux de quizz. Comment ça fonctionne ? On lit un livre à la maison ou à la bibliothèque et ensuite, on va sur Lilote pour répondre à un quizz et s’assurer qu’on a bien compris le livre. Il y a plus de 19 000 quizz et des nouveaux chaque semaine. L’efficacité de cette approche a été prouvée particulièrement pour ceux qui étaient “petits compreneurs”.

 Projet Voltaire pour améliorer son orthographe

Les services de projet Voltaire se focalisent sur l’amélioration de l’orthographe. Il y en a pour tout le monde (adultes, enfants, écoles, professionnels, etc.). Le programme permet d’accéder à des exercices et des entraînements adaptés au niveau scolaire et au programme de l’éducation nationale.

Avec ces outils, vos enfants vont non seulement progresser en français, mais ils vont aussi aimer ça. Et rien n’est plus satisfaisant que de voir ses enfants s’épanouir tout en s’amusant. Alors, prêts à tester ?

Cet article Comment aider les enfants à faire des révisions français grâce aux outils numériques est apparu en premier sur App-enfant.

À l’ère numérique, les applications éducatives jouent un rôle crucial dans le développement des enfants. Pour les enfants âgés de 8 à 12 ans, ces applications peuvent enrichir l’apprentissage, renforcer les compétences académiques et stimuler la curiosité. Mais avec la multitude d’options disponibles, il peut être difficile de choisir les meilleures. Cet article présente une sélection des meilleures applications éducatives, avec un focus particulier sur les éditeurs européens et français, basées sur des critères tels que la pertinence académique, l’engagement, et la compatibilité avec les programmes scolaires. Nous incluons également des retours d’utilisateurs pour offrir une perspective pratique.

À noter : L’intelligence artificielle a été utilisée pour générer les images qui illustrent cet article

Khan Academy Kids

Description : Khan Academy Kids est une plateforme complète qui offre des leçons en mathématiques, sciences, et arts. Grâce à des vidéos interactives et des quiz, elle rend l’apprentissage ludique et engageant.

Avantages :

• Contenu gratuit
• Adapté aux programmes scolaires
• Interface intuitive

Retour d’utilisateur : « Mes enfants adorent les vidéos interactives. Elles rendent les mathématiques et les sciences vraiment intéressantes. » – Sophie, maman de deux enfants

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Duolingo

Description : Duolingo propose une méthode amusante pour apprendre des langues étrangères à travers des jeux et des leçons interactives. Les enfants peuvent choisir parmi une large gamme de langues.

Avantages :

• Méthode gamifiée
• Suivi des progrès
• Large choix de langues

Retour d’utilisateur : « Duolingo a transformé l’apprentissage des langues pour mes enfants. Ils sont toujours impatients de gagner des points et de progresser. » – Julien, père de trois enfants

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ScratchJr

Description : ScratchJr initie les enfants à la programmation, leur permettant de créer des histoires interactives et des jeux. C’est une excellente introduction aux concepts de codage.

Avantages :

• Encourage la créativité
• Développe des compétences en logique
• Interface adaptée aux jeunes enfants

Retour d’utilisateur : « Voir mes enfants créer leurs propres jeux est incroyable. ScratchJr les aide vraiment à comprendre la logique de la programmation. » – Marie, maman d’un enfant

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BrainPOP

Description : BrainPOP propose des vidéos éducatives et des quiz couvrant une large gamme de sujets, y compris les sciences et l’histoire. Son contenu est à la fois éducatif et divertissant.

Avantages :

• Contenu varié
• Adapté au programme scolaire
• Éducatif et divertissant

Retour d’utilisateur : « BrainPOP rend les sujets difficiles beaucoup plus accessibles et intéressants pour mes enfants. Les vidéos sont géniales. » – Lucas, père de deux enfants

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Prodigy Math Game

Description : Prodigy Math Game est un jeu en ligne où les enfants résolvent des problèmes mathématiques pour progresser dans le jeu. C’est une façon motivante d’apprendre les mathématiques.

Avantages :

• Motivant
• Basé sur le programme scolaire
• Suivi des progrès

Retour d’utilisateur : « Prodigy a fait aimer les mathématiques à mon fils. Il adore jouer tout en apprenant. » – Claire, maman d’un enfant

Découvrir Prodigy Math Game

Nomad Education

Description : Nomad Education est une application française offrant des révisions complètes pour les élèves du primaire jusqu’au lycée. Elle couvre une large gamme de matières avec des quiz et des fiches de révision.

Avantages :

• Contenu conforme aux programmes français
• Interface claire et conviviale
• Suivi personnalisé des progrès

Retour d’utilisateur : « Une excellente ressource pour les révisions. Mon fils a amélioré ses notes grâce à Nomad Education. » – Sophie, maman d’un élève de CM2

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Pili Pop

Description : Pili Pop est une application française qui aide les enfants à apprendre l’anglais et l’espagnol à travers des activités ludiques et interactives.

Avantages :

• Méthode immersive
• Jeux amusants et éducatifs
• Conçu spécifiquement pour les enfants

Retour d’utilisateur : « Mes enfants adorent apprendre l’anglais avec Pili Pop. Les jeux sont très amusants et éducatifs. » – Laura, maman de deux enfants

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Bayam

Description : Bayam propose un large éventail de contenus éducatifs et ludiques, allant des vidéos aux jeux interactifs, pour les enfants de 3 à 11 ans. C’est une application créée par Bayard Presse, un éditeur français renommé.

Avantages :

• Contenu diversifié
• Interface adaptée aux enfants
• Contenu sécurisé et sans publicité

Retour d’utilisateur : « Bayam est parfait pour mes enfants. Ils peuvent apprendre et s’amuser en toute sécurité. » – Marc, père de deux enfants

Découvrir Bayam

Edoki Academy

Description : Edoki Academy propose des applications éducatives basées sur la méthode Montessori. Les enfants peuvent développer leurs compétences en mathématiques, en lecture, et plus encore.

Avantages :

• Basé sur la méthode Montessori
• Contenu interactif et engageant
• Développe l’autonomie et la curiosité

Retour d’utilisateur : « Les applications d’Edoki Academy sont fantastiques. Ma fille adore apprendre avec elles. » – Nathalie, maman d’une enfant de 9 ans

Découvrir Edoki Academy

Comment cadrer l’usage des applications éducatives ?

Intégrer les Applications dans la Routine Éducative

Pour maximiser l’impact éducatif de ces applications, les parents peuvent :

• Planifier des sessions régulières : Définir des moments spécifiques pour utiliser ces applications peut aider à créer une routine d’apprentissage.
• Combiner avec l’apprentissage traditionnel : Utiliser ces applications en complément des devoirs scolaires peut renforcer les compétences académiques.
• Encourager l’autonomie : Permettre aux enfants de choisir les applications qu’ils préfèrent peut augmenter leur engagement.

Conseils pour les Parents

• Surveiller les progrès : Utiliser les fonctionnalités de suivi des applications pour suivre les progrès de l’enfant.
• Équilibrer temps d’écran et activités physiques : Assurer un bon équilibre entre l’apprentissage numérique et les activités physiques.
• Participer activement : Les parents peuvent s’impliquer en utilisant les applications avec leurs enfants pour rendre l’expérience plus interactive.

Conclusion

Les applications éducatives comme Khan Academy Kids, Duolingo, ScratchJr, BrainPOP, Prodigy Math Game, Nomad Education, Pili Pop, Bayam, et Edoki Academy sont des outils fantastiques pour enrichir l’apprentissage des enfants de 8 à 12 ans. Elles offrent une gamme variée de contenus éducatifs tout en rendant l’apprentissage amusant et engageant. N’hésitez pas à partager cet article sur les réseaux sociaux et à laisser vos commentaires sur vos expériences avec ces applications !

En utilisant ces ressources, les parents peuvent non seulement soutenir le développement éducatif de leurs enfants, mais aussi leur inculquer une passion pour l’apprentissage qui durera toute leur vie. Profitez de ces applications et voyez vos enfants s’épanouir dans leur parcours éducatif.

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Gestion des temps d’écran : faites ce que je dis, pas ce que je fais

Il n’y a rien qui nous agace plus que les débats manichéens autour des écrans. 

Pour ou contre. 

Interdire.

Contrôler. 

Les intentions du gouvernement de vouloir éradiquer les fléaux liés aux écrans – de l’impact sur le développement au cyber harcèlement – est plus que louable. Le problème est réel.

Mais le problème est que la reprise des médias tend à mettre en avant les interdictions alors que l’essence même des recommandations est orientée vers l’éducation des parents.

Cependant,  quand on s’attaque à un vrai problème, il faut aussi réfléchir à des solutions qui peuvent s’appliquer. 

Forcément, si on nous interdit quelque chose, notre esprit humain est tenté de se rebeller, de refuser cet affront. L’éducation est de l’ordre de l’intime et le libre-arbitre prévaut (excluant les violences bien entendu). C’est d’autant plus vrai qu’interdire quelque chose qui est à disposition est complètement absurde.

Imaginez que demain on interdise les boissons à base de Cola pour les enfants. Cependant elles restent vendues à tout un chacun. Comment s’assurer qu’au sein des foyers, personne n’en consomme ? C’est impossible. 

Vous me direz, les cigarettes et l’alcool sont à disposition aussi et on peut penser qu’on n’a pas à s’inquiéter qu’un parent fasse tirer une taffe à son enfant. Rappelez vous qu’il y encore 30 ans, on fumait librement à côté des bébés ou dans les voitures avec les fenêtres fermées et des enfants en bas-âge embarqués. Des années plus tard, on a éradiqué le fléau de la consommation passive grâce à une combinaison de 2 éléments:

• L’éducation
• Le cadre légal

C’est donc important de comprendre qu’il faut un minimum de cadre légal pour pouvoir aboutir à une action massive et collective mais que l’éducation est essentielle pour comprendre le sens de ces interdictions et se les approprier.

Revenons à nos écrans pour bien comprendre les recommandations qui ont été faites au gouvernement

Pour rappel, cette commission d’experts nommée par Emmanuel Macron a rendu fin Avril un rapport intitulé  « À la recherche du temps perdu » sur l’impact de l’exposition des jeunes aux écrans.

La première partie du rapport s’applique à comprendre quels sont les impacts réels des écrans sur nos enfants.

Ce que dit le rapport sur l’impact des écrans sur nos enfants

La première partie du rapport s’applique à résumer les risques liés à l’exposition aux écrans dès l’enfance.

Les risques pour la santé physique

L’usage excessif d’écran présente un risque pour la santé physique

Les recherches montrent que l’usage excessif des écrans peut entraîner des déficits de sommeil, une sédentarité accrue, et par conséquent, une augmentation du risque d’obésité chez les enfants et adolescents. Ces problèmes sont particulièrement préoccupants dès le plus jeune âge, mais s’accentuent à mesure que les enfants grandissent et passent plus de temps sur les écrans, en particulier les adolescents.

Les risques d’impact sur la vision existe aussi

L’exposition prolongée à la lumière bleue des écrans peut contribuer au développement de la myopie chez les enfants, un risque qui augmente avec le nombre d’heures passées devant un écran, en particulier chez les enfants de moins de 12 ans.

Les risques liés au développement cognitif

Les risques cognitifs sur les jeunes enfants sont réels

Les écrans peuvent nuire au développement cognitif et émotionnel des jeunes enfants. Une vigilance est recommandée pour les enfants les plus jeunes, idéalement jusqu’à l’âge de 4 ans, car la « technoférence », c’est-à-dire l’interférence de la technologie dans les interactions quotidiennes, peut altérer la qualité et la quantité des interactions parent-enfant nécessaires pour un développement socio-émotionnel et linguistique sain.

C’est donc le temps d’écran qui est en cause ici

Les réseaux sociaux sont un facteur aggravant pour la santé mentale:

Les réseaux sociaux peuvent aggraver des conditions préexistantes telles que la dépression et l’anxiété chez les adolescents. Ces plateformes, par leurs mécanismes de feedback et de comparaison sociale, peuvent être particulièrement impactantes pour les adolescents, en exacerbant les sentiments d’insuffisance et de solitude.

L’exposition à des contenus et sites web inappropriés

Ces risques liés aux contenus non régulés. Les enfants et adolescents ayant un accès facile et non supervisé aux écrans peuvent être exposés à des contenus inappropriés, tels que la violence extrême et la pornographie. Ces expositions peuvent être traumatisantes et ont des implications à long terme sur leur santé mentale et leur développement psychologique, particulièrement pour les préadolescents et adolescents. 

Les impacts sociétaux avec l’influence des stéréotypes

Les écrans peuvent renforcer les stéréotypes de genre et sociaux par les médias et jeux vidéo. Ces influences peuvent façonner la perception que les jeunes ont de la société et d’eux-mêmes, en particulier chez les enfants en âge scolaire (6-12 ans) qui commencent à former leur identité sociale.

Les stratégies pour l’avenir entre régulation et accompagnement

La nécessité d’élaborer des stratégies pour réguler l’utilisation des écrans, améliorer la qualité des contenus accessibles aux mineurs, et renforcer l’accompagnement parental et éducatif dans l’utilisation des technologies numériques. Ces mesures sont essentielles pour toutes les tranches d’âge mais doivent être adaptées spécifiquement pour les adolescents qui sont les plus susceptibles d’utiliser les écrans de manière autonome.

Les changements recommandés dans le nouveau rapport de la commission d’experts 2024

Suite à cette analyse, le rapport recommande un série de renforcements de la régulation et de changements qui sont résumés ci-dessous mettant en évidence la différence avec ce qui était précédemment en place.

Pour les enfants de moins de 3 ans : l’absence d’écran à privilégier

• Avant : pas d’écrans recommandés pour éviter les retards de développement et privilégier les interactions humaines.
• Recommandation du rapport 2024 : l’accent est également mis sur l’absence d’écrans, mais avec une recommandation d’un usage très modéré et accompagné si utilisé, orienté principalement vers des interactions récréatives et éducatives.

Pour les enfants de 3 à 8 ans : plus de rigueur sur les temps d’écran et les moments d’usages

• Avant : limitation à des sessions courtes et régulées, principalement pour des contenus éducatifs et éviter les périodes près du coucher.
• Recommandation du rapport 2024 : insistance sur une utilisation ritualisée et limitée, avec une planification qui apprend à l’enfant à attendre et à gérer son temps d’écran, également à distance du coucher.

 Pour les enfants de 8 à 12 ans : attention au téléphones portables

• Avant : accompagnement dans la découverte des écrans avec un dialogue ouvert sur leur utilisation et les contenus appropriés.
• Recommandation du rapport 2024: un dialogue positif continu sur l’utilisation des écrans, avec surveillance des signes de troubles du sommeil ou de l’isolement social.

Pour les adolescents (12 ans et plus) : gérer les réseaux sociaux et le cyber-harcèlement

• Avant:  encouragement à une utilisation responsable avec supervision parentale, surtout concernant l’accès aux réseaux sociaux.
• Recommandation du rapport 2024: Des restrictions plus strictes avec l’introduction de téléphones sans accès Internet jusqu’à 11 ans et pas de réseaux sociaux jusqu’à 15 ans, pour protéger les jeunes des impacts négatifs de l’exposition précoce.

L’approche générale : être plus stricte et plus structuré

• Avant: une approche plus flexible qui met l’accent sur l’éducation et le contrôle parental.
• Recommandation du rapport 2024: recommandations plus strictes et structurées avec des jalons d’âge précis pour l’introduction de différentes fonctionnalités technologiques.

L’avis app-enfant sur ces recommandations de gestion des écrans

Ce que ce rapport met en avant n’est pas nouveau et la sonnette d’alarme tirée par les experts est justifiée. Cependant cela manque d’outils concrets pour une mise en place efficace :

Les temps d’écran limités et accompagnés chez les tout-petits

Pour les petits ce qu’il faut éradiquer, c’est le tout-écran. Là encore c’est l’éducation qui doit prévaloir : il faut massivement éduquer au fait que ce n’est pas l’écran en soi qui est le souci principal mais le fait qu’il remplace des activités essentielles au développement de l’enfant. Il faut laisser l’enfant manipuler en 3D, se dépenser, échanger avec des vrais êtres humains. L’objectif ici est de ne plus se retrouver avec des enfants qui restent devant un écran trop de temps.

Est-ce réaliste de penser que les efforts d’éducation seront payants ? C’est tout à fait possible. Pour faire le parallèle, en Inde on a réussi à éradiquer les décès des enfants liés à la déshydratation suite à une diarrhée grâce à des campagnes massives de communication. Le problème était simple : la plupart des parents constatants que les enfants faisaient de selles liquides ne donnaient pas d’eau à boire à leurs enfants. La logique étant qu’on ne remet de l’eau dans un seau troué…. Il a donc fallu éduquer les populations et mettre à disposition des solutions de réhydratation. Aujourd’hui ces décès sont rares.

Instaurer plus de rigueur pour les 3 – 8 ans

Dans le cas des enfants plus grands, la rigueur s’impose : cadrer les temps d’écran et choisir les types de contenus (applis, sites web, appareils, etc.). On évite donc les usages à des moments précis : au réveil, au moment de se coucher et au moment des repas. On ritualise. On privilégie les grands écrans et les apps éducatives. En revanche, il est important qu’il puisse y avoir des indications plus claires sur les types de contenus (par exemple différents labels concernant le contenu éducatif, les âges, le temps moyen à passer sur le jeu, etc.). Cela permettra un choix plus éduqué et du temps passé devant les écrans qui soit plus qualitatif.

Retarder l’accès au smartphone et aux réseaux sociaux

Là encore, c’est un enjeu de taille. Permettre à un enfant de posséder un téléphone portable trop jeune c’est comme donner les clés d’une voiture à un jeune qui n’a pas le permis. La norme sociale ne justifie pas l’accès au téléphone ou aux réseaux sociaux : ce n’est pas parce que les copains ont un téléphone qu’il faut en offrir un à son enfant. Ce n’est pas parce que les copains sont sur Tik Tok, qu’il faut leur.

C’est un leurre de penser qu’il sera isolé s’il n’en a pas. Finalement un enfant qui a un smarphone va passer plus de temps sur son écran mais cela va aussi créer plus d’anxiété envers les parents qui auront tendance à être plus vigilants (par exemple de la géo-localisation ou des contrôles parentaux).

Autoriser son enfant à ne pas avoir de téléphone portable, c’est un peu comme lui montrer qu’on a beaucoup plus confiance en lui !

Il est possible que cet argument ne fasse pas mouche auprès de votre préado qui attend son iphone mais dans les faits, c’est réel !

Aider les jeunes à créer un climat de confiance en anticipant au maximum

En réalité, ce qui compte avec les plus grands, c’est le dialogue.

Prévenir, plutôt que guérir.

Accompagner plutôt qu’interdire.

Dans les faits, il s’agit de les prévenir qu’ils peuvent se retrouver exposés à des contenus inappropriés et leur donner la possibilité d’en parler, en les déculpabilisant. Leur expliquer les risques d’addictions et les impacts pour leur santé. Leur indiquer combien de temps ils peuvent rester ou donner des règles indicatives.

Il s’agit ici de leur donner des repères car trop souvent on pense que le contrôle parental sera suffisant pour s’auto-réguler mais les enfants ont rarement suffisamment de recul pour arriver à faire ce travail seul. Il faut aussi leur laisser faire des erreurs, contrôler de temps en temps mais avant tout créer un climat de confiance autour de cet usage.

Zéro tolérance sur le cyber harcèlement

Dernier point essentiel : il est important ne laisser aucune place au cyber harcèlement. Cela commence par un cadre légal fort et contraignant. Il n’est possible de laisser cette haine se propager sans répercussion. C’est là que des efforts doivent être collectifs : autorités, école, parents, professeurs,… Tout le monde doit s’aligner pour ne laisser rien passer sur ce sujet.

Nous espérons que cet article aura pu vous aider à éclairer la compréhension de ce rapport. N’hésitez pas à donner votre point de vue en commentaire.

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Connaître toutes les manières de détourner le contrôle parental AVANT vos enfants

Ceci est l’article que vous attendiez. On aimerait penser que l’on est à l’abri de tous les dangers que on met en place un contrôle parental pour nos enfants et nos adolescents. Mais que nenni ! Non seulement il faut tout de même avoir des conversations en amont avec eux sur les risques (au cas où) mais il faut aussi savoir que ces petits malins savent déjouer le système.

Cet article vous permettra d’avoir une longueur d’avance sur vos enfants ! (Chuuuuuttttt ! C’est un secret !)

En termes de contrôle parental, mieux vaut prévenir que guérir

Parler de risques en amont

C’est important de parler des risques avec vos enfants et des les protéger des contenus inappropriés. On ne peut pas se protéger d’un danger qu’on ne connait pas. On peut le faire en utilisant des mots simples et surtout en déculpabilisant les enfants : les contenus inappropriés viennent à eux souvent plus qu’ils ne vont les chercher. Ils ne doivent donc pas avoir honte de vous en parler ou avoir l’impression qu’ils ont fait une bêtise. S’ils ont été exposé à des contenus qui ne sont pas adaptés à leur âge vous pouvez trouver des conseils sur la manière d’aborder ce sujet avec eux dans cet article. 

Parler des limites que vous allez paramétrer avec les contrôle parental

Il est évident que si vous souhaitez utiliser un contrôle parental vous allez le paramétrer en expliquant aux enfants ce que vous aller contrôler et surveiller. C’est important qu’ils sachent ce que vous surveillez et c’est une marque de confiance qui aidera à réduire les abus ou à dédramatiser d’éventuels abus.

Continuez de jeter un oeil de temps en temps sur l’activité des enfants avec les écrans

Quoi qu’il arrive, il faut continuer de surveiller et d’être vigilant pour savoir ce que les enfants font avec les écrans. ou même savoir s’ils sont victimes de cyber-harcèlement. Surveillez également d’autres éléments dans leur comportement comme leurs habitudes alimentaires, leur sommeil ou leurs comportements sociaux et familiaux.

Vous pouvez consulter notre article qui vous guidera sur l‘usage des contrôles parentaux avec une sélection des meilleurs systèmes à tester et à utiliser.

Comment les enfants nous arnaquent en contournant les contrôles parentaux ?

1. Utilisation de VPN (Réseau Privé Virtuel)

Les VPN permettent de masquer l’adresse IP d’un utilisateur et de contourner ainsi les restrictions géographiques et les filtres de contenu. En utilisant un VPN, un enfant peut accéder à des sites web et des services en ligne bloqués par les paramètres de contrôle parental. Cela leur permet de naviguer sur Internet sans surveillance ni restrictions.

2. Modification de l’Horloge Système

Une méthode simple mais efficace que les enfants utilisent est de modifier l’heure et la date sur leur appareil. De nombreux contrôles parentaux utilisent des paramètres basés sur le temps pour restreindre l’accès à des appareils ou à des contenus pendant certaines heures. En ajustant l’horloge système, les enfants peuvent prétendre être dans un créneau horaire permis et ainsi déjouer ces restrictions.

3. Utilisation de modes incognito ou privés

Les navigateurs modernes offrent des modes « incognito » ou « privé » qui ne stockent pas l’historique de navigation, les cookies, ou les données de session. Les enfants peuvent utiliser ces modes pour éviter que leur activité en ligne soit enregistrée. Cela rend plus difficile pour les parents de suivre les sites qu’ils ont visités.

4. Création de comptes d’utilisateur alternatifs

Les enfants peuvent créer des profils d’utilisateur alternatifs sur leurs appareils ou des comptes sur des plateformes en ligne qui échappent à la surveillance des contrôles parentaux. Ces comptes peuvent ne pas être soumis aux mêmes restrictions ou surveillances que leurs comptes principaux.

5. Utilisation de Proxies Web

Semblable à l’utilisation de VPN, les proxies web permettent aux enfants de naviguer sur Internet via un serveur intermédiaire. Cela masque leur activité en ligne réelle des contrôles parentaux, leur permettant d’accéder à des contenus autrement bloqués.

6. Installation d’applications de messagerie alternatives

Les enfants peuvent télécharger des applications de messagerie qui ne sont pas surveillées ou contrôlées par les outils de contrôle parental standard. Ces applications peuvent inclure : des fonctionnalités de messagerie cryptée ou anonyme, rendant plus difficile pour les parents de surveiller avec qui leurs enfants communiquent.

7. Utilisation de dispositifs de stockage externes

Les enfants peuvent utiliser des dispositifs de stockage externes, tels que des clés USB ou des disques durs externes, pour contourner les restrictions de contenu. Ils peuvent charger des médias ou des applications sur ces dispositifs et les visionner ou les utiliser sur leur appareil principal sans être détectés.

Conclusion

Comprendre ces méthodes de contournement est crucial pour les parents qui cherchent à maintenir un environnement numérique sûr pour leurs enfants. Cela souligne l’importance d’une approche équilibrée qui combine l’utilisation de contrôles parentaux technologiques et une communication ouverte et honnête avec les enfants au sujet de la sécurité en ligne et des comportements responsables.

Nous avons bien conscience que les enfants aussi liront cet article (c’est un peu comme un cambrioleur à qui tu donnes des techniques de vol) mais nous pensons que les parents sauront quoi faire de cette information

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La mode des petits jeux en réseaux chez les ados

Peut-être avez-vous surpris votre ado jouer à des petits jeux innocents sur leur téléphone ? Rien de très inquiétant mais ils semblent quand même très accros… Alors, faut-il s’inquiéter ? On se concentre sur l’effet « Brawl Star » , un jeu qui a de plus en plus de succès auprès de 8-14 ans. Mais ça marche aussi pour les jeux comme Battle Royale.

C’est quoi Brawl Stars ?

Dans le paysage en constante évolution des jeux vidéo, il n’est pas rare pour les parents de se poser des questions sur les choix de divertissement de leurs enfants. L’un des jeux qui suscite souvent des interrogations est Brawl Stars, une création de Supercell qui a captivé des millions de joueurs à travers le monde. Avec son mélange unique de combat en équipe, de graphismes colorés et de personnages attachants, Brawl Stars est devenu un phénomène de la culture populaire, surtout parmi les jeunes. Mais cela soulève la question : devrions-nous nous inquiéter si nos enfants passent beaucoup de temps à jouer à ce jeu ?

Tout d’abord, il est important de comprendre ce qu’est Brawl Stars. Il s’agit d’un jeu de combat en arène où les joueurs contrôlent divers personnages, appelés « Brawlers », et s’affrontent dans des matchs courts et intenses. Les mécanismes de jeu sont relativement simples, ce qui le rend accessible même aux jeunes enfants. De plus, le jeu est conçu pour être compétitif, avec différents modes de jeu qui encouragent la coopération et la stratégie en équipe.

Pourquoi jouer à Brawl Stars peut-il être préoccupant pour les parents ?

Brawl Star : un jeu addictif

Maintenant, abordons les préoccupations potentielles que les parents pourraient avoir concernant Brawl Stars. Tout d’abord, il y a la question du temps passé devant l’écran. Comme pour tout jeu vidéo, il est important de surveiller et de limiter le temps que les enfants passent à jouer.

On ne reviendra pas sur les conséquences du temps  du temps excessif passé sur les écrans comme des effets néfastes sur la santé mentale et physique, y compris la fatigue oculaire, le manque d’exercice et la diminution du temps passé à interagir avec la famille et les amis dans le monde réel. C’est comme toutes les addictions, il faut pouvoir trouver les limites.

Brawl star : un contenu adapté aux enfants ?

Ensuite, il y a la question du contenu du jeu. Bien que Brawl Stars soit généralement considéré comme approprié pour les enfants plus âgés, certains parents peuvent être préoccupés par les aspects compétitifs et violents du jeu. Les combats entre les personnages, bien que stylisés et animés de manière cartoon, impliquent toujours des éléments de violence. Cependant, il est important de noter que Brawl Stars est classé PEGI 7 (conseillé pour les enfants de 7 ans et plus), ce qui signifie qu’il est considéré comme adapté à un jeune public par l’organisme de classification européen.

Brawl star : cela reste un jeu en ligne, il faut donc être prudent

Enfin, il y a la question des interactions en ligne. Comme de nombreux jeux multijoueurs, Brawl Stars permet aux joueurs de communiquer les uns avec les autres via un chat en ligne. Bien que ce chat soit généralement modéré et soumis à des filtres de langage, il existe toujours un risque que les enfants soient exposés à des discours inappropriés ou à des interactions potentiellement dangereuses avec d’autres joueurs en ligne.

Que faire en tant que parent pour accompagner les enfants ?

Alors, que devraient faire les parents qui se demandent s’ils doivent s’inquiéter du fait que leur enfant joue à Brawl Stars ? Tout d’abord, il est important d’instaurer des limites claires en ce qui concerne le temps d’écran et de s’assurer que le jeu n’interfère pas avec les responsabilités scolaires, sociales et familiales de l’enfant. Deuxièmement, les parents devraient jouer au jeu eux-mêmes ou au moins se renseigner sur son contenu pour mieux comprendre ce à quoi leurs enfants sont exposés. Enfin, les parents devraient avoir des conversations ouvertes et honnêtes avec leurs enfants sur les aspects du jeu qui pourraient être préoccupants, comme la violence ou les interactions en ligne, et les encourager à signaler tout comportement inapproprié qu’ils pourraient rencontrer en ligne.

En conclusion, bien que Brawl Stars puisse être un jeu divertissant et engageant pour les enfants, il est important pour les parents de rester conscients des aspects potentiels qui pourraient susciter des préoccupations. En instaurant des limites appropriées, en surveillant le contenu et les interactions en ligne, et en ayant des conversations ouvertes avec leurs enfants, les parents peuvent aider à garantir que l’expérience de jeu de leurs enfants reste sûre, saine et équilibrée.

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Les médiathèques vous présentent leur tout nouvel Agenda culturel, une édition bimestrielle qui regroupe nos événements à ne pas manquer !

>> Découvrir l’agenda novembre/décembre 2024.

Ce nouvel outil vous permet d’accéder en un coup d’oeil à tous les rendez-vous réguliers et les événements destinés à un large public, aussi bien pour les adultes que pour les familles. Vous y trouverez une grande variété d’événements culturels : des conférences, rencontres, ateliers créatifs, séances de jeux, projections, expositions, et bien plus encore.

Ce livret vient compléter l’agenda “Tout pour la jeunesse”, déjà disponible pour le jeune public.

L’agenda reprend la même structure que l’agenda en ligne, pour une navigation facile, avec en plus au début une rubrique consacrés aux rendez-vous réguliers ou récurrents des médiathèques.

Disponible dans toutes vos médiathèques et dans quelques points ciblés de Villeurbanne, découvrez ce tout nouvel outil pour planifier vos sorties et enrichir votre quotidien !

Et, pour être sûr de ne rien manquer de notre programmation, inscrivez-vous à notre newsletter !

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samedi 28 septembre, médiathèques de Villeurbanne

Les 28 et 29 septembre 2024, sont lancées « Biblis en folie », les premières journées nationales dédiées aux bibliothèques et aux médiathèques. Une belle occasion pour venir (re)découvrir les médiathèques de Villeurbanne et profiter de leur programmation !

Retrouvez dans l’agenda l’ensemble de nos animations du samedi 28 septembre : troc de plantes, séance puzzle, atelier numérique, exposition, contes, séance photo… Il se passe toujours quelque chose dans les médiathèque et c’est gratuit !

Gros plan sur…

Avec 15 500 équipements répartis sur l’ensemble du territoire, les bibliothèques, médiathèques et autres points de lecture forment le réseau culturel le plus dense en France. 

Ouvertes à toutes et à tous en libre accès, elles proposent une multiplicité d’activités et de services souvent méconnus, au croisement entre savoir et divertissement. Lieux de rencontres intergénérationnels, elles jouent un rôle de premier plan dans la compréhension des enjeux contemporains et la défense des valeurs démocratiques.

« Biblis en folie » met la lumière sur un service public culturel essentiel et vise à renforcer le lien entre les bibliothèques et leur public et à promouvoir l’engagement de celles et ceux qui les font vivre au quotidien. 

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La Fête de la Science est le rendez-vous incontournable qui célèbre les sciences, les techniques et les innovations. Pour sa 33e édition, l’océan est à l’honneur, mais les autres domaines scientifiques sont également célébrés.

Les médiathèques de Villeurbanne préparent pour l’occasion deux samedis riches en activités scientifiques, pour tous les publics !

Samedi 5 octobre, l’association La Fresque océane nous sensibilise aux enjeux liés à l’océan et aux impacts de nos activités, afin de donner des clés pour agir, à travers un atelier ludique et collaboratif à la mlis le matin puis une masterclass au Rize l’après-midi. Pour les plus jeunes, deux ateliers sur la chimie des océans à la médiathèque du Tonkin permettent également de mieux comprendre cet écosystème fascinant.

Samedi 12 octobre, on poursuit nos explorations océanes à travers les jeux vidéo à la mlis. Puis, on prend le large de la thématique marine pour un atelier codage au Rize et un rendez-vous contes sur les mathématique au Tonkin.

Larguez les amarres et inscrivez-vous vite pour ces moments de découverte !

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L’été arrive et avec lui une farandole d’activités ludiques, culturelles et sportives, pour profiter pleinement de la belle saison à Villeurbanne. Avec Vivez l’été, du 6 juillet au 31 août, il y en a pour tous les goûts et pour tous les âges !

Et avec les médiathèques aussi… Tout l’été, retrouvez des animations sur place et en extérieur !

Au programme, retrouvez cet été encore :

• • • • les Lectures sous les arbres, pour partager le plaisir des mots en famille
      • de nombreux ateliers et séances de jeux intergénérationnels
      • L’art en vitrine : le parcours d’art contemporain dans les commerces du centre-ville
      • les Cinés de l’été au Rize

Et en plus, cette année, des apéros (apéro lecture à voix haute ou apéro quiz terroir), des projections (Heure bleue, Ciné citronnade et en plein air Kiki la petite sorcière), une sieste sonore et de nombreuses autres activités… Pour les découvrir toutes, rendez-vous sur l’agenda des médiathèques ou cliquez ici pour les visualiser en pdf.

En bonus, installez-vous confortablement à la Maison du livre, de l’image et du son dans un espace dédié à l’été et au farniente… La Mlis et le Rize restent ouverts (presque) tout l’été pour vous offrir une bulle de fraîcheur (dates de fermeture et horaires à retrouver sur la page suivante).

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Du mercredi 29 mai au samedi 15 juin, les médiathèques de Villeurbanne, en écho à l’exposition Plurielles, les femmes font Villeurbanne au Rize, souhaitent mettre en avant les femmes d’hier et d’aujourd’hui.

Tout autant que les femmes sont plurielles, elles sont singulières. Chacune a son caractère, sa force, ses goûts, son identité : chacune a sa place dans la société.

Spectacles, jeux, lectures et ateliers permettent d’aborder ce thème, avec un focus autour des femmes et de la bande-dessinée, en lien avec Lyon BD Festival.

Quelques temps forts : 

spectacle : À quoi tu joues ? par la compagnie Collectif 36
Maison du livre, de l’image et du son 
mercredi 29 mai à 16h
sur inscription

lecture-concert : Nous sommes la pluie sur le sol nu
Maison du livre, de l’image et du son
vendredi 31 mai à 19h

atelier : Broche-amulette, pouvoir des femmes
médiathèque du Tonkin 
vendredi 7 juin à 16h et samedi 8 juin à 15h (atelier en 2 séances)
sur inscription

jeu vidéo : Rencontre avec les créatrices de Blind Frontiers
Maison du livre, de l’image et du son 
samedi 8 juin à 14h
sur inscription

exposition : Pucelle : dessiner pour révéler
Maison du livre, de l’image et du son 
du samedi 8 juin au samedi 29 juin

> Retrouvez le programme complet dans l’agenda avec le filtre “Singulières” dans “Type d’évènement” ou en cliquant ici.

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mercredi 29 mai, de 10h à 21h, Mairie de Villeurbanne

Mercredi 29 mai, la mairie de Villeurbanne devient un immense terrain de jeux… Un évènement gratuit et tout public, autour du jeu sous toutes ses formes. Ambiance ludique et festive garantie !

À cette occasion, les médiathèques vous proposent de jouer à la console Switch dès 8 ans (Boomerang fu et Everybody 1-2-Switch), en continu toute la journée. Seul, en famille, entre amis, venez retrouvez vos animateurs multimédia !

Besoin d’une petite pause après vous être bien dépensé sur console ? Inscrivez-vous pour le spectacle À quoi tu joues ?, dès 6 ans, à 16h à la Maison du livre.

Et si vous n’êtes pas disponible ce jour-là, vous pouvez toujours venir jouer sur nos consoles :

• à la Maison du livre, de l’image et du son, dès 12 ans, tous les après-midi du mardi au samedi, sans inscription préalable

ou

• à la Maison du livre et à la médiathèque du Tonkin, en solo ou entre amis dès 8 ans pour les Mercredis jeux vidéo
• à la Maison du livre, accompagnés, dès tout petit pour les Samedis jeux vidéo en famille
• dans toutes les médiathèques, pour des séances thématisées (Mario Kart, découverte de jeux…)
  • Détails et dates des séances dans l’agenda des médiathèques

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Découvrir Savio, la ressource en ligne ludique d’apprentissage du français

L’originalité de Savio : tout le programme de français sur un parcours illustré

Au lieu de présenter des listes d’exercices, Savio invite les enfants à partir en voyage sur des parcours magnifiquement illustrés, où chaque étape comprend des défis de français à relever pour avancer dans le parcours et gagner des pièces et des points pour son avatar.

La classe française n’est pas visible sur le parcours de l’enfant, pour autant le contenu pédagogique de chaque parcours est bien conforme au programme d’une année de l’Éducation nationale pour la grammaire, l’orthographe, la conjugaison et le vocabulaire. À la fin du parcours, l’enfant a revu toutes les notions du programme ! Pratique et ludique !

Les parcours Savio

• le parcours Découverte

• le parcours Voyage en France

• le parcours Sauver la planète

Savio, comment ça marche ?

On peut commencer par le test de niveau Savio, conçu pour les enfants dès 7 ans.

Ce test de niveau gratuit permet de choisir le parcours le plus adapté au (vrai) niveau de l’enfant.  En fonction des résultats, l’enfant est automatiquement placé sur le parcours pédagogique le plus adapté. Le parent peut changer le parcours s’il le souhaite.

Ensuite, Savio est conçu pour faciliter l’utilisation en autonomie par les enfants.

Par exemple, dans le parcours Découverte, l’enfant débute avec le thème de la plage. Une image d’une plage se trouve au centre de l’écran. Plus l’enfant va avancer dans son travail, plus il va gagner des autocollants qui compléteront son image.

Chaque étape comprend un défi dans chaque matière : lecture, grammaire, orthographe, conjugaison, vocabulaire, aller plus loin.

Un défi comprend une leçon animée et lue ou un support de lecture, puis des exercices d’application.

Lorsque l’enfant a fait tous tous les exercices avec 85% de bonnes réponses, l’autocollant de l’étape vient compléter l’image centrale et l’enfant passe à l’étape suivante.

Pour un meilleur confort visuel, il est recommandé d’utiliser Savio sur ordinateurs et sur tablettes (certains parents l’utilisent même sur un smartphone en position horizontale mais Savio n’est pas une app, les visuels ne sont pas optimisés pour les petits écrans).

Sécurité enfant : un accès à internet est nécessaire mais la plateforme ne contient aucune publicité, aucun chat, aucun lien vers l’extérieur.

Un contenu pédagogique développé par une équipe d’enseignantes et une orthopédagogue

Savio propose des exercices variés : des QCM, menu déroulant, mettre dans la bonne boîte, glisser-déposer, etc. pour un apprentissage ludique, mais aussi des dictées, des textes à compléter, des exercices à double-consignes (entoure et souligne).

La fonction « je ne sais pas » est spécialement conçue pour minimiser l’anxiété et encourager une expérience positive.

Les supports audios, l’interface simplifiée, et les aides visuelles garantissent l’accessibilité de tous les enfants y compris avec des troubles des apprentissages tels que la dyslexie, la dyspraxie, la dysgraphie et le TDA(H).

La définition des mots difficiles et les corrections détaillées des exercices aident l’enfant au fur et à mesure e sa progression.

Comptes et abonnements

Abonnements :

Les abonnements Savio sont des abonnements de durée : avec un même abonnement vous pouvez changer votre enfant de parcours et/ou utiliser les leçons et exercices de tous les niveaux (du CE1 à la 6^e) avec le mode révisions.

• Abonnement mensuel : 15€/mois pour 1 enfant, 20€ pour 2 enfants, 25€ de 3 à 5 enfants
• Abonnement annuel (économie de 3 mois par rapport à un abonnement mensuel pendant 1 an) : 135€ pour 1 enfant, 180€ pour 2 enfants, 225€ de 3 à 5 enfants.

>> Bonus : Réduction de 15% pour les lecteurs de App enfant avec le code AE15 <<

Savio pour les enseignants

Depuis 2022, Savio est partenaire de l’Agence pour l’Enseignement du Français à l’Étranger et est utilisé par les enseignants des associations FLAM (Français Langue Maternelle) du monde entier.

Par ailleurs, des informations sur l’utilisation de Savio pour les enseignants, écoles ou dans le cadre de l’instruction en famille sont disponibles sur le site Savio.fr.

Consultez le site Savio pour en savoir plus sur le partenariat avec les associations FLAM.

Des informations sur l’utilisation de Savio pour les enseignants, écoles ou dans le cadre de l’instruction en famille sont disponibles sur le site Savio.fr.

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Les raisons de l’échec du numérique dans les écoles

Dans une ère où la technologie numérique est omniprésente, l’intégration de ces outils dans les systèmes éducatifs semblait être une évolution naturelle. Pourtant, plusieurs établissements scolaires peinent à intégrer efficacement ces technologies. Cet article explore les principales raisons de ces difficultés.

Les enseignants ne sont pas suffisamment formés

L’une des raisons majeures est le manque de formation adéquate pour les enseignants. Bien que nombreux soient enthousiastes à l’idée d’utiliser des outils numériques, ils se retrouvent souvent dépassés faute de formation spécifique, ce qui limite leur capacité à intégrer efficacement la technologie dans leurs méthodes d’enseignement.

L’acquisition d’outil numérique en matière de pédagogie n’est pas une simple affaire de support. Il ne s’agit pas simplement de transformer un livre en ordinateur mais bien de comprendre tous les rouages liés à l’apprentissage sur support numérique. En outre, les outils sont tous différents pour chaque matière et cela demande énormément d’agilité aux enseignants.

Enfin, contrairement aux livres, les outils numériques sont faillibles. Que fait-on quand l’application ne fonctionne pas ? Les outils proposés en classe doivent être soigneusement sélectionnés afin de s’assurer de la continuité et de la rapidité du service de support.

Le coût des outils numériques reste très élevés

Les contraintes budgétaires sont un autre obstacle majeur. L’acquisition d’équipements numériques de qualité et leur maintenance représentent un coût considérable pour les écoles, particulièrement dans les zones moins favorisées. Cette disparité crée un fossé numérique entre les établissements et à terme crée un fossé entre les classes socio-professionnelles qui peuvent accéder au matériel à la maison et .

Par ailleurs, le matériel devient rapidement obsolète : contrairement aux investissements traditionnels qui perdurent pendant plusieurs dizaines d’années, le matériel informatique et numérique en général devient rapidement dépassé et les écoles n’ont pas des moyens aussi importants pour maintenir les parcs à jour.

Enfin, dans de nombreuses écoles, l’infrastructure existante ne supporte pas l’intégration de la technologie moderne. Les problèmes de connectivité Internet, le manque d’équipements adaptés, et les défaillances techniques sont des obstacles courants.

L’intégration des outils numériques doit être gérée comme une restructuration d’entreprise

La résistance au changement est un facteur humain non négligeable. Certains enseignants, administrateurs et même parents sont réticents à adopter de nouvelles méthodes d’enseignement, préférant s’en tenir aux approches traditionnelles.

L’approche pédagogique autour du numérique manque de cohérence

Il y a souvent un manque d’approche pédagogique cohérente dans l’utilisation des outils numériques. Sans un cadre clair, l’utilisation de la technologie peut se révéler désordonnée et peu efficace, ne servant pas les objectifs éducatifs prévus.

Ce que l’on apprend ne dépend pas du support sur lequel on l’apprend

Le secteur éducatif est en crise : que doit-on apprendre aux enfants ? Quelles pédagogies adopter ? Doit-on garder un système de note ? Quelle approche de la discipline pour réduire les violences scolaires ? Toutes ces questions restent non résolues et doivent être prises en compte dans la révolution éducative de manière inclusive. Ce que l’on doit apprendre aux enfants est une priorité, avant de réfléchir aux outils à adopter.

L’intégration réussie des outils numériques dans l’éducation nécessite plus qu’une simple acquisition de technologie. Elle exige une approche holistique qui inclut la formation des enseignants, des investissements dans l’infrastructure, une planification budgétaire judicieuse, et une réelle volonté de s’adapter aux nouvelles méthodes d’enseignement. Il est impératif que les systèmes éducatifs reconnaissent et abordent ces défis pour préparer efficacement les élèves à l’ère numérique.

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Jeux, techologie et pédagogie en guise de cadeaux

Noël est parfois un casse-tête pour trouver le juste équilibre entre les cadeaux qui font plaisir aux parents ceux qui vont faire plaisir aux enfants. Cette année, pourquoi ne pas choisir des jouets connectés qui allient éducation, technologie et amusement ? Voici une sélection original des dernières nouveautés qui allient technologie, jeu et pédagogie. De quoi fare briller les yeux de vos enfants !

Nos coups de coeur absolus de jouets connectés

Bugali : Une révolution dans la lecture pour les petits

Imaginez un monde où les livres prennent vie, où chaque page est une porte ouverte sur un univers d’aventures, de sons et de sensations. C’est exactement ce que propose Bugali, une console de lecture sans écran, conçue pour les enfants de 3 à 7 ans. Fabriquée en France, cette merveille technologique transforme la lecture en une expérience immersive, où les mots et les images s’animent sous les doigts des enfants. Grâce à des partenariats avec de grandes maisons d’édition, Bugali offre une bibliothèque variée qui promet des heures de découverte et de plaisir. C’est un trésor pour les jeunes esprits curieux, une fenêtre ouverte sur le monde magique de la lecture​​.

Le baladeur Flam  par Lunii: une aventure auditive captivante pour les explorateurs en herbe

La Lunii Flam n’est pas un simple baladeur audio, c’est une porte d’entrée vers des mondes inexplorés, des histoires palpitantes où les enfants deviennent les héros. Conçu pour les 7-11 ans, ce gadget compact et fabriqué en France invite les jeunes aventuriers à plonger dans des récits fantastiques. Avec son écran intégré, Flam encourage les enfants à interagir avec l’histoire, à prendre des décisions et à explorer librement les différents chemins de l’aventure. C’est une manière ludique et innovante de développer l’imaginaire, l’autonomie et l’esprit critique. Emportez le baladeur Flam partout et voyez vos enfants s’épanouir dans leurs aventures audio​​.

Kid’s Chronicles : le jeu de société immersif qui stimule l’imagination

Kid’s Chronicles est une pépite pour les enfants avides d’aventures et de mystères. Ce jeu immersif, conçu pour les enfants à partir de 7 ans, combine des éléments d’histoire interactive avec des activités captivantes, offrant une expérience de jeu unique. Les enfants sont au cœur de l’histoire, prenant des décisions qui influencent le déroulement de l’aventure. C’est une manière fantastique de stimuler la créativité, la réflexion critique et l’engagement sensoriel, tout en s’amusant.

D’autres idées de jeux connectés

En plus de ces merveilles technologiques, voici quelques autres joyaux qui pourraient plaire à vos enfants :

• Sphero Mini : Un robot en forme de balle qui initie les enfants à la programmation de façon ludique. Parfait pour les petits génies en herbe

• Ravensburger tiptoi : C’est un classique depuis quelques années mais si vous ne connaissez pas encore Tip Toi, il s’agit d’un stylo interactif qui, lorsqu’il est utilisé avec les livres, jeux ou puzzles tiptoi, permet aux enfants d’explorer et d’apprendre sur des sujets variés. Il offre une expérience d’apprentissage immersive en fournissant des commentaires audio, des chansons et des histoires. Une fois que vous avez acheter le stylo, vous pouvez acquérir de nombreux jeux ou livres pour jouer et il y a même un globe.

• Osmo Genius Starter Kit : Transformez la tablette de votre enfant en un centre d’apprentissage interactif. C’est l’outil parfait pour mêler jeu et éducation de manière innovante.

• ThinkFun Circuit Maze : Ce jeu combine des puzzles avec des principes d’électricité de base, offrant une expérience à la fois éducative et divertissante. Les enfants apprennent à créer des circuits et à résoudre des défis, développant ainsi leur logique et leur compréhension de la science.

• VTech KidiZoom Smartwatch DX2 : Plus qu’une montre, c’est un mini-ordinateur de poignet avec des jeux, un appareil photo, et bien plus, conçu spécialement pour les enfants.

Cette année, choisissez des cadeaux de Noël connectés et éducatifs qui captiveront l’imagination de vos enfants et enrichiront leur expérience d’apprentissage. Ces jouets ne sont pas seulement des sources d’amusement ; ils sont des fenêtres sur de nouveaux mondes, des outils pour découvrir, explorer et grandir. Joyeuses fêtes !

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Qu’est ce que le code, la programmation ?

Les jeux de réflexion logique et résolution de problème de Maternelle Montessori

Busy shapes : un jeu de logique pour les touts petits

Les dominos

La tour d’Hanoi

Code Karts est le jeu d’initiation au code pour les enfants par excellence d’Edoki Academy

Débuter avec Maternelle Montessori

Ou encore, pour proposer d’autres jeux de logique n’hésitez pas à consulter notre liste des 8 applications enfant pour apprendre à programmer.

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du samedi 4 novembre au jeudi 7 décembre – exposition, jeux vidéo, films, spectacle – Maison du livre, de l’image et du son et médiathèque du Rize

Avec Venus d’ailleurs, on emprunte le titre d’un roman de Paola Pigani, qui retrace l’itinéraire de Mirko et sa sœur Simona, du Kosovo à Lyon, en passant par l’Italie et un centre de transit en Haute-Loire. On donne ainsi le ton d’une programmation qui met en lumière des histoires, des itinéraires, des vécus, qui ont en commun l’ailleurs.
Au travers de films, d’une exposition, d’un spectacle et de jeux vidéo, on explore ensemble des valeurs d’accueil, de solidarité, d’ouverture à l’autre, et on redécouvre ce lointain si souvent plus proche qu’il n’y paraît.

Découvrez notre sélection filmographique et notre sélection d’ouvrages dans le catalogue ainsi que notre programmation ci-dessous !

Exilés ! > exposition > du samedi 4 novembre au jeudi 7 décembre
            > vernissage en présence de l’artiste > samedi 18 novembre à 17h
Un projet artistique de peinture de Christophe Perdreau qui retrace le parcours des exilés et interroge notre vision de l’émigration.
en savoir +

Quand les jeux vidéo explorent l’exil > session gaming > samedi 4 novembre à 10h30
Une sélection de jeux pour traiter de la thématique de l’exil, de manière sérieuse ou plus légère.
en savoir +

Découverte de la Maison du livre > visite > samedi 4 novembre à 11h
Un temps d’accueil et de visite spécifique des collections et services proposés par les médiathèques.
en savoir +

Du cinéma en VR > réalité virtuelle > du mardi 14 au samedi 18 novembre
Trois films immersifs pour découvrir l’ailleurs et s’interroger sur notre vision de l’autre.
en savoir +

Interdit aux chiens et aux italiens > projection > vendredi 17 novembre à 19h
Projection du documentaire animé d’Alain Ughetto, sur une famille italienne qui commence une nouvelle vie à l’étranger, suivi d’une rencontre.
en savoir +

Les courts métrages de Vittorio De Seta > projection > samedi 18 novembre à 15h
Six courts métrages documentaires dédiés aux humbles et aux oubliés du Sud italien.
en savoir +

Le fils de l’Ursari > spectacle > samedi 18 novembre à 16h
Un BD-concert qui raconte les péripéties d’une famille d’Ursari, les montreurs d’ours, une famille nomade qui sera exposée à tous les dangers.
en savoir +

en partenariat avec la Biennale de l’Hospitalité, Migrant’Scène, le festival des Solidarités, le Mois du film documentaire et le Festival du film court de Villeurbanne

Pour découvrir le programme en PDF, cliquez ici !

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du samedi 7 au samedi 14 octobre – Maison du livre, de l’image et du son et médiathèque du Tonkin – atelier, jeux, visite

Pour cette nouvelle édition de la Fête de la science, les médiathèques sont, cette année encore, au rendez-vous !

Le sport, thème national de cette année dans le cadre des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, est mis à l’honneur avec une visite inédite des coulisses d’un laboratoire d’analyses autour de Sport, sucres et dosage, au départ de la médiathèque du Tonkin, une sélection de coups de coeur présentés par les bibliothécaires et les lecteurs de la Maison du livre et les défis Yogi.

Vous êtes par ailleurs invités à venir jouer avec la science, lors d’ateliers ludiques autour de la marelle de Turing, de l’imagerie médicale et de l’esprit critique ou encore lors d’une session de jeux de société.

Enfin, une séance de philosophie est organisé pour les enfants pour questionner la différence entre croire et savoir.

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À l’occasion de la semaine nationale des retraités et des personnes âgées, la Semaine bleue, dont le thème 2023 est « Vieillir ensemble, une chance à cultiver ! …», la Maison du livre, de l’image et du son a le plaisir de vous proposer des ateliers et des animations, ainsi qu’une sélection de documents à emprunter.

La Semaine bleue a pour ambition d’insuffler un nouveau regard sur le vieillissement, de renforcer les liens entre les générations et de nourrir la solidarité auprès des plus fragiles. La Ville de Villeurbanne s’inscrit dans cette programmation pour valoriser la place des aînés dans la vie sociale.

À la Maison du livre, venez jouer en accès-libre avec un puzzle collaboratif, des jeux vidéo sur ordinateur pour s’exercer au clic et des jeux de société, ou participez à un atelier (sur inscription – liens ci-dessous) !

Puzzle collaboratif

À partir du lundi 2 octobre, vous trouverez à votre disposition au 1^er étage de la Maison du livre de l’image et du son, un puzzle collaboratif de 1000 pièces. Venez apporter votre pièce à l’édifice !

Jeux de société

Rendez-vous mercredi 4 octobre, au 2^e étage de la Mlis à partir de 15h où vous trouverez une petite sélection de jeux de société pour passer un bon moment en famille, seul ou avec des amis !

Deux ateliers proposés par Sens et Savoirs

• atelier Activité physique et prévention de chute, animé par un professeur d’activité physique, jeudi 5 octobre à 15h30

Venez participer à un moment d’échange autour de la prévention des chutes. Partage d’expérience, aménagement du logement, comment se relever en cas de chutes… puis, des exercices pratiques et faciles à mettre en œuvre au quotidien.

Sur inscription en cliquant ici.

• ainsi qu’un atelier Diabète et équilibre, animé par une nutritionniste diététicienne, vendredi 6 octobre à 15h30, durée 2h

Partagez un moment convivial autour de la santé et de l’alimentation ! Échange d’expériences, astuces et idées recettes… Suivi d’un atelier cuisine et d’une dégustation.

Sur inscription en cliquant ici.

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“Vie locale”, qu’est-ce que c’est ?

« Vie Locale » est un pan de collection de la médiathèque du Rize consacré à Villeurbanne. On y trouve de nombreux documents sur l’histoire de la ville, ses quartiers, la vie des habitants, etc. Mais aussi des romans, albums jeunesses, CD, documentaires, recueils de poésie, jeux de société, etc. réalisés par des Villeurbannais ! L’objectif est de mettre en avant les divers talents présents dans la ville et vous les faire découvrir.

Du changement en septembre !

L’espace « Vie locale » sera maintenant au centre de la première salle de la médiathèque du Rize, entouré d’une reproduction du Totem et d’une cabane à histoires !

Aussi, une borne tactile fait son apparition : vous y trouverez différentes rubriques destinées à valoriser la collection, ainsi que les artistes de la ville dont les créations sont présentes à l’intérieur : portraits des Talents villeurbannais, podcasts, images d’archives, etc.

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Une longue histoire qui n’est pas terminée…

Si, pour certains, critiquer le progrès technique ou vouloir décider collectivement de la place qu’on lui accorde dans nos sociétés relève de l’hérésie “amish” et réactionnaire, de plus en plus de voix s’élèvent pour pointer les effets socialement et écologiquement destructeurs de certaines “innovations”. La numérisation des services publics, qui s’accompagne systématiquement de “déshumanisation”  avec fermeture de guichets et inaccessibilité pour les nombreux usagers victimes de la “fracture numérique”, est un facteur d’exclusion sociale comme l’ont pointé à plusieurs reprises les défenseurs des droits successifs, notamment Claire Hédon dans son dernier rapport. Pour diverses raisons, on a vu des résistances collectives et individuelles contre les compteurs Linky, la mise en place de la 5G, l’installation de nouveaux aéroports et aujourd’hui encore les méga-bassines. C’est finalement tout un modèle de société – capitaliste, productiviste, libéral – qui est aujourd’hui remis en cause au nom des communs et du Vivant (des “externalités” du Marché).

Une longue histoire

Cette contestation du progrès technique n’est pas récente et on en trouve trace dès la première révolution industrielle qui commence en Angleterre : au début du XIX^e siècle, les artisans du textile qualifiés (tondeurs, tisserands et tricoteurs), dont la vie n’était déjà certes pas facile, s’inquiètent de voir arriver les nouvelles machines qui séduisent leurs employeurs et les manufacturiers. À raison : un nombre d’emplois considérable sera perdu, ceux qui parviendront à garder leur travail n’en conserveront pas le sens et seront déqualifiés et aliénés. La plupart seront remplacés par des femmes et des enfants qu’on pourra se permettre de payer beaucoup moins. Enfin, c’est tout leur monde social, leurs petites communautés soudées, autonomes et résilientes, qui disparaîtront au profit de grands centres urbains entièrement soumis au Marché. Le bouleversement est jugé aussi destructeur que celui du mouvement des enclosures des siècles précédents.

Malgré les promesses de prospérité et de lendemains radieux, les révoltes éclatent, de nombreuses machines sont brisées et ce n’est qu’au prix d’une répression sanglante et impitoyable que l’État parvient à imposer la logique du “progrès”. La police et l’armée est envoyée sur les lieux de révolte, menant une véritable guerre intérieure au peuple et protégeant les seuls intérêts des plus gros possédants (un certain nombre de petits chefs d’atelier ayant abandonné les machines à la demande des militants). De grands procès exemplaires ont lieu et aboutissent à des punitions particulièrement sévères pour celles et ceux qui sont soupçonnés d’organiser et mener les mouvements de révolte.
On retrouve les mêmes logiques répressives à l’œuvre lors de la révolte des Canuts quelques années plus tard, à Lyon.

On redécouvre depuis quelques années l’histoire de ces résistances et leur actualité : deux siècles avant Greta Thunberg, on s’inquiétait de notre rapport à l’environnement et de la course à la croissance, à l’accélération et à l’accumulation inégalitaire de pouvoir et de richesses.

Des penseurs du XX^e ont perpétué et élaboré une colonne vertébrale idéologique à la “techno-critique“, qui est multiple dans ses manifestations et ses revendications. On retrouvera par exemple Ivan Illich ou Lewis Mumford dans cette anthologie :

Les “luddites“, comme on appelle les briseurs de machines de l’Angleterre du XIX^e siècle, tirent leur nom du Roi fictif Ned Ludd, et leurs intuitions et stratégies inspirent ou trouvent leur écho dans de nombreuses luttes à travers le temps et les frontières.

L’Histoire permet de faire émerger à nouveau une mémoire dont on avait organisé l’oubli, au profit de la fiction “Panglossienne” du progrès technique indiscutable où “tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes”.

Mieux comprendre pour retrouver du pouvoir d’agir

Nous vivons avec l’informatisation une seconde révolution industrielle qui ressemble en de nombreux points à la première : accélération des changements et destruction de mondes sont, là-encore, au rendez-vous. De nombreux ouvrages viennent questionner et critiquer la place du numérique dans nos sociétés, notamment le “techno-solutionnisme” et l’absence de débat démocratique en ce qui concerne les choix technologiques.

La technologie n’est ni neutre, ni bonne, ni mauvaise, mais chacune porte en elle un certain type d’usage, façonne son utilisateur et, dans le cadre de l’informatique, fait advenir un nouveau monde. Comprendre les enjeux, c’est pouvoir faire preuve de “techno-discernement” et se réapproprier le monde qui nous entoure. Pour vous accompagner, vous trouverez de nombreuses références dans les collections des médiathèques :

On citera par exemple quelques ouvrages de critique sociale :

Mais aussi économique, culturelle, ou critique de l’école connectée :

Autour de l’intelligence artificielle, on pourra aller voir du côté de la trilogie d’Eric Sadin chez l’Échappée, maison d’édition de référence pour la techno-critique :

Et pour mieux saisir l’envers du décor, on se tournera vers le Contre-atlas de l’intelligence artificielle, de Kate Crawford, et En attendant les robots, du sociologue Antonio A. Casilli qui montre la réalité du travail du clic qui se cache derrière les solutions dites autonomes et automatiques.

Réponses et résistances

Face à l’ampleur du bouleversement numérique, on trouvera différentes réponses plus ou moins radicales. L’impact écologique du numérique (la fabrication des smartphones, serveurs, ordinateurs, infrastructures nécessaires à des usages toujours plus voraces) nous fera explorer la piste de la sobriété numérique.

Un autre numérique est-il possible ? C’est en tout cas ce que prônent les partisans d’un numérique responsable :

Moins mais mieux ? Voilà l’école du cyber-minimalisme qui vous invite à la déconnexion pour vous réapproprier votre temps et votre attention :

Plus radicaux, certains résistent encore et toujours à l’envahisseur numérique :

L’association des Soulèvements de la Terre a remis sur le devant de la scène la stratégie du sabotage largement employée par les luddites, et le film d’action Sabotage, sorti cet été sur les écrans, adapte librement l’essai Comment Saboter un Pipeline d’Andréas Malm, sorti à la Fabrique. Le sabotage revient-il à la mode ? C’est le pari que fait le dernier numéro de Socialter d’août-septembre 2023 malicieusement intitulé « On se soulève et on casse ? »  

Et quand on a tout cassé, on fait quoi ? Du high-tech aux “low-techs”

Revenir aux “basses technologies”, des technologies plus simples et conviviales, qui permettent de se réapproprier les machines et les savoir-faire. On vous renverra aux nombreux ouvrages pratiques de nos bibliothèques aux rayons bricolage, jardinage, loisirs créatifs et culture maker et on se contentera ici de présenter quelques fondamentaux autour de la notion de low-tech :

Si vous souhaitez vous lancer, quelques ouvrages pourront vous y aider :

Mais n’hésitez pas à feuilleter un journal consultable en ligne sur le site des médiathèques grâce à votre abonnement, et visiter un site de référence, dont le serveur fonctionne grâce à des panneaux solaires ! Tout savoir sur la low-tech en France et surveiller les projections du documentaire Low Tech, sorti en juin dernier.

Nos collections s’enrichissent toujours d’ouvrages critiques présentant des points de vue variés sur la question technique, si vous en connaissez d’autre n’hésitez pas à nous faire des suggestions. Et s’il vous en faut encore, allez voir du côté de cet article, “starter kit technocritique” :

L’article Découvrir | La critique du progrès technique est apparu en premier sur Médiathèques de Villeurbanne.

Attention cependant, il existe 2 applications à télécharger séparément :A

• Kidjo.tv sur Android ou sur Ios
• Kidjo.stories sur Android ou Ios

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Connaissez-vous les FabLabs ? Signifiant littéralement “laboratoire de fabrication” le label FabLab désigne un tiers-lieu équipé avec des machines-outils (permettant la fabrication de prototypes ou de petites séries), et souscrivant à une charte de fonctionnement, avec un certain nombre d’engagements pour le partage libre des savoirs qui viennent nourrir des communs de connaissances. En complément des ateliers de réparation, c’est un outil important pour lutter contre l’obsolescence programmée et la société de surconsommation, fidèle à l’éthique du “faire soi-même” (Do It Yourself) et de la culture maker consistant à se réapproprier certaines compétences (programmation, conception, artisanat).

Les villeurbannais et villeurbannaises sont plutôt gâtés puisque le territoire est maillé de ces petits paradis pour bricoleurs et bricoleuses, dont voici quelques exemples :

• Le Fablab du CCO : Tous les mardis et mercredis de 15h à 20h à La Rayonne, équipé d’une imprimante 3D, de découpeuses et d’une machine à coudre et à broder, vous êtes accompagnés par la fab-manageuse, Elisabeth. Dans le même lieu vous retrouverez régulièrement des ateliers de réparation donnés par l’Atelier Soudé !
• Le Laboratoire Ouvert Villeurbannais n’est pas un FabLab mais vous en retrouverez l’esprit et tout le matériel nécessaire dans ce petit local de Maisons Neuves tenu par des bénévoles de l’association. Vous souhaitez usiner, fabriquer un meuble, coudre, imprimer en 3D ou bidouiller de l’électronique ? Vous trouverez votre bonheur.
• Le TactiLab de la MIETE, à Péralière : un FabLab inclusif sous la houlette de sa fabmanageuse Angèle qui vous accompagnera dans vos projets les plus fous.

MAIS AUSSI… Pour les étudiants le FabLab Astech sur le campus de la Doua, pour les professionnels ça se passe du côté de YOUFACTORY, et les curieux et curieuses peuvent aussi aller voir ce qui se passe du côté de La Myne…

Le saviez-vous ? Les médiathèques de Villeurbanne disposent aussi d’une imprimante 3D et d’une découpeuse vinyle qui tournent entre le Tonkin, le Rize et la Maison du Livre !

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Mieux comprendre chatGPT pour accompagner nos enfants à l’utiliser pour faire les devoirs

ChatGPT pour les nuls : comprendre cet outil en quelques mots

ChatGPT, l’intelligence artificielle conversationnelle développée par OpenAI, est un outil révolutionnaire qui suscite de nombreuses interrogations, en particulier chez les parents d’enfants âgés de plus 8 ans qui se demandent comment cela va impacter l’éducation de leurs enfants.

C’est d’autant plus préoccupant que les enfants, en grandissant, perdent qui commencent à s’intéresser voire à maîtriser les outils informatiques bien mieux que leurs parents. Mais qu’est-ce que ChatGPT exactement ? En termes simples, il s’agit d’un programme informatique capable de générer des réponses cohérentes à partir de textes donnés en entrée.

ChatGPT une mine d’information à portée de main

Imaginez ChatGPT comme un génie virtuel résidant dans votre ordinateur ou votre smartphone, prêt à répondre à toutes les questions que votre enfant pourrait se poser. De l’histoire à la science en passant par les mathématiques, ChatGPT est une mine d’informations, prêt à satisfaire la curiosité insatiable de nos jeunes esprits.

On voit donc aisément comment on pourrait s’en servir pour tricher un peu et aller plus vite pour faire nos devoirs ? Des recherches à faire ? Une rédaction à rédiger ? Et si on allait demander à notre ami chatGPT plutôt que de se creuser les méninges…

Pourquoi ChatGPT peut être une aubaine pour nos enfants

L’un des avantages évidents de ChatGPT est sa disponibilité immédiate et constante. Plus besoin de fouiller dans les bibliothèques ou de consulter des dizaines de sites Internet pour trouver une réponse. ChatGPT est là pour répondre à toutes les questions de nos petits chercheurs en un instant. C’est donc plus efficace pour arriver à trouver des réponses et assouvir la curiosités de enfants

En outre, ChatGPT peut être un excellent outil pour susciter l’intérêt de nos enfants pour l’apprentissage. Imaginez la joie qu’ils ressentiront lorsqu’ils poseront une question à ChatGPT et recevront une réponse détaillée et passionnante en retour. Cela peut nourrir leur curiosité naturelle et stimuler leur motivation à en apprendre davantage.

Pourquoi ChatGPT peut être une menace pour nos enfants

Bien que ChatGPT puisse sembler être un compagnon d’apprentissage parfait, il présente également des risques potentiels. L’un des problèmes les plus préoccupants est la tentation de tricher. Avec ChatGPT à portée de main, il devient facile pour les enfants de simplement copier-coller les réponses sans réellement comprendre les concepts.

De plus, ChatGPT n’est pas parfait et peut parfois donner des informations incorrectes. Si nos enfants s’appuient uniquement sur cet outil sans exercer un esprit critique, ils risquent de développer une confiance aveugle envers les réponses fournies, même si elles sont erronées.

Enfin comme de nombreux contenus à volonté

Apprendre à nos enfants à s’en servir plutôt que de l’interdire

Les enfants peuvent se servir de chatGPT de manière responsable

Au lieu d’interdire catégoriquement l’utilisation de ChatGPT, il est préférable d’enseigner à nos enfants comment l’utiliser de manière responsable. Nous pouvons les encourager à poser des questions, mais aussi à se livrer à leurs propres recherches pour vérifier les réponses de ChatGPT. En faisant preuve d’esprit critique, ils pourront distinguer les informations fiables des erreurs potentielles.

De plus, nous pouvons expliquer à nos enfants que ChatGPT est un outil supplémentaire, mais qu’il ne doit pas remplacer leurs propres capacités de réflexion et d’apprentissage. Il est important de développer leur autonomie intellectuelle et leur capacité à résoudre des problèmes par eux-mêmes, sans se reposer uniquement sur une intelligence artificielle.

ChatGPT permet à nos enfants de développer de nouvelles compétences

L’utilisation de ChatGPT peut également aider nos enfants à développer des compétences précieuses.

• En apprenant à formuler des questions claires et précises, ils améliorent leurs compétences en communication et en recherche d’informations.
• De plus, en confrontant les réponses de ChatGPT à d’autres sources, ils affinent leur esprit critique et leur capacité à évaluer la validité des informations.
• Enfin, ChatGPT peut être un excellent moyen d’encourager nos enfants à explorer de nouveaux domaines.  Il s’intéressent ainsi à des sujets qu’ils n’auraient peut-être pas découverts autrement. Cela peut élargir leurs horizons et stimuler leur passion pour l’apprentissage tout au long de leur vie.

Quel cadre poser pour l’usage de l’IA dans le cadre des devoirs

Pour garantir une utilisation responsable de ChatGPT dans le cadre des devoirs, il est essentiel de définir un cadre clair. Tout d’abord, nous devons encourager nos enfants à faire leurs propres recherches et à essayer de résoudre les problèmes par eux-mêmes avant de recourir à ChatGPT.

De plus, nous pouvons définir des limites de temps spécifiques pour l’utilisation de ChatGPT afin d’éviter qu’ils ne deviennent trop dépendants de cet outil. Nous pouvons également encourager l’utilisation de sources complémentaires et variées pour valider les informations fournies par ChatGPT.

Enfin, il est important de rappeler à nos enfants que l’utilisation de ChatGPT ne se limite pas aux devoirs. Il peut également être utilisé comme un outil d’apprentissage ludique et intéressant en dehors du cadre scolaire.

En conclusion, ChatGPT est un outil puissant qui peut être à la fois bénéfique et risqué pour nos enfants. En leur enseignant comment l’utiliser de manière responsable et en encourageant le développement de compétences critiques, nous pouvons transformer cet outil en un compagnon d’apprentissage précieux qui nourrit leur curiosité et renforce leur autonomie intellectuelle.

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Pas le temps de s’ennuyer cet été ! Du 8 juillet au 2 septembre, Vivez l’été revient avec des animations pour tous et toutes. Retrouvez le cocktail vitaminé des médiathèques sur place ou à emporter, avec un programme varié pour écouter, jouer, vibrer, pratiquer, s’amuser…

Les petites oreilles s’ouvrent grand aux mots, et les yeux aux images, des livres présentés par les bibliothécaires lors des Lectures sous les arbres. (ces lectures s’inscrivent dans le festival Partir en livre, du 22 juin au 23 juillet.)

Pour les enfants un peu plus grands, mais aussi leur entourage et parents, les médiathèques organisent des séances de jeux et des ateliers variés : les ateliers de l’été !

Les plus créatifs pourront aussi s’initier au tricot ou à la technique des cyanotypes.

Pour les adeptes de Pop culture, place à Harry Potter et Mario Kart !

En balade ! Curieux ou connaisseur, d’art contemporain ou de numérique, l’artothèque vous promène en centre-ville avec le parcours l’Art en vitrine et les animateurs multimédia accompagnent les marcheurs avec les applis Geocaching et Pikmin bloom.

Enfin, on vous emmène en voyage avec la mini-exposition Faut-il voyager pour être heureux ?, complétée d’une sélection d’oeuvres de l’artothèque.

Pour consulter le programme complet en version pdf, c’est ici !

Vivez l’été est un dispositif organisé par la Ville de Villeurbanne et ses partenaires.

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Une méthode unique pour apprendre l’anglais déjà adoptée par plus de 250’000 enfants.

ESSAYEZ KOKORO LINGUA GRATUITEMENT PENDANT 7 JOURS

Kokoro lingua : une méthode d’apprentissage de l’anglais innovante

Kokoro lingua, une méthode globale

• des neurosciences : l’intuition et l’émotion sont de puissants facteurs de mémorisation,
• de la pédagogie : c’est avant 8 ans que l’esprit est le plus ouvert pour « absorber une nouvelle langue »
• de la linguistique qui atteste d’une capacité exceptionnelle d’entendre et de reproduire une langue avant 8 ans.

Une méthode pour apprendre l’anglais qui a déjà fait ses preuves

La méthode Kokoro est présente dans plus de 4’500 écoles dans plus de 20 pays à travers le monde et elle a déjà été utilisée par plus de 250’000 enfants.

Comment fonctionne les leçons d’anglais avec Kokoro Lingua ?

La méthode ludo-éducative Kokoro Lingua fonctionne de la manière suivante :

• Accès par une plateforme sécurisée
• Des vidéos de 10 minutes à visionner régulièrement
• Les vidéos sont à visionner idéalement 3 fois pour mieux assimiler les apprentissages
• Les séances contiennent des jeux, des séances d’cloute et de répétitions, ou encore des chansons
• Les enfants peuvent regarder les vidéos seules ou avec un adulte
• Chaque séance se termine par une séance de relaxation

Il existe aujourd’hui plus de 100 vidéos ce qui représente près de 3 ans d’apprentissage.

D’autres programmes d’apprentissage de l’anglais sont également disponibles

Kokoro Lingua propose aussi d’autres formats qui permettent de compléter les vidéos de l’apprentissage de base tel que le programme My Kokoro Friends. Ces vidéos complètent l’apprentissage de base pour aller plus loin. La nouvelle série de vidéos My KOKORO friends, permet de réviser et de découvrir de nombreuses cultures «Around The World». On retrouve aussi des tutos pour faire des expériences et des réalisations à faire à la maison.

Un usage éducatif des écrans

Nous sommes comme toujours en faveur d’un usage raisonnable et raisonné des écrans. C’est pourquoi nous pensons que la méthode KOKORO Lingua est parfaitement adapté:

• Les vidéos sont courtes 10 minutes environ et donc adaptés aux temps recommandés pour les petits.
• Les contenus sont interactifs et permettent donc aux enfants de ne pas rester passifs devant l’écran.
• Le programme est conçu avec des spécialistes de l’enfance, qui s’appuie sur des principes Montessori.

L’ensemble est donc parfaitement adapté pour une utilisation intelligente des écrans.

Abonnement

• Abonnement 6 mois = 79€ (soit 13,17€ / mois) pour 29 vidéos
• Abonnement 12 mois = 129€ (soit 10,75€ / mois) pour 54 vidéos – soit près de 29€ d’économie
• Abonnement 24 mois = 215 € (soit 8,96€/ mois) pour 106 vidéos – soit près de 101 € d’économie

Ouverture sur le monde

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Est-ce que l’on est pour ou contre les écrans ?

Le débat autour de la gestion des écrans à tendance à nous irriter un peu… Non pas que nous soyons pour un usage intensif des écrans mais simplement parce que ce débat nous éloigne de la vraie question : comment utiliser les écrans intelligemment avec nos enfants ? Car le problème, ce ne sont pas les écrans, c’est l’usage que l’on en fait.

C’est comme une voiture : avoir 4 voitures dans un foyer de 2 personnes (bien entendu ce sont des SUV qui marchent au diesel) et les utiliser pour faire 500 mètres 52 fois par jour vous semble probablement incohérent et déraisonnable. Pour les écrans, c’est la même chose.

La solution est d’utiliser les écrans de manière raisonnée et raisonnables pour nos chers enfants.

Avant de vous lancer dans un débat animé, permettez-moi de vous guider à travers ce voyage numérique : pragmatique mais fiable. Bienvenue dans le monde de la parentalité connectée !

Adapter la gestion des écrans en fonction de l’âge

La première règle d’or est de savoir adapter l’usage des écrans en fonction de l’âge de nos petits prodiges. Inutile de leur offrir un smartphone dès leur naissance, soyons réalistes ! Privilégions plutôt l’interaction avec le monde réel pendant les premières années de leur vie. Laissons-les explorer, toucher, goûter, découvrir le plaisir de la manipulation des objets concrets.

Mais une fois qu’ils atteignent un âge où l’utilisation des outils numériques peut être bénéfique, il est temps de leur apprendre à bien les utiliser.

Comment ? En instaurant des règles claires et en développant leur esprit critique. Rien de tel qu’un bon sens de l’humour pour accompagner ces apprentissages. Expliquez-leur que l’écran n’est pas un jouet magique, mais plutôt un outil fantastique qui peut les aider à apprendre et à s’amuser. Vous pouvez trouver des recommandations précises sur les types d’écrans, les types de contenus et le temps recommandé âge par âge sur cette article « Quel écran pour quel âge » .

Les meilleurs usages des écrans pour participer au développement

Maintenant que nous avons mis les choses au clair, explorons les meilleurs usages des écrans pour favoriser le développement de nos chérubins. Les applications éducatives sont un excellent moyen de stimuler leur curiosité et d’approfondir leurs connaissances.

Pour rendre les contenus éducatifs plus intéressants

On ne va pas se leurrer, les supports numériques permettent de rendre les contenus éducatifs plus intéressants et plus accessibles. On ne va pas dire le contraire : aller à la bibliothèque et chercher dans les encyclopédies n’a pas fait partie des souvenirs les plus mémorables de notre enfance.

Les applications qui aident aux apprentissages

Il existe de nombreux outils qui peuvent rendre les apprentissages périscolaires plus intéressants :

• Stimuli éducation qui accompagne les devoirs des enfants en fournissant une aide aux devoirs d’urgence et en permettant de présenter les sujets différemment en fonction des affinité des enfants
• Khan Academy Kids propose des activités interactives pour les enfants d’âge préscolaire, les aidant à apprendre les bases des mathématiques, de la lecture et des compétences socio-émotionnelles. On peut aussi proposer Maternelle Montessori ou le formidable Kokoro Lingua qui permet d’apprendre les langues étrangères pour les enfants par des enfants !
• Maxicours propose un chatbot qui répond aux questions des élèves et les guide dans leurs apprentissages. Cela encourage l’interactivité et l’apprentissage personnalisé. On peut aussi nommer Nomad Education qui propose de nombreuses ressources tels que des cahiers de vacances numériques
• Bayam offre aussi une variété de vidéos éducatives, de jeux interactifs et de livres numériques pour les enfants, les transportant dans des univers captivants.
• Enfin, le dernier né dans ce domaine est PowerZ, un super jeu aux graphismes dignes de Zelda et autres Mario Bros mais qui est a le mérite de poser aux enfants des énigmes à base de mathématiques, géographies et autres sessions de conjugaison

Et pourquoi pas la télévision ?

Attention car la télévision n’est pas en reste : Netflix regorge de trésors éducatifs. « Les Octonauts » plonge nos petits explorateurs dans le monde marin, en leur apprenant des faits intéressants sur les différentes créatures marines. « Planète Terre » offre une expérience captivante, en les transportant à travers les merveilles de notre planète, des savanes aux profondeurs de l’océan.

L’intelligence artificielle n’est pas si mauvaise

En parlant de profondeur, ne sous-estimons pas le potentiel des chatGPT ! Ces assistants conversationnels basés sur l’intelligence artificielle peuvent être d’une grande aide pour les devoirs et les études. Par exemple, « Brainly » est une plateforme où les élèves peuvent poser des questions et obtenir des réponses de la part d’autres étudiants et de tuteurs qualifiés. Cela encourage l’apprentissage collaboratif et permet d’approfondir les connaissances dans divers domaines.

Pour interagir avec son environnement

L’usage du numérique permet aussi de mieux comprendre l’environnement autour de soi : combien de fois avez-vous admiré un ciel étoilé sans savoir quelle constellation vous contempliez ? Ou de prétendre connaître le nom d’une plante auprès de vos enfants, alors que vous n’en savez rien ? Grâce à des applications intelligentes, on peut mieux appréhender la nature ou le monde autour de nous. Voici quelques exemples pour reconnaître l’environnement autour de nous:

• Les montagnes : Peak Finder
• Les étoiles :  Star Walk2 ou Skyview (Googe Play ou App Store)
• Les plantes et les insectes : Seek par National Geographic
• Enfin, pour connaître les monuments autour de soi, on choisit Whatizis

Pour approfondir des activités des la vie réelle

Ensuite, les contenus virtuels peuvent être de chouettes compléments pour les activités hors écran : c’est ce que propose Pandacraft par exemple avec ses kits éducatifs et créatifs qui sont accompagnés d’un code QR qui mène à des petites vidéos.

En somme, les écrans peuvent être de véritables alliés pour le développement de nos enfants, à condition d’en faire un usage raisonné et équilibré

Cependant restons vigilants : les solutions intelligentes existent mais il faut prendre le temps de bien choisir. Choisissons soigneusement les applications, les programmes télévisés et les ressources en ligne qui stimulent leur curiosité, renforcent leurs connaissances et favorisent leur épanouissement. Laissons-les profiter des avantages de la technologie tout en maintenant un équilibre avec d’autres activités enrichissantes.

Il ne reste plus qu’à fixer des limites claires

Malgré tous les avantages des écrans, il est crucial de fixer des limites claires. Établir un temps d’écran quotidien raisonnable est essentiel pour préserver un équilibre entre vie numérique et vie réelle. Le temps passé devant les écrans ne doit pas empiéter sur d’autres activités essentielles. Rien ne vaut  le jeu en plein air, les interactions sociales et les moments en famille.

Les rendre autonomes sur la gestion du temps d’écran

Soyons clairs, les écrans sont chronophage et c’est peut-être là le danger le plus important.

Quand ils sont petits,  c’est à vous de moduler. Respectez des temps d’écran courts, prévenez les enfants que cela ne va pas durer éternellement et interrompez s’il le faut. C’est addictif. Ils ne seront pas capables de le faire eux-mêmes. Même s’ils hurlent, ne cédez pas. Vous fixez les règles et vous vous y tenez. Si vous voyez que les crises sont systématiques, cela ne fait pas du bien à votre enfant. Il faudra peut-être supprimer complètement les écrans pendant un temps et voir si la maturité aide. Cependant, leur éducation numérique commence par ces limites claires que vous incarnez en tant que parents.

Pour les plus grands, plutôt que de réguler, aidez-les à avoir un regard critique sur leur usage. Faites le point régulièrement acec eux  en utilisant les outils des smartphone qui enregistrent les temps d’écran.  Demandez-leur s’ils trouvent qu’ils consomment beaucoup et également ce qu’ils auraient pu faire de ce temps s’ils n’avaient pas utilisé leur téléphone. Vous serez surpris de l’auto-critique qu’ils peuvent porter sur le temps passé devant le téléphone ou la tablette.

Contrôler le contenu auquel les enfants ont accès

De plus, il est important de contrôler le contenu auquel nos enfants sont exposés. Optons pour des plateformes sécurisées et adaptons les paramètres de contrôle parental pour éviter les mauvaises surprises. Accompagnons-les dans leur exploration numérique et encourageons-les à développer leur esprit critique face aux informations qu’ils rencontrent en ligne.

Sachez également que si une alternative sans écran existe, surtout pour les petits, elle est peut-être meilleure. Par exemple, les histoires audio comme Alma Studio peuvent être plus intéressantes que des dessins animés. C’est d’autant plus vrai qu’on ne conseille pas de faire un marathon de dessin animé alors qu’on peut rester longtemps à écouter des histoires.

Surtout, parler, parler, parler.

La communication est essentielle. Ainsi,  ce conseil s’applique aux jeunes enfants comme aux plus grands. On peut par exemple commenter ce que l’on voit quand on visionne un dessin animé pour limiter l’usage passif des tout petits. Pour les grands, on parle pour garder la communication ouverte. Il est important qu’ils se sentent à l’aise de nous parler de ce qu’ils ont vu, des nous enseigner aussi des nouveautés !)

En conclusion, il est temps de mettre fin à la diabolisation des écrans : ça ne fait pas avancer la cause. Utilisons-les de manière pragmatique, adaptée à l’âge de nos enfants, et encourageons leur développement tout en fixant des limites saines. Avec un peu de bon sens, nous pouvons guider nos petits explorateurs dans cet univers numérique en constante évolution.

N’oublions pas que les écrans sont des outils, et c’est à nous, adultes responsables, d’enseigner à nos enfants comment les utiliser de manière équilibrée et constructive. Alors, embrassons la technologie, apprenons avec elle et créons un monde numérique où nos enfants peuvent s’épanouir en toute sécurité.

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du mardi 23 au samedi 27 mai – découvertes, exposition, échanges – médiathèques de Villeurbanne

Les Semaines des handicaps reviennent ! Les médiathèques s’associent cette année encore à cet événement villeurbannais qui favorise l’ouverture vers l’autre et l’inclusion. Ateliers, exposition, projection, rencontres, sont ainsi organisés dans les différents services pour parler de handicap et s’inscrire dans la lutte contre les préjugés et discriminations.

À la médiathèque du Rize

• Tacti’Jeux : une exposition sur le thème des jeux pour les enfants aveugles, à voir, à explorer, à toucher… et à emprunter à la médiathèque !
  
• Rencontre avec le typographe Jonathan Fabreguettes du studio typographies.fr qui a développé la police gratuite Luciole, caractère typographique conçu spécifiquement pour les personnes malvoyantes
• Découverte des outils numériques adaptés de la médiathèque

À la Maison du livre, de l’image et du son

• Rencontre avec le streamer Sanslesmains73 sur la place des handicaps dans le monde des jeux vidéo
  
• Initiation à la Langue des Signes Française le temps d’un café signé
• Sensibilisation à l’audiodescription en deux séances : une séance autour du film documentaire La saison des tourteaux de Martin Benoist et une projection spéciale jeune public avec Jean-Michel le Caribou et les histoires d’amour interdites

À la médiathèque du Tonkin

• Pareil, Pas pareil : une création sonore collective avec le groupe scolaire Lazare-Goujon et avec la Fête du livre jeunesse, à découvrir au creux de l’oreille
  

Pour découvrir l’ensemble du programme de la Semaine des handicaps : cliquez ici !

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du mardi 23 au samedi 27 mai – découvertes, exposition, échanges – médiathèques de Villeurbanne

Les Semaines des handicaps reviennent ! Les médiathèques s’associent cette année encore à cet événement villeurbannais qui favorise l’ouverture vers l’autre et l’inclusion. Ateliers, exposition, projection, rencontres, sont ainsi organisés dans les différents services pour parler de handicap et s’inscrire dans la lutte contre les préjugés et discriminations.

À la médiathèque du Rize

• Tacti’Jeux : une exposition sur le thème des jeux pour les enfants aveugles, à voir, à explorer… et à toucher !
  
• Rencontre avec l’inventeur de la police de caractère pour déficients visuels Luciole
• Découverte des outils numériques adaptés de la médiathèque

À la Maison du livre, de l’image et du son

• Rencontre avec le streamer Sanslesmains73 sur la place des handicaps dans le monde des jeux vidéo
  
• Initiation à la Langue des Signes Française le temps d’un café signé
• Sensibilisation à l’audiodescription en deux séances : une séance autour du film documentaire La saison des tourteaux de Martin Benoist et une projection spéciale jeune public avec Jean-Michel le Caribou et les histoires d’amour interdites

À la médiathèque du Tonkin

• Pareil, Pas pareil : une création sonore collective avec le groupe scolaire Lazare-Goujon et avec la Fête du livre jeunesse, à découvrir au creux de l’oreille
  

Pour découvrir l’ensemble du programme de la Semaine des handicaps : cliquez ici !

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À partir de 13 ans – du mardi 9 au samedi 20 mai – Maison du livre, de l’image et du son et médiathèque du Tonkin – dans le cadre du Festival Pop’Sciences

Les casques VR (Virtual Reality) sont équipés de lentilles spéciales, indispensables pour visionner les vidéos. Des capteurs de mouvement intégrés au casque servent à repérer le déplacement de la tête.
Chaque fois que l’utilisateur bouge sa tête, le même effet est appliqué à la vidéo.

On peut alors être projeté dans des univers différents et ressentir toute une palette d’émotions.

Un programme de 8 films sélectionnés pour leurs qualités en terme de créativité et d’immersion est proposé :

1^st Step de Jörg Courtial (14 min, VOST) – documentaire / espace
En commençant par l’ascenseur qui monte le long de la fusée fumante et en jetant un regard à l’intérieur de l’étroite capsule du module de commande, voici le lancement impressionnant d’Apollo 11 jusqu’à son retour.

Danseur étoile de Chloé Rochereuil (11 min, VF) – documentaire / danse
Hugo Marchand est le plus jeune danseur étoile de l’Opéra de Paris. Il a moins d’un mois pour préparer le ballet Raymonda, l’un des spectacles les plus difficiles de sa carrière. Suivez-le dans les prestigieuses coulisses de l’Opéra.

Conscious Existence de Marc Zimmermann (12 min, VOST) – fiction / merveilleux
Une ode au plus précieux des cadeaux : notre esprit conscient, qui nous permet de sentir et de garder en nous la beauté infinie de l’univers.

Everest VR de Jonahtan Griffith (10 min, VOST) – documentaire / montagne
Vous avez toujours rêvé de gravir le mont Everest ? Accompagnez Jonathan Griffith et Sherpa Tenji alors qu’ils tentent d’accomplir l’impossible : l’ascension de l’Everest sans bouteille d’oxygène.

Feather de Keisuke Itoh sans paroles (12 min) – fiction / jeunesse
Une petite poupée vit dans une maison de poupée au grenier et rêve de devenir une danseuse de ballet.

Planet Infinit de Momoko Seto sans paroles (7 min) – fiction / nature
Dans un monde en ruines, seuls les champignons et les moisissures poussent au milieu de gigantesques corps d’insectes séchés. Lorsqu’un changement climatique se produit, la pluie irrigue la planète aride et l’inonde progressivement. Dans l’eau jaillit un écosystème, peuplé de têtards carnivores géants.

The Real Thing de Benoît Felici et Mathias Chelebourg (16 min, VOST) – documentaire / architecture
Ce film explore les plus impressionnantes ” fausses villes “. Voyagez de Londres à Venise sans jamais quitter la Chine ! À l’heure où la réalité virtuelle ouvre grand la porte au tourisme numérique, ces villes copiées offrent une véritable expérience de voyage stationnaire.

Les Ménines de Carlos Franklin (6 min, VF) – documentaire / peinture
Diego Velàzquez nous dévisage, installé derrière son chevalet. Son regard nous invite. Nous passons de l’autre côté de ce tableau-miroir et pénétrons au cœur de l’œuvre, pour partager avec le peintre les vertiges et les échos énigmatiques dont il ne cesse de jouer. Entre illusion et réalité, Velàzquez s’empare de nos sens.

Pour aller plus loin, une sélection de films à découvrir autour de l’intelligence artificielle en général, des jeux vidéo, métavers et multivers.

Horaires :

À la Maison du livre, de l’image et du son :
lundi : 14h-19h / au service disco/vidéo
mardi à vendredi : 11h-19h/ au service disco/vidéo
samedi : 10h-18h / au service disco/vidéo
dimanche 14 mai : 10h-18h / à l’espace multimédia

À la médiathèque du Tonkin :
mardi, vendredi : 16h-19h
mercredi, samedi : 10h-13h, 14h-18h
sauf samedi 13 mai : dispositif uniquement à la Maison du livre

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du mardi 9 au dimanche 14 mai – oeuvre et c@fé numérique dans le cadre du Festival Pop’Sciences – Maison du livre, de l’image et du son

Effleurer une plante, la voir réagir à notre toucher et commencer à chanter : c’est l’expérience sensorielle que vous propose le couple d’artistes Scenocosme (Grégory Lasserre & Anaïs met den Ancxt). À l’occasion du festival Pop’sciences, ils installent leur œuvre Phonofolium, une œuvre entre végétal et technologie numérique, qui questionne nos relations énergétiques invisibles avec les êtres-vivants.

Le couple d’artistes Scenocosme travaille sur des hybridations possibles entre végétal et technologie numérique. Ils utilisent les plantes comme des capteurs naturels et vivants, sensibles à des flux énergétiques divers. Ils rendent sensibles les variations énergétiques infimes des êtres-vivants en proposant des mises en scène interactives où les spectateurs partagent des expériences sensorielles extraordinaires.

L’art numérique est par excellence un art interactif et immersif. Il provoque des émotions singulières qui permettent de mettre en scène des liens habituellement imperceptibles entre les être-vivants. Le couple d’artiste Scenocosme et Léa Dedola spécialiste des arts numériques, vous invitent à interroger à leur côté le sens de l’hybridation entre nature et technologie dans l’art.  Samedi 13 mai de 10h30 à 12h, plongez dans l’univers de l’art numérique interactif et immersif avec, en prime, de savoureuses douceurs !

Laissez vous porter par l’expérience sensorielle hors du commun de Phonofolium, du mardi 9 au dimanche 14 mai à l’espace multimédia de la Maison du livre, de l’image et du son !

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festival du vendredi 12 au dimanche 14 mai – expositions et ateliers du mardi 9 au samedi 27 mai – Maison du livre, de l’image et du son

En mai, le festival Pop’Sciences, le rendez-vous des jeunes, des familles et des curieux de sciences, dépose ses valises à Villeurbanne et plus particulièrement à la Maison du livre, de l’image et du son et à la salle Raphaël De Barros.

Au programme de cette 4^e édition : une centaine d’animations accessibles, gratuites et ouvertes à tous : ateliers, jeux, expositions, expérimentations…
Le festival Pop’Sciences s’articule autour du thème “Un monde en transition” : transition écologique, démocratique, sociale… mais pas seulement ! Un thème décliné par de nombreuses portes d’entrées : biologie, histoire, astronomie, mobilités, etc.

À la Maison du livre, de l’image et du son, pendant ces trois jours en amont et au-delà, trois thèmes sont plus particulièrement abordés :
– les graines et le végétal : autour de ce thème, (re)découvrez nos grainothèques, participer à des ateliers boutures, papiers ensemencés et bombes à graines, découvrez des expositions, effleurez l’oeuvre numérique Phonofolium et interrogez autour de celle-ci les rapports entre art, nature et technologie.
– la réalité virtuelle : grâce à un programme de 8 films à découvrir !
– la BD scientifique : découvrez notre sélection de bandes dessinées de vulgarisation, amusantes et instructives, (Le département des théories fumeuses de Tom Gauld, Tu mourras moins bête de Marion Montaigne), rencontrez Virginie Ollagnier le dimanche 14 mai à 14h, autrice scénariste au cœur de notre monde en transition (Ils ont tué Oppenheimer – passage à l’ère atomique -, Kia Ora -déracinement et acculturation des maoris-, ou encore Nellie Bly : dans l’antre de la folie -les asiles psychiatriques américains, début 20^ème-.  Vous en voulez encore ? Venez assister à une grande Battle BD samedi 13 mai au CCVA à 16h !

Retrouvez également d’autres BD documentaires dans l’espace végétal !

En plus, pendant le festival, la salle d’exposition du -1 se transforme en espace de jeux et découvertes scientifiques, des dinosaures géants s’installe dans la médiathèque et l’auditorium reçoit des chercheurs de tous bords pour des mini-conférences… Un programme riche, à découvrir au complet sur le site Pop’Sciences !

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L’application d’ histoires audios qui va devenir la nouvelle passion de vos enfants

Vous n’avez pas envie d’investir dans une boite à histoires mais vous cherchez une application ou un site avec des contenus audios adaptés aux enfants ? Vous allez devenir addict à Alma Studio !

C’est quoi Alma Studio ?

Alma studio c’est une application disponible sur l’Apple Store et Google Play avec plus de 500 histoires en français pour les enfants entre 3 et 10 ans. S’il s’agit d’une application, l’interaction avec l’écran dure le temps de la sélection de l’histoire puis l’écran devient noir et… place au son ! Attention, il ne s’agit pas de n’importe quel son. D’abord, parce que ce sont des grands talents qui prêtent leur voix aux histoires d’Alma Studio. Qu’il s’agisse d’Ahmed Sylla, Virginie Efira ou encore Gérard Jugnot, ces grands interprètes s’appliquent à donner vie aux histoires avec engagement et humour.

Ensuite, l’attention toute particulière accordé à une création audio de qualité n’est pas un hasard puisque c’est le célèbre DJ Martin Solveig qui est à l’origine de ce projet : la réalisation est soignée. Les enfants ne s’y trompent pas et plongent dans ces histoires sans grandes difficultés. Ils se délectent de ces univers sonores riches, des histoires souvent drôles. Les parents apprécient les contenus pédagogiques et l’approche didactique sur de nombreux sujets.

Quel type d’histoire trouve-t-on sur Alma Studio ?

Les histoires d’Alma Studio ont toutes un véritable valeur pédagogique. On est loin des dessins animés courts parfois un peu simplistes qui occupent mais sont pauvres en apprentissage. En particulier, avec les histories d’Alma Studio, on peut :

• Voyager avec les balades de Max et Orso qui vont nous faire découvrir New York par exemple. Il y aussi Tamara et Nino qui voyagent à travers le monde grâce à un coffre magique.
• Apprendre et découvrir grâce aux héros. Par exemple, Marcelle et Mia qui nous emmènent à la découverte de grands personnages comme Pelé ou Joséphine Baker. Il y aussi Djo Le Cerveau qui nous fait découvrir le corps humain avec humour.
• Vivre des aventures avec Agathe La Pirate ou Ghosti
• Se détendre et s’endormir avec Lou sous les étoiles ou Les contes apaisants de Sasha
• Redécouvrir les contes célèbres comme Aladin, Peter Pan ou encore Alice au Pays des Merveilles.
• Il y a même des petites histoires autour des émotions ou des situations de la vie comme Ina Même pas Mal.  On y partage le quotidien de Ina qui est coincée sur une chaise roulante mais qui découvre des tas de choses grâce à son Papa. Si vous avez été enfant dans les années 80, ça vous rappellera peut-être les aventures de Clémentine et sa bulle merveilleuse.

Chez nous, on a une passion toute particulière pour Nino et Tamara et leur coffre magique !

Des histoires adaptées à toutes les situations

C’est vraiment varié et les enfants y prennent autant de plaisir que les parents (j’ai personnellement appris des tas de choses!)

En outre, ce qui est appréciable c’est que les enfants ne se lassent pas. On peut sélectionner les histoires par genre ou par série de personnages. C’est donc suffisamment varié pour que les enfants ne soient pas blasés ou ennuyés ou bout de quelques minutes. Les épisodes sont courts – entre 5 et 10 minutes – pour garder les enfants concentrés tout au long de l’histoire. Les histoires pour s’endormir sont cependant un peu plus longues pour accompagner les enfants vers le sommeil.

Comment utiliser Alma Studio ?

L’application se télécharge sur les store habituels.

Création du/des profil(s) enfant(s) :

On commence donc par créer le profil des enfants (on peut en ajouter toute une ribambelle) en indiquant le prénom, la date de naissance et en ajoutant un petit avatar

Découvrir les histoires et les personnages d’Alma Studio

L’espace parent permet de découvrir les personnages et les histoires afin d’aider les enfants à faire des choix. On y découvre les différents héros des séries : Zeze Micro, Djo ou encore Pêche et Ninon. Ainsi, cela permet de comprendre leurs spécificités et la nature des histoires dans lesquels ils jouent. Ce page permet également de retrouver facilement les nouveautés et les suggestions spécifiques à chaque enfant en fonction de son âge. Enfin, les histoires sont aussi classées par catégorie. Cela permet de comprendre quelles histoires sont plutôt là pour nous faire rire, faire dormir ou apprendre (ou les trois en même temps ?).

Configuration de l’espace parent

Dans l’espace parent, on a la possibilités de paramétrer les éléments suivants :

1. L’anti-zapping. Cela aide les enfants à se plonger dans l’histoire sans être tenté de changer de plage dès les premières secondes
2. Le minuteur qui permet de fixer un temps d’écoute total
3. La possibilité d’afficher ou non la barre de lecture. Cette fonctionnalité est désactivée automatiquement pour les enfants de moins de 7 ans.
4. La gestion du stockage : les histoires sont accessibles hors ligne et donc téléchargée à chaque lecture. Il faut penser à faire un petit nettoyage de temps en temps

Ainsi, l’espace parent contient également toute une série d’articles comme une sorte de blog avec des conseils sur la manière de protéger les enfants des ondes ou les garder concentrer par exemple.

Combien coûte l’application ?

L’application est disponible au prix mensuel de 7.99€ (sans engagement) et au prix annuel de 59,99€ (soit 4,99 € par mois).L’application est régulièrement alimentée de nouveaux titres, c’est vraiment un prix très raisonnable. En plus, il est possible d’avoir jusqu’à 4 enfants utilisateurs sur un seul compte et un compte permet une installation sur 5 appareils différents !

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Duolingo est une application pour apprendre l’anglais gratuitement (et d’autres langues étrangères). C’est étonnant que nous n’ayons pas encore d’avis ici car l’application a déjà été téléchargée plus de 500 millions de fois et est utilisée par plus de 42 millions de personnes à travers le monde ! Elle est gratuite avec une option payante pour ceux qui souhaitent aller plus loin mais vous pouvez déjà apprendre beaucoup avec la version gratuite.

Duolingo : une vraie bonne idée pour apprendre les langues avec les enfants ?

Mais est-ce que cette application est réellement efficace pour les enfants ? Dans cet article, nous allons explorer les avantages et les inconvénients de Duolingo pour les enfants, et comment cette application peut les aider à apprendre l’anglais.

L’application Duolingo est une méthode d’apprentissage de l’anglais en ligne qui utilise une variété d’outils interactifs pour aider les enfants à apprendre la langue. Vous pouvez l’utiliser en ligne ou télécharger les applications mobiles.

Les avantages de Duolingo pour les enfants sont nombreux. Tout d’abord, l’application utilise une approche gamifiée pour l’apprentissage, ce qui signifie que les enfants peuvent gagner des points et des récompenses en complétant des tâches et des activités. Cela peut aider les enfants à rester motivés et intéressés par l’apprentissage de l’anglais.

De plus, Duolingo est adaptatif, ce qui signifie qu’il peut s’adapter aux besoins individuels de chaque enfant. L’application utilise une méthode d’apprentissage en fonction des résultats de l’enfant, ce qui permet à chaque enfant de progresser à son propre rythme.

Quelques éléments importants à considerer dans l’usage de Duolingo

En outre, Duolingo est entièrement gratuit, ce qui signifie que les parents n’ont pas à investir de l’argent dans des cours d’anglais coûteux. Les enfants peuvent apprendre l’anglais de manière autonome à leur propre rythme, sans avoir besoin d’un enseignant ou d’un tuteur.

Cependant, il y a aussi des inconvénients à l’utilisation de Duolingo pour les enfants. Tout d’abord, l’application ne peut pas remplacer complètement un enseignant qualifié, car elle manque de la possibilité de fournir des commentaires individualisés.

Le système de récompenses sur les applications a ses limites : les enfants peuvent être distraits par les récompenses et les aspects ludiques de l’application, et perdre de vue l’objectif principal, qui est d’apprendre l’anglais. C’est important de ne pas se focaliser uniquement sur l’obtention des points et bien sur ce que l’on a appris.

Enfin, bien que Duolingo soit une plateforme efficace pour l’apprentissage de l’anglais, il ne devrait pas être utilisé comme la seule méthode d’apprentissage de l’anglais pour les enfants. Les enfants devraient être encouragés à lire des livres en anglais, à écouter de la musique en anglais, et à regarder des films en anglais pour améliorer leur compréhension de la langue.

Comment marche l’application Duolingo ?

Duolingo utilise une variété d’outils interactifs pour aider les apprenants à améliorer leur compréhension de la langue. Il est important de rappeler qu’elle s’adresse aux débutants (peu importe l’âge).

Tout d’abord, l’application commence par évaluer le niveau de compétence de l’apprenant dans la langue qu’il souhaite apprendre. L’évaluation initiale permet à l’application de créer un plan d’apprentissage personnalisé pour chaque apprenant. Le plan d’apprentissage est basé sur les résultats de l’évaluation, et est conçu pour aider l’apprenant à progresser à son propre rythme.

Ensuite, l’apprenant peut commencer les leçons. Les leçons sont divisées en unités, qui sont à leur tour divisées en leçons individuelles. Les leçons individuelles se concentrent sur des thèmes spécifiques, tels que les couleurs, les chiffres, les verbes, etc. Les leçons sont courtes et présentent des exercices interactifs pour aider l’apprenant à comprendre les concepts.

L’application utilise une approche gamifiée pour l’apprentissage, qui signifie que les apprenants peuvent gagner des points et des récompenses en complétant des tâches et des activités. Cela peut aider les apprenants à rester motivés et intéressés par l’apprentissage de la langue.

De plus, Duolingo est adaptatif, ce qui signifie qu’il peut s’adapter aux besoins individuels de chaque apprenant. L’application utilise une méthode d’apprentissage en fonction des résultats de l’apprenant, ce qui permet à chaque apprenant de progresser à son propre rythme.

Enfin, l’application utilise une variété d’outils pour aider les apprenants à améliorer leur compréhension de la langue. Ces outils comprennent des cartes flash, des exercices de grammaire et de vocabulaire, ainsi que des exercices de compréhension orale.

L’anglais mais pas seulement

L’application permet d’apprendre d’autres langues comme l’allemand, l’espagnol, l’italien et le portugais. Le principe est toujours le même et s’adresse aux apprenants débutants.

Il y a également une application spéciale dédiée aux écoles qui permet aux enseignants d’avoir accès à un tableau de résultat personnalisé et de suivre les progrès des élèves.

Enfin, l’application offre également une possibilité de tester son niveau et d’obtenir une certification de niveau d’anglais officielle. Le test est accepté dans plus de 4000 établissements à travers le monde.

Dans quels cas le freemium Duolingo est-il intéressant ?

Il est parfaitement possible d’utiliser Duolingo sans payer. Vous devrez payer dans les cas suivants :

• Pour la certification du niveau d’anglais
• Pour une version plus avancée liée aux écoles
• La version de l’app freemium (environ 6€99 par mois) pour avoir accès à des dispositifs supplémentaires tels que :
  • Des approfondissements sur certains sujets
  • Pas de publicité
  • Des vies (coeurs) illimités

Cette dernière option est surtout intéressante si vous souhaitez avoir un usage plus intense de l’application ou si vous souhaitez contribuer à l’approche de Duolingo qui consiste à rendre l’éducation accessible à tous (si vous pouvez vous le permettre, bien entendu).

En conclusion, l’application Duolingo est une méthode d’apprentissage de l’anglais efficace pour les enfants. Elle offre une approche gamifiée, est adaptative, et entièrement gratuite. Cependant, il ne devrait pas être utilisé comme la seule méthode d’apprentissage de l’anglais pour les enfants. Les parents devraient encourager leurs enfants à compléter leur apprentissage avec d’autres activités pour améliorer leur compréhension de la langue.

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Encore un grand succès de WeWantToKnow (récemment racheté par Kahoot!) dans la mise en scène ludique des raisonnements mathématiques !

Alerte : appli intelligente !
Pensiez-vous un jour jouer à résoudre [e+x(-f)=a] ? N’ayez pas peur, c’est et cela reste un jeu dans cette appli adaptée aux enfants. C’est promis.

Pour les enfants, cette application se résume à isoler une boîte dans son coin.
Dans la réalité, ils font leurs premiers pas dans la résolution d’équations d’algèbre et résolvent sans même s’en rendre compte des équations, des multiplications, des fractions…
WeWantToKnow a encore réussi son pari de mise en scène ludique et de simplification à l’extrême des raisonnements mathématiques !

Comment ça marche ?

Simplissime : un écran séparé en 2 parties, des cartes rigolotes et une boîte.  L’objectif reste toujours le même : isoler la boîte pour qu’elle se retrouve seule de son côté. La simplification du raisonnement et son côté très intuitif font qu’il n’y a pratiquement pas de règles du jeu. Pour arriver à l’objectif, les enfants doivent associer des cartes et leurs anti-cartes. Au départ, on joue avec des animaux, version jour et version nuit. Progressivement la boite devient un « x » (tiens tiens !) et les animaux se transforment en chiffres et en lettres (re-tiens tiens !!).

Lorsque l’énigme est résolue, l’enfant est évalué selon 3 critères : La caisse est seule, Bon nombre de coups et Bon nombre de cartes restantes. Pour permettre à l’enfant d’avoir toujours un bon score, il peut à tout moment et autant de fois qu’il veut recommencer la partie.

L’univers aussi a été travaillé pour correspondre aux enfants. A chaque nouvelle résolution d’équation, leur monstre grossit pour devenir encore plus effrayant.
Sous forme de jeu et d’image l’apprentissage est ludique et devient même un passe-temps addictif.

Ma petite critique ?

Il manque parfois le lien vers le rappel de la règle ou le petit indice pour guider l’enfant vers la solution lorsqu’il bute sur une énigme.

Dragonbox algebra existe aussi en version plus complète pour les enfants de 9 ans : Dragonbox Algebra 12+. Et du même éditeur, découvrez également DragonBox Elements pour exercer les raisonnements de géométrie de votre enfant !

Application présente également dans la sélection des Meilleures Applications pour les jeux éducatifs en ligne pour les enfants de 9 ans

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Une application qui vous permet de ressortir vos vieux Legos

Pour les fans de Lego qui sont un peu désorganisés ou les familles où les enfants mélangent un peu toutes les pièces, vous allez adorer cette application. On a beau avoir une créativité débordante, parfois, on se retrouve un peu ennuyé de ne pas savoir quoi faire de toutes nos pièces de Lego qui trainent dans la maison ou dans une boîte qui prend la poussière. Cette application va redonner envie à vos enfants de se plonger dans leurs Legos de créer encore et encore

Comment marche l’application Brickit ?

L’application est vraiment facile d’utilisation. Une fois téléchargée, ils vous suffit de procéder comme suit :

1. Commencez par autoriser l’application à accéder à votre appareil photo
2. Etalez les Legos sur le sol. Il n’y pas spécialement besoin de les ordonner mais il faut quand même les étaler de manière à ce qu’ils puissent être repérés
3. Scannez les Legos
4. Voilà, l’application vous affiche le nombre de modèles réalisables avec ce tas de Lego

Trouver un modèle qui vous inspire

L’application propose ensuite une série de créations possibles : des toutes petites et d’autres plus complexes. On peut choisir sa catégorie (animaux, bâtiments, véhicules). Les enfants trouvent vite le modèle qui les intéresse.

A savoir avant de commencer à utiliser Brickit

• L’application est disponible uniquement en anglais
• Nous avons utilisé et testé l’application uniquement sur iPhone et tout fonctionnait parfaitement bien. Cependant il semble que sur Android, cela ne fonctionne pas tout le temps. Il y a une période d’essai donc vérifiez bien que votre appareil reconnait les briques.
• Dans quelques cas, des pièces avaient été mal reconnues mais ce n’est vraiment pas fréquent.
• Si les formes sont reconnues, les couleurs sur les modèles ne sont pas les mêmes. Les propositions de modèles sont faits en fonction de la forme des pièces et non de leur couleur.

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Apprendre à s’informer, une priorité pour la nouvelle génération

L’éducation aux médias et à l’information (EMI) est devenue essentielle au XXIème siècle. Cependant cela reste un sujet sensible car c’est un efforts commun : à la maison, comme à l’école, il est essentiel d’aider les enfants à apprendre à traiter l’information et à la comprendre.

Doit-on parler de l’actualité avec ses élèves ?

La multiplication des supports médias et des sources d’ information

Analyser l’information, c’est important. Cependant, quand l’information est diffusée en continu sur des supports multiples, cela devient urgent d’avoir les connaissances et outils nécessaires pour appréhender cet univers et ne pas le subir. On estime qu’en France, une famille possède en moyenne 9,8 écrans ¹ ! Le journal télévisé a fait place aux chaînes d’information en continu. Les réseaux sociaux et les moteurs de recherche sont devenus la première source d’ information. Cette transformation des modes d’ information a été plus rapide que la mise en place de politique d’ éducation aux médias à l’école.

Est-ce le rôle des enseignants de parler d’actualité ?

En dehors de l’école, on est donc souvent connecté et c’est en classe que les enseignements sur ce sujet auront le plus d’impact car c’est l’un des seuls moments où les enfants ont la possibilité de prendre du recul, de comprendre le fonctionnement des médias et de se familiariser avec les enjeux liés aux flux continus de l’ information.

Les professeurs ont donc un vrai rôle à jouer pour amener la jeunesse à comprendre comment fonctionnent les médias et comment développer un esprit critique face à un contenu pas toujours fiable. C’est d’ailleurs également une volonté des parents : c’est en tout cas ce que révèle une étude réalisée dans le cadre du Guide de la famille Tout-écran. Les résultats de cette étude montrent que 78% des parents souhaitent un renforcement de l’éducation aux médias à l’école² .

De la maternelle au lycée, la gestion des écrans au coeur de l’ éducation

La question de l’éducation aux médias (EMI) commence avec la question de la gestion des écrans. Ceci est une base essentielle dès l’école maternelle et cela va continuer au primaire, au collège, etc.. Des nombreux supports pédagogiques existent – notamment l’UNAF et son site mon-enfant-et-les-ecrans.fr ou encore le CLEMI (Le centre pour l’éducation aux médias et à l’information) et le réseau Canopé qui proposent de nombreux dossiers, des chiffres clés pour créer de l’engagement et des ressources variées adaptées à tous les âges.

Comment rester neutre dans sa manière d’enseigner l’actualité ?

Ce qui réfrène le plus les enseignants sur cette thématique, c’est de ne pas savoir comment aborder ces sujets d’actualité sans rentrer dans la sphère personnelle. Les médias et internet, justement, mettent souvent en lumière le retour de flamme malheureux d’initiatives pour débattre de l’actualité. En réalité l’ EMI ne consiste pas nécessairement à débattre de l’actualité et des informations mais plutôt de :

1. De savoir identifier les sources d’informations et comment les valider
2. Leur apprendre à développer un esprit critique
3. Les aider à comprendre l’impact qu’une information reçue peut avoir sur eux

Un outil pédagogique adapté à l’éducation aux médias

WoW! News est l’un des médias pour enfant les plus adaptés pour aborder les sujets d’actualité et favoriser l’éducation autour de l’ information. Cette application accessible en ligne a pour mission de communiquer des informations sous un angle positif aux enfants. Une vraie révolution pour l’ EMI.

Comment utiliser WoW! News avec ses élèves pour éduquer aux médias ?

WoW! News ne livre pas seulement des bonnes nouvelles, elle est aussi construite de manière à encourager les lecteurs à se mettre en action. L’approche pédagogique et didactique est parfaite pour aborder les sujets d’actualité en classe et éviter toute approche polémique

Une source d’information fiable

Fondée par Catherine Bahl, passionnée de Communication NonViolente® et de Psychologie positive ainsi que par Alastair Macdonald, journaliste et ancien chef du bureau de l’agence Reuters à Bruxelles, les articles sont rédigées selon l’approche du journalisme de solutions. Les nouvelles publiées sont issus d’une analyse et d’une recherche approfondie et pensés de manière à aider à développer les esprits citoyens. Chaque sujet d’actualité est accompagné par la présentation d’une solution ou d’une découverte, ce qui permet de développer l’optimisme chez les enfants.

Des supports variés autour d’une même thématique

Les ressources mises à disposition par WoW! News chaque semaine sont riches afin de rentrer dans le sujet de manière cohérente :

1. Etablir la problématique
2. Comprendre la solution mise en œuvre
3. Se mettre en action

On comprend ainsi le problème rapidement mais on passe surtout son temps à décrypter la solution.

Des outils interactifs pour comprendre l’impact de l’ information

Quizz, vidéos, articles : l’application propose différents supports pour permettre aux enfants d’être engagés et aux enseignants de faire durer l’activité afin que chacun puisse se l’approprier.

Un exemple de l’usage de WoW! News en classe avec des élèves de CM2

Voici un exemple très concret de l’usage des ressources WoW! News à destination des classes avec un sujet dédié à l’accès à l’eau potable.

• On commence par présenter la problématique : l’accès à l’eau potable est un vrai défi pour près d’1/3 des habitants de la planète.

• Grande originalité par rapport aux médias traditionnels, on demande aux enfants ce qu’ils ressentent face à cet information. C’est important de comprendre que les informations ont un impact sur ce que l’on ressent car c’est ceci qui va nous mettre en action

• Avant de passer à la solution, on va demander aux enfants d’essayer de deviner quelle est l’idée que le protagoniste a trouvé pour purifier l’eau de son pays, encore une fois à travers un petit quizz

• Ensuite, on passe à la découverte de la solution en vidéo. La solution est également disponible sous forme d’article imprimable et inclut des questions pour s’assurer de la . Cette approche permet vraiment de garder les enfants captivés du début à la fin.

• Enfin, la dernière étape est la partie concernant la mise en action : qu’est-ce que l’on peut mettre en œuvre à notre échelle pour avoir également un impact positif ?

Le parcours dure entre 15 et 30 minutes, selon le temps dédié aux échanges à chaque étape. Un nouveau parcours et mis en ligne chaque semaine et vous pouvez en tester gratuitement certains.

Sources :

1. « Ipsos-Kids & Screens », citée dans P. Pinto Gomes, « Quand les nouvelles technologies déstabilisent la famille », La Croix, 20 novembre 2018

2. Résultat d’un questionnaire en ligne soumis à 2038 parents pas le CLEMI

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L’humanité se renouvelle grâce à la maternité. Nos enfants sont porteurs de tous les espoirs. Non seulement, on ne doit pas en douter mais on doit surtout cultiver cette vision positive de l’avenir comme un ensemble d’opportunités  qui s’offrent aux nouvelles générations pour en finir avec l’anxiété ambiante souvent véhiculée par les médias traditionnels et les réseaux sociaux.

L’optimisme est-il un trait de caractère ? Est-ce qu’il est culturel ? Ou est-ce qu’il s’apprend et se cultive ? A travers cet article, nous vous donnons des pistes concrètes sur la manière d’aider les enfants à voir le bon côté des choses.

Les jeunes sont plus enclins à être optimistes

Contrairement à ce que l’on pense, les jeunes ne sont pas nécessairement les plus pessimistes. Selon une étude mondiale commandée par l’UNICEF, près de la moitié des enfants et des jeunes sont plus enclins que les adultes à penser que le monde s’améliore avec chaque génération. Dans le cadre de cette étude appelée « The changing childhood project », près de 21’000 jeunes ont été interviewés dans plusieurs dizaines de pays. Les enfants ne naissent donc pas avec une vision pessimiste des choses. Il s’agit du coup de les aider à garder une vision pleine d’ optimisme du monde.

Voir les choses du bon côté, ça s’entretient

Ce qui est donc important c’est d’aider les jeunes à conserver cette confiance en l’avenir et ne pas leur communiquer une tendance très marquée en France qui consiste à avoir une vision négative de la politique et des actions collectives en général.

On va donc aider les enfants à voir les opportunités derrière chaque situation et les solutions derrière chaque problème.

Le pessimisme est d’humeur ; l’ optimisme est de volonté. Propos sur le bonheur, Jacques Bainville

Passer à l’action c’est ouvrir les mondes possibles

Il est surtout important de montrer aux enfants qu’ils peuvent avoir un impact positif sur le monde. Le pessimisme va de pair avec le fatalisme. Ce que l’on veut c’est prouver aux enfants qu’il y a toujours moyen d’avoir un impact, même à petite échelle.

Notre façon de voir le monde, peut changer le monde. Descartes

Choisir ses sources d’information aide être optimiste

Pour ne pas dénaturer l’ optimisme des enfants, on commence par s’assurer qu’ils ne se retrouvent pas submerger par des mauvaises nouvelles en série. On évitera soigneusement les chaînes d’information continues et les vidéos complotistes sur YouTube qui vont avoir tendance à favoriser les pensées anxiogènes et négatives.

WoW! News : Le 1er média positif pour les 8-12 ans

WoW! News est un média en ligne qui s’adresse aux jeunes. Chaque semaine, il fait découvrir aux enfants l’histoire d’une personne qui change le monde pour les inspirer et leur donner envie d’agir. L’approche engageante mélange article, vidéos et contenus interactifs. Pour chaque sujet, on va aborder :

1. La problématique
2. Une  solution
3. Des propositions de mise en action

Cela peut être addictif de se nourrir de bonnes nouvelles . Et d’ailleurs aussi utile pour les parents que pour les enfants. C’est également un excellent support pour discuter et débattre avec nos jeunes, parler de l’avenir et développer leur esprit critique.

10 raisons de voir le verre à moitié plein

Au fait, c’est quoi ces bonnes nouvelles ? Y a-t-il vraiment de quoi se réjouir ou est-ce simplement la technique de l’autruche qui consiste à ignorer les « vrais » problèmes ? S’informer est devenu synonyme de voir ce qui se passe mal dans le monde, alors que bien entendu, il y a aussi énormément d’espoir et de belles avancées. Nous avons parcouru les derniers articles de WoW! News et nous en avons déduit 10 tendances qui nous font penser que le meilleur est à venir.

Raison n°1 : nous pouvons aider la planète à aller mieux

Il existe 2 manières de voir la situation écologique. Il y a la version fataliste, qui consiste à penser que tout est fichu. Ou alors, il y a la version optimiste qui consiste à penser que cette prise de conscience permet une mise en action toujours plus efficace : plus on en fait, plus on apprend, plus on est efficace. Saviez-vous par exemple que l’interdiction des produits qui dégradent la couche d’ozone fonctionne ? Le dernier rapport des Nations unies sur la couche d’ozone constate qu’elle est en passe de s’être reconstituée en une quarantaine d’années (d’ici 2040).

L’interdiction, à l’échelle de la planète, des produits à l’origine de sa dégradation fonctionne.

Ca commence bien, non ? Allez, on continue !

Raison n°2 : nous apprenons à consommer plus intelligemment

Dans la continuité de cette bonne nouvelle, consommer n’est plus nécessairement péjoratif. On peut consommer de manière intelligente c’est-à-dire raisonnée et raisonnable. Par exemple, quand on produit, on est plus soucieux de l’origine des produits : on va faire en sorte de ne pas appauvrir les sols et s’assurer que cela soit aussi produit dans de bonnes conditions. Acheter un article qui contribue à créer de la valeur et des emplois c’est quand même moins culpabilisant que de s’offrir une nouvelle paire de basket fabriquée à l’autre bout du monde.

Dans un article publié dans WoW! News, Roger Manora, par exemple, s’est découvert une passion pour le chocolat et il a décidé d’en profiter pour créer une chaîne plus vertueuse d’exploitation des graines de cacao en République Démocratique du Congo d’où il est originaire. Ce pays est riche en matières premières mais gagnait peu sur la production du chocolat car la fève était exploité à l’étranger. En créant des usines sur place, Roger a permis de créer une chaîne de valeur plus vertueuse et surtout de développer de l’emploi et du savoir-faire dans son pays.

Raison n°3 : les métiers de demain seront moins laborieux

Si certains ont peur de l’Intelligence Artificielle, il faut se dire qu’elle a quand même l’avantage de rendre certaines tâches moins laborieuses. Cela n’est pas nécessairement synonyme de destruction d’emplois mais plutôt d’évolution du monde du travail !

Il y a des années les employés de banque avaient pour rôle principal de distribuer les billets. À l’arrivée des distributeurs automatiques, tout le monde pensait que le métier disparaitrait. Non seulement il y a plus d’employés de banque aujourd’hui mais le métier c’est aussi complètement réinventé pour faire place à des tâches à plus grande valeur ajoutée.

Alors on a hâte de découvrir à quoi ressemblera le travail du XXIème siècle : travailler moins mais beaucoup mieux ?

Raison n°4 : on apprend à prendre soin de soi

Le travail c’est bien mais pas à n’importe quel prix ! Certes les questions de développement personnel vont parfois causer des défis à la fois logistiques et existentiels pour la génération de travailleurs actuels. Cependant, il y a de bonnes raisons de penser que le bien-être devient une question centrale tant au niveau personnel, qu’au niveau sociétal. Prendre soin de soi pour mieux prendre soin des autres ; c’est une véritable révolution.

On apprend, par exemple, aux enfants à méditer. C’est une manière de leur apprendre à prendre soin de leur santé mentale et à mieux appréhender certains situations des tress.

Raison n°5 : L’éducation est au centre des préoccupations

Le droit à l’éducation n’a pas toujours été une évidence. On a tendance à l’oublier. Pourtant, depuis quelques années, l’éducation est au centre des discussions. C’est d’ailleurs l’un des 17 piliers identifiés par l’ONU pour créer un monde plus durable pour les générations à venir.

Encore trop d’enfants n’ont pas accès à l’éducation mais les outils modernes et les prises de conscience permettent de faire de grands pas en avant. Parmi les anecdotes marquantes sur ce sujet, on peut évoquer cette initiative d’une jeune Indienne, Sagarika Deka, qui a décidé d’agir pour aider les jeunes Indiens déscolarisés. Il y a plus de 6 millions d’enfants qui ne vont pas à l’école en Inde. Le projet de Sagarika est simple : il s’agit d’une école solidaire où ceux qui ont eu la chance d’aller à l’école vont pouvoir enseigner aux enfants qui vivent dans la rue. C’est un lieu d’enseignement mais aussi un lieu de vie !

Raison n°6 : On prend des habitudes plus saines

C’est fini le monde où l’on fumait à son bureau et où l’on buvait du whisky en plein milieu de l’après-midi sans se préoccuper des effets sur la santé. Nous avons désormais conscience des conséquences dévastatrices pour la santé de ces habitudes; nous commençons à comprendre que la sédentarité aussi peut être extrêmement néfaste. Et cela nous met en action !

On voit certains pays prendre des mesures radicales face à la cigarette par exemple. De la même manière, on dédie plus de temps aux activités sportives et on essaie de manger plus varié et plus frais.

Raison n°7 : Des solutions contre la faim dans le monde et le manque d’eau

L’innovation se met aussi au service de causes importantes comme la faim dans le monde et le manque d’eau potable. On voit émerger des initiatives qui fonctionnent et qui donnent bon espoir de voir des véritables solutions émerger pour lutter contre ce fléau.

Parmi les jolies histoires, il y a Moyo qui a inventé un nouveau « super-aliment » qui pousse sans pluie et supporte les inondations. Ou encore ces pompes inventées par un français qui permettent de purifier l’eau des lacs et des rivières sans électricité .

Raison n°8 : La recherche médicale progresse

L’avenir réserve aussi de jolies perspectives concernant le progrès médical : on est capable de faire de meilleurs diagnostics, plus rapidement et de trouver des protocoles personnalisés à chaque patient. Et ce n’est pas forcément grâce à l’intelligence artificielle (même si elle y contribue fortement) : on a réussi à trouver comment dresser des fourmis à repérer des tumeurs par exemple !

La recherche se fait également dans de meilleures conditions : on utilise de plus en plus des insectes du type mouches à fruits plutôt que des rats ou des souris et il y a actuellement de plus en plus de discussions pour abolir l’obligation de faire des tests sur les animaux.

Raison n°9 : L’optimisme permet d’être en meilleure santé

Si vous n’êtes pas convaincus par les perspectives d’avenir proposées ci-dessus, essayez l’ optimisme pour votre propre bien-être. En effet, le taux de cortisol (autrement dit l’hormone du stress) est bien plus élevé chez les personnes anxieuses. Les optimistes tendent à avoir une bien meilleure santé que cela soit au niveau psychologique ou physiologique. Alors pourquoi s’en priver ?

Raison n°10 : L’ optimisme, c’est contagieux

Enfin s’il y a bien une raison de vouloir vous convertir à l’ optimisme, c’est que cela va créer une véritable vague vertueuse. Être optimiste, c’est une doctrine qui se pratique et se transmet. Quand on a dans notre entourage quelqu’un qui voit le monde avec le verre à moitié plein, on a envie de le suivre, de voir la vie avec le même filtre !

Le meilleur moyen d’apprendre à voir le monde de manière plus optimiste, c’est d’adopter WoW! News le média qui aide les enfants à voir le meilleur de l’actualité ET qui les encourage à se mettre en action. Les enfants développent ainsi une bien meilleure perception de l’avenir et apprennent que le meilleur moyen que les choses soient comme on aimerait qu’elles soient, c’est d’agir.

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La santé mentale, selon l’OMS, « fait partie intégrante de la santé et du bien-être en général et constitue un droit humain fondamental. Jouir de sa santé mentale, c’est être capable de créer des liens, d’agir, d’être autonome et de s’épanouir. La santé mentale couvre un continuum complexe, qui va d’un état optimal de bien-être à des états invalidants très douloureux, notamment sur le plan émotionnel. » Depuis les crises récentes, le sujet de la santé mentale est de plus en plus présent : qu’il s’agisse des travailleurs, des dirigeants d’entreprise, des enseignants ou des parents, la prise en compte du bien-être n’est plus une simple lubie. Mais doit-on aussi s’inquiéter pour les plus jeunes et comment peut-on prendre soin de la santé mentale des enfants ? L’anxiété est-elle une réalité liée à cet âge et à la transition vers l’âge adulte ou est-ce un phénomène de société ? Comment aider à réduire l’anxiété toujours plus présente chez les adolescents ?

L’anxiété, le nouveau mal des adolescents

Parler d’un adolescent en pleine crise existentielle semble être presque un pléonasme. Évidemment, la transition vers l’âge adulte est source de nombreux questionnements. Les transformations physiologiques et psychologiques sont souvent une source de mal-être qu’il faut accompagner. C’est d’ailleurs un casse-tête pour de nombreux parents.

Cependant, ce que vivent les jeunes aujourd’hui va bien au-delà : il ne s’agit plus de s’inquiéter simplement de trouver sa place dans le monde mais pour l’avenir du monde en général

Une vraie pathologie qui touche près d’un adolescent sur deux

D’après une étude réalisée auprès de 1000 jeunes entre 11 et 15 ans par Ipsos en Octobre 2021, 43% d’entre eux seraient touchés par un trouble anxieux. Cette étude se base sur un évaluation de l’anxiété qui est cliniquement reconnue et il ne s’agit donc pas de simples déclarations.

Ces troubles touchent d’ailleurs de manière homogène, les filles et les garçons peu importe l’origine sociale ou le lieu de vie. C’est une vrai phénomène de société et bien plus qu’une tendance

Les principales sources de stress pour les enfants

Certes, la pandémie et les confinements successifs ont été une source d’angoisse pour beaucoup d’enfants, mais ce phénomène avait démarré bien avant le début de la crise sanitaire. On peut distinguer 3 raisons principales qui co-existent et vont engendrer le contexte anxiogène :

• L’actualité. Ces dernières années ont été riches en évènements qui nous ont touchés plus ou moins directement. Crise sanitaire, crise écologique, crise géo-politique… Ces événements ont une place privilégiée dans l’actualité : la complexité et la nouveauté de certains de ces phénomènes les rendent difficiles à appréhender pour les plus jeunes.
• Le flux d’information continu. Au-delà des faits qui peuvent être anxiogènes en soi, l’actualité est diffusée en continu, sur de multiples canaux et par de nombreuses sources différentes (plus ou moins légitimes). Cela amplifie l’impact qu’elle va avoir sur notre quotidien et la perception du monde qui se construit autour.
• Le manque de perspectives optimistes. On a beau avoir multiplié les sources d’informations, on ne peut pas dire que l’optimisme soit au rendez-vous. Les médias se focalisent bien plus sur les problèmes que sur les solutions. La permanence de l’information peut mettre en exergue notre impuissance à agir face à cette actualité.

Ce processus commence donc bien avant l’adolescence, souvent dès 7-8 ans, lorsque l’enfant découvre le monde qui l’entoure, que ce soit à la maison ou à l’école, et c’est l’approche à l’actualité en général qu’il faudrait accompagner.

Aider nos enfants à développer les compétences nécessaires pour faire face à la sur-information

On ne va pas pouvoir changer le monde dans lequel nos enfants évoluent d’un coup de baguette magique, mais nous pouvons les accompagner pour adapter leur champ de compétences afin de mieux naviguer dans cet univers. Esprit critique, créativité, curiosité, développement personnel, etc. C’est ce qui fera la différence.

Des applications, comme WoW! News sont pensées pour aider les enfants de 7 ans jusqu’à l’adolescence à mieux appréhender le monde en y apportant une analyse optimiste de l’actualité et en donnant des idées pour passer à l’action. Ça fait envie, non ? Essayons d’en apprendre plus !

Les compétences à développer chez nos enfants

Si nous souhaitons mieux préparer nos enfants à se construire une vision du monde plus optimiste, que faut-il donc leur enseigner ?

Nourrir leur curiosité

La curiosité est une grande qualité : le but n’est pas de couper les enfants des sources d’information mais de les encourager à s’intéresser à beaucoup de choses et surtout de varier les sources d’information. Ce qui est diffusé à grande échelle n’est pas la seule chose à laquelle il faut s’intéresser et c’est essentiel d’apprendre à aller voir ailleurs !

• Quel est le rôle du parent ? En tant que parent, c’est important pour vous d’inciter votre enfant à s’intéresser à de nombreux sujets, d’être force de proposition également et de lui donner accès à de nouvelles sources d’informations.

Développer un esprit critique

Leur apprendre à développer un esprit critique : se nourrir d’informations, c’est bien, mais il faut savoir prendre du recul, confronter les points de vue et faire ses propres conclusions. Le discernement est ce qui permettra aux enfants d’apprendre à se faire leur propre opinion en toute confiance. 

• Quel est le rôle du parent ? Soyez ouverts au débat et à la discussion. Laissez-les s’exprimer et partagez également votre point de vue. L’important est que l’enfant se sente libre et se confronter à vous lui permettra d’avoir son propre avis sur les questions qui le préoccupent.

Stimuler la créativité

Encourager la créativité : il ne s’agit pas uniquement de création artistique mais de trouver des liens dans toutes les situations et des idées qui sortent de l’ordinaire. Ce qui est drôle, c’est que nos enfants sont souvent créatifs car ils sont plus naïfs, moins formatés que les adultes : il faut continuer à nourrir cette capacité à créer et trouver des solutions innovantes, même si elles peuvent nous sembler quelquefois saugrenues.

• Quel est le rôle du parent ? Encore une fois, la communication est essentielle ici. Soyez à l’écoute de vos enfants, donnez-leur un cadre mais pas des solutions toutes faites pour qu’ils puissent peindre leur propre toile.

Développer l’intelligence émotionnelle

Aider les enfants à développer leur intelligence émotionnelle. C’est la base de notre humanité ! Les émotions nous poussent à l’action, elles influencent notre communication et nos relations. Il est essentiel de cultiver cette compréhension et d’encourager nos enfants à reconnaître et à exprimer leurs émotions.

• Quel est le rôle du parent ? Montrez l’exemple, parlez de vos émotions pour aider vos enfants à exprimer les leurs. Il en existe une liste très longue qu’il peut être intéressant de découvrir ensemble.

Pour commencer à se sentir mieux, on s’inspire avec WoW! News

Et pour développer toutes ces compétences, il suffit d’aller voir la web-app WoW! News.

L’approche ultra innovante de ce jeune média permet aux jeunes et à leurs parents d’avoir une autre lecture de l’actualité. Chaque semaine, un nouveau parcours de 15 minutes environ autour d’un sujet d’actualité est diffusé. Il présente une actualité, sous format écrit et imprimable ainsi que dans une vidéo. Le parcours se divise en 3 étapes :

• la présentation de l’actualité, de manière factuelle, pas catastrophiste, et souvent avec des chiffres qui permettent une mise en perspective
• Ensuite, on se focalise sur la solution ! L’information, même négative ou difficile, est toujours accompagnée de la présentation d’une solution, d’une ébauche de solution ou d’une découverte expliquée par la personne qui la met en oeuvre. Ça s’appelle le Journalisme de Solutions ou Journalisme Constructif et ça fait une sacrée différence !
• Puis, WoW! News aide à passer à l’action. Chacun.e de nous a des idées et des talents qui peuvent être actionnés. Des suggestions de petites actions à mettre en œuvre au quotidien montrent que chaque enfant peut devenir acteur et contribuer à résoudre les problèmes.

S’informer c’est bien, se mettre en action, c’est mieux

De plus, tout au long du parcours, les enfants sont invités à répondre à des quiz et à partager leurs émotions, ce qui donne un esprit ludique et interactif à l’application.

L’anxiété grandissante chez les enfants n’est pas une fatalité : il est important de mettre les bons outils à leur disposition et de toujours communiquer avec eux, même sur les sujets qui paraissent difficiles à aborder. Parler d’une solution et proposer des actions à portée de tous permet aux parents d’accompagner leurs enfants à grandir sereinement dans le monde d’aujourd’hui, pour construire ensemble celui de demain.

[1] Les adolescent.e.s face au monde, du mal-être à la détresse, IPSOS pour la Fondation Jean Jaurès, novembre 2021

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La frousse, les pétoches, la trouille, les chocottes… Du mercredi 11 au samedi 21 janvier, les médiathèques de Villeurbanne vous font frissonner, à l’occasion (et autour) de la 7^e édition des Nuits de la lecture.
Lectures à voix haute, séances contées pour les enfants, mais aussi projections, rencontres, performances et ateliers, autant d’exploration du thème de la peur sous une multitude de facettes.

Petites frayeurs avant la nuit
En amont de la période nationale des Nuits de la lecture, des rendez-vous réguliers des médiathèques seront teintés par la thématique de la peur : Musicâlin, atelier philo, sélection jeux vidéo, Écouter/voir les enfants.

Les Nuits de la peur
Jeudi 19 et vendredi 20 janvier, deux soirées sont consacrées à la peur : projection au Rize, rencontres à la Maison du livre autour de la peur dans l’art et du son au cinéma, Murder Party au Tonkin.
Attention ! La conférence Le son qui fait peur au cinéma du jeudi 19 janvier est annulée et reportée au jeudi 26 janvier.

Grand frisson final
Samedi 21 janvier, on clôt en beauté les Nuits de la lecture par une journée (et une soirée) de frisson : séances de contes pour enfants, jeux d’horreur en réalité virtuelle, création de badges et maquillages qui font peur, projection, lectures pour adultes, performance artistique, Murder Party…

Pour plus de détails et les inscriptions aux animations, consultez l’agenda.

Pour retrouver l’ensemble du programme, c’est ici.

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Quand on observe les jeunes adolescents et même les pré-adolescents, dès 8-9 ans, on constate que l’anxiété face à l’actualité est fréquente. Pourtant, s’il y a bien une chose que l’on souhaite pour les enfants de la nouvelle génération, c’est qu’ils restent insouciants aussi longtemps que possible. C’est bien là toute la valeur de l’enfance : regarder le monde avec des yeux innocents, parfois naïfs et qui permettent d’envisager tous les possibles.

Et pourtant, à l’ère où tout va plus vite, les enfants semblent rentrer dans des considérations d’adultes bien plus tôt qu’avant. D’ailleurs, d’un point de vue factuel, ils grandissent plus vite : l’âge moyen de la puberté ne cesse d’être de plus en plus précoce. Ce phénomène n’est pas nouveau, puisqu’on estime par exemple que l’âge des premières règles était de 17 ans en 1850 contre 13 ans aujourd’hui.

L’anxiété et le stress des jeunes enfants est l’une des conséquences de cette entrée rapide dans la vie des grands mais d’autres facteurs viennent nourrir les angoisses, à commencer par l’incertitude croissante face aux questions d’avenir : que cela soit à un niveau global quand on aborde la géopolitique, les problèmes liés à l’environnement ou encore à une échelle plus locale quand on évoque l’avenir professionnel et le futur du travail.

À cela s’ajoute la surinformation et la désinformation à laquelle les enfants sont très vite exposés grâce aux nouvelles technologies.

La bonne nouvelle, c’est qu’il est possible d’aider nos enfants à avoir une vision plus optimiste, à mieux appréhender le flux d’informations auquel ils sont exposés grâce à des ressources comme le média positif WoW! News dont nous parlons plus en détails dans la suite de cet article. C’est d’ailleurs quelque chose que nous pouvons volontiers considérer également en tant qu’adultes car nous ne sommes pas exempts de ce stress si particulier vis-à-vis du contexte médiatique du 21ème siècle.

Cet article vous guidera pour :

• Mieux comprendre comment le rapport aux flux d’informations dans les années 2020 est à la fois un progrès intéressant pour les jeunes mais aussi une vraie source de stress
• Trouver des solutions adaptées pour accompagner les enfants et les aider à avoir des perspectives d’avenir plus optimistes.

Les enfants, l’actualité, internet et les réseaux sociaux : un cocktail détonant

Les changements profonds au rapport à l’information sont liés à la démultiplication des sources d’information mais également à la diffusion rapide de celle-ci. Il faut savoir que, au cours de l’histoire, chaque révolution a été provoquée par une diffusion plus importante des écrits : l’imprimerie, l’invention de la presse nationale, etc. Pourtant, ces révolutions ne sont rien comparées à celle que l’on vit depuis le début du siècle : en terme de quantité du nombre d’écrits et de la variété des supports, on bat des records impressionnants.

Pour donner quelques perspectives en chiffres sur la quantité d’écrits produits :

• En 2009, on comptait environ 210 nouvelles séries télévisées par an. Dans les années 2020, on estime qu’il y a plus de 1000 nouvelles séries à destination des enfants chaque année !
• Il y a 6000 fois plus de blogs aujourd’hui que dans les années 2000 ! 
• 500 heures de vidéos sont téléversées sur You Tube chaque…minute !
• Dans les années 70, chaque individu était exposé à une moyenne de 700 messages publicitaires par jour. En 2022, la moyenne est de 6000.

C’est donc normal que nos modes de pensées ne suivent pas.

Les enfants en savent beaucoup plus que nous à leur âge

L’afflux d’informations n’est pas forcément une mauvaise chose pour les enfants et les adolescents. C’est une vraie source de motivation qui stimule leur curiosité. Les réponses sont d’ailleurs à portée de main : un petit tour sur un moteur de recherche et on arrive à connaître la distance de la terre à la lune. Si les enfants sont passionnés par un sujet, ils peuvent rapidement se créer un ilot d’informations riches et détaillées. C’est plus simple que les après-midis à la bibliothèque municipale !

C’est aussi la possibilité d’avoir une ouverture plus importante sur le monde. Les distances sont réduites. On peut partager des expériences et des connaissances peu importe où l’on se situe ou de quel milieu l’on est issu.

Malheureusement, les enfants ne choisissent pas toujours les informations qui viennent à eux.

Si l’accès à l’information est plus facile, les nouvelles que l’on reçoit sont malheureusement souvent subies et non choisies :

• D’une part les enfants reçoivent des sollicitations sur de nombreux sujets qui les dévient de leurs objectifs d’apprentissages premiers
• D’autre part, les algorithmes vont sélectionner ces sujets selon les affinités supposées, ce qui tend à créer une bulle cognitive plutôt que d’ouvrir sur de nouvelles perspectives
• Enfin, si les enfants sont sur les réseaux sociaux, ils vont être exposés à d’autres challenges y compris des sollicitations directes non-désirées ou la gestion de leur propre image. Ils vont également entendre les opinions de nombreuses personnes qui diffusent une information qui n’a pas été vérifiée.

Certains nous diront que durant leur enfance, au moment des informations télévisées, leurs parents ne se préoccupaient pas de ce que les enfants pouvaient entendre. Rappelons cependant que, d’une part, l’information en continue n’existait pas et, d’autre part, cela restait une information filtrée et vérifiée (certes, cela reste relatif).

Enfin, consommer beaucoup d’informations (ou disons toute l’information que l’on nous met à disposition) prend du temps. On n’arrive jamais au bout et on pourrait ne jamais s’arrêter : c’est différent d’un journal, d’un livre ou d’un journal télévisé. C’est sans fin. Tout ce temps passé à ingérer des informations est du temps de moins à sortir, courir, interagir dans le réel avec les autres… Un cerveau rempli mais qui ne s’aère pas aura tendance à effectivement produire plus de cortisol, le nom donné à l’hormone du stress.

Un facteur vient s’ajouter tout à cela : l’incertitude. Évidemment, cela fait déjà quelques années que l’incertitude face aux questions environnementales est croissante. À cela est venu s’ajouter la crise sanitaire et la guerre en Ukraine. Il en découle un climat de crise généralisée qui peut laisser à nos jeunes enfants une impression angoissante sur l’avenir qui les attend.

Ce cocktail est un mélange parfait pour nourrir l’anxiété et le stress… Pas étonnant que 75% des jeunes pensent que l’avenir est effrayant*

Quelles solutions pour accompagner les enfants face à l’actualité ?

Il existe de nombreuses manières de réagir face à ces nouveaux défis. En réalité, il faudrait à la fois armer les enfants avec les bonnes compétences pour pouvoir répondre aux enjeux mais également encadrer l’accès à aux informations. Cette seconde option peut sembler compliquée dans le monde des données omniprésentes. Pourtant, il est essentiel de ne pas baisser les bras : on entend souvent « Il faut les laisser vivre avec leur temps » de la part de parents découragés qui ne savent pas comment contrôler la situation. Cependant, ce n’est pas parce que la voiture existe que l’on laisse les clés aux enfants pour qu’ils puissent s’entraîner à rouler sur l’autoroute à l’âge de 10 ans.

Développer les compétences pour être plus serein face au flux d’information

La philosophie à adopter : à chaque problème, sa solution !

Rendre le monde meilleur c’est possible. C’est la première chose à inculquer à nos enfants. Si l’on reste passif face à l’information, cela va être extrêmement angoissant, car on ne fait que subir les éléments. Le plus important c’est de développer un état d’esprit dans lequel, face à un problème, il y a toujours une solution.

Le média WoW! est fondé sur cette philosophie : cela ne sert à rien d’aborder un sujet ou une problématique si l’on n’envisage pas la solution que l’on peut y apporter. C’est ce que l’on appelle tout simplement le journalisme de solutions. On parle des difficultés à accéder à l’eau potable en Afrique en évoquant la solution développée par un jeune Ougandais pour la filtrer efficacement, par exemple. Ou bien des enfants déscolarisés en Inde mais en parlant surtout de l’élan de solidarité d’une équipe de jeunes adultes pour transmettre des savoirs même dans la rue à ces enfants. Bref, il y a toujours une lumière au bout du tunnel, et c’est ça qu’il faut encourager les enfants à regarder

Ne pas croire tout ce que l’on nous dit (ni tout ce que l’on voit)

Développer l’esprit critique reste fondamental pour nos jeunes générations. Ne jamais prendre pour argent comptant ce que l’on nous raconte. Apprendre à démultiplier les sources. Comprendre également que pour être valables, les études doivent avoir un protocole clair et/ou une approche quantitative.

On pourrait vous dire que notre site est 100% plus intéressant que celui des autres, mais en même temps, les seules personnes qui ont participé à cette étude sont ma Maman et ma Tante et le site a été uniquement comparé à des sites finlandais qui n’étaient pas traduits…. Ce genre d’exemple peut aider les enfants à comprendre que faire de grandes affirmations ne garantit pas la validité des propos.

Garder la communication ouverte entre les parents et les enfants

S’informer ce n’est pas simplement rester passif devant une information, c’est échanger sur le sujet. C’est pouvoir réfléchir à l’impact que cette information a sur moi et en parler. C’est savoir également comment elle peut me pousser à agir à mon échelle.

Grâce à son approche sous forme de quizz et de vidéos, les parents et les enfants peuvent partager ensemble la découverte d’un nouveau sujet d’actualité chaque semaine et échanger sur leur perspective. WoW! News contient un module qui interroge les enfants sur ce qu’ils ressentent face à la nouvelle et aux solutions qui sont présentées. Cela promet des échanges intéressants.

Au-delà de l’application, c’est important pour les enfants de toujours se sentir libres de parler de ce qu’ils ont vu en entendu.

Après le sujet et la solution présentée, WoW! News propose aux enfants de passer à l’action avec des idées qu’ils pourront mettre en oeuvre dans leur quotidien. Dans l’application, cela s’appelle les « Super-pouvoirs » et ils permettent de ne pas se sentir impuissants face aux grands enjeux actuels. Par exemple, l’enfants est invité à penser à éteindre la lumière quand il quitte une pièce ou à organiser une collecte de jouets à l’école en faveur d’enfants défavorisés. Chaque semaine, l’enfant collectionne un super-pouvoir qu’il pourra retrouver chaque semaine dans l’application.

L’application WoW! News, le meilleur moyen d’éduquer nos enfants aux médias

Nous sommes convaincus que les nouvelles technologies ont beaucoup de bonnes choses à nous apporter mais cela demande également de réfléchir à une autre approche éducative concernant les médias. WoW! News est vraiment une web-app d’un nouveau genre :

• qui prend le contre-pied de la tendance à attirer l’attention uniquement avec les mauvaises nouvelles
• qui favorise et facilite la communication entre les enfants et les parents sur des sujets qui paraissent difficiles
• qui aide les enfants à passer du temps d’écran  à réfléchir comment agir et non à rester passifs

Grâce à cette approche, les enfants vont comprendre que l’information n’est pas une fatalité mais une ressource pour nourrir nos actions.

Bye, bye l’anxiété, bonjour l’optimisme !

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Comment aider nos enfants à comprendre l’intelligence artificielle ?

C’est étrange car j’aurais pu ne pas écrire cet article. J’aurais pu simplement demander à l’intelligence artificielle de s’en charger. Cela aurait permis de gagner du temps et d’améliorer mon référencement naturel. Vous auriez trouvé mon article plus rapidement et vous l’auriez lu mais…. Vous n’auriez pas appris grand-chose. Car en réalité, comme le disait Jean Piaget, « l’intelligence n’est pas ce que l’on fait quand on sait, mais ce que l’on fait quand on ne sait pas ».

Bien entendu, il est facile de théoriser pour des adultes qui ont appris à raisonner sans l’intelligence artificielle et qui n’ont pas eu à repenser leur valeur ajoutée dans le monde du travail à cause des changements profonds apportés par cette technologie.

Alors, comment fait-on pour aider nos enfants à mieux appréhender l’univers face à l’intelligence artificielle et quelles compétences peut-on les aider à développer pour se sentir mieux armés face au futur ?

Cet article vous aidera à mieux comprendre comment l’Intelligence Artificielle est un outil au service de l’humain et comment donner aux enfants toutes leurs chances de s’épanouir de manière positive et optimiste dans un monde qui semble mené de plus en plus par les machines.

La bonne nouvelle c’est que pour naviguer dans le monde de l’IA, il faut simplement étendre son champ de compétences : esprit critique, créativité, curiosité, développement personnel, etc. C’est ce qui fera la différence

L’Intelligence Artificielle au service de l’humain et non l’inverse

L’IA est un outil pas un ennemi

Luc Julia, l’un des co-créateurs de Siri – aujourd’hui en charge de penser la mobilité au sein du groupe Renault – explique que l’Intelligence Artificielle est un outil. C’est comme un marteau : si on enfonce le clou avec le poing, c’est douloureux. Le marteau facilite la tâche mais il faut quand même tenir le marteau. Il ne va pas se mettre à danser tout seul dans les airs.

L’Intelligence Artificielle est similaire : c’est l’humain qui dirige, qui nourrit, qui oriente. En ce sens, elle n’est pas autonome. Elle a besoin d’être nourrie par l’humain pour produire un raisonnement. Ce raisonnement n’est d’ailleurs pas toujours exact

Quels sont les plus gros avantages de l’Intelligence Artificielle ?

L’IA offre de nombreux avantages : à l’ère de la sur-information qui crée du stress et de l’anxiété, comme nous en parlions dans un autre article, elle permet de faire le tri et de nous présenter uniquement les informations pertinentes pour nous et fiables.

Elle permet également de faciliter la prise de décision dans les cas où des nombreux facteurs sont à prendre en compte : par exemple pour décider des protocoles de traitement contre le cancer et les personnaliser au profil spécifique du patient.

Elle permet d’identifier des récurrences et des constantes qui servent d’hypothèses dans le domaine de recherche, etc.

Bref, si en effet on peut s’imaginer que dans quelques cas l’utilisation de cette technologie n’est pas cohérente ou bienveillante, la plupart du temps, l’usage s’applique à faciliter la vie des êtres humains ! Et comme toutes les nouveautés, on a parfois du mal à s’adapter.

L’absurdité de certains usages de l’intelligence artificielle avec chatGPT

Si l’intelligence artificielle est en pleine effervescence depuis plusieurs années, l’émergence de chatGPT a fait grand bruit : en effet, grâce à cette plateforme tout le monde peut tester le pouvoir de l’intelligence artificielle.

C’est quoi exactement chatGPT ?

Alors chatGPT c’est une sorte de robot avec qui on peut avoir des conversations et qui comprend tout. On peut lui demander de générer des articles de blog, de créer une oeuvre d’art à la manière de Picasso ou de Rembrandt, de résoudre des problèmes de physique complet. Bref, chatGPT, c’est un peu comme le premier de la classe sous stéroïdes. 

Ce qui le rend unique c’est qu’il est capable de comprendre le langage naturel des humains et de produire des contenus de qualité qui auraient pu être écrit par des humains. Alors évidemment, ça nous impressionne autant que ça nous terrorise.

Des usages absurdes, pas vraiment au service de l’humain

Le problème est que cette démocratisation d’accès à l’outil a déclenché une espèce d’hystérie autour de son utilisation. On demande tout et n’importe quoi à chatGPT, curieux de savoir ce qu’il va répondre. C’est drôle et effrayant à la fois : on se surprend à se demander si cela est encore nécessaire d’apprendre à écrire, structurer nos réflexions, créer, nous informer puisque l’intelligence artificielle est capable de le faire.

Et si on arrêtait de faire n’importe quoi et de produire du contenu sans réfléchir ? Car c’est bien là l’enjeu : la machine répond mais c’est à nous de réfléchir aux questions !

Ce que je veux dire, c’est que nous devrions l’utiliser pour trouver comment changer rapidement la situation climatique, et non pour faire l’éloge de sa prose ou essayer de trouver comment en faire le prochain Jules Verne (20’000 lieues sous les mers mais dans une version optimisée pour les moteurs de recherche).

Démonstration de l’absurdité de la création de contenu à l’infini

• chatGPT aide à produire du contenu écrit plus rapidement
• Grâce à cela, nous avons plus de temps
• Nous pouvons donc produire plus de contenus
• Ce contenu est bien optimisé pour les moteurs de recherche.
• Comme le contenu de tous les autres est également optimisé, nous devons continuer à produire plus de contenu pour être les plus pertinents pour les algorithmes de recherche.
• C’est une chouette coïncidence : les humains ont maintenant plus de temps libre qu’ils peuvent utiliser pour lire tout le contenu supplémentaire qui a été créé.
• Mais franchement, les humains sont trop lents et trop stupides pour lire autant de contenu. Ils peuvent donc utiliser ce temps libre pour aller sur Tik Tok.

En résumé, nous créons plus de contenu, plus rapidement, mais aucun être humain ne pourra jamais absorber autant d’informations.

Nous alimentons une création exponentielle de contenu qui était déjà exponentielle. En 1970, chaque individu était exposé à une moyenne de 700 messages publicitaires. En 2022, ce chiffre passera à 6000. J’attends avec impatience le moment où nous arriverons à 100’000. Cela montre à quel point la machine est puissante et à quel point les humains sont limités. En plus, les humains ne peuvent même pas déterminer rapidement si l’information qu’ils lisent est vraie ou non ! Comme les gens peuvent être petits.

Ma question est donc la suivante : utilisons-nous vraiment cette technologie dans le bon but en lui demandant d’écrire beaucoup de choses au hasard ?

Comment équiper nos enfants pour faire face à ces nouveaux usages de la technologie ?

Le plus important est de continuer à développer l’écriture pour nos enfants

L’écriture est l’une des compétences les plus importantes à transmettre à nos enfants. Maintenant que nous avons confirmé l’absurdité de la création rapide et sans fin de contenu écrit, nous pouvons passer à la raison réelle pour laquelle nous écrivons.

L’écriture est un outil de communication. La communication nécessite un émetteur et un récepteur. La plupart des humains jouent les deux rôles. 100% du travail que vous faites lorsque vous écrivez vous profitera. Peut-être que personne ne le lira. Mais on peut garantir que la démarche d’écriture servira quoi qu’il arrive.

L’écriture est un moyen de structurer vos pensées, de construire, de vous exprimer, de gérer vos émotions, de vous concentrer, etc. Il y a tellement de raisons qui nous sont propres pour lesquelles nous voulons écrire.

L’écriture n’est pas une perte de temps, c’est en fait comme le bonheur : le chemin est plus important que la destination.

L’ensemble du processus de recherche de la bonne information, de sa validation, de sa mise en relation peut évoluer mais nous devons continuer à faire cet effort pour protéger l’une des compétences les plus importantes pour les générations actuelles et futures de ce siècle : l’esprit critique.

Ce que nous devons transmettre à nos enfants pour grandir sereinement à l’ère de l’intelligence artificielle

Je sais que cet article laisse penser qu’il y a une certaine résistance au changement et à l’innovation. Ce n’est pas le cas. Je ne fais pas partie du groupe de personnes qui pensent que tout était mieux avant.

Je ne pense pas que le monde était meilleur avant, mais je crois que nous avons la responsabilité d’orienter l’utilisation de ces outils puissants pour rendre le monde meilleur et non plus confus.

Nous ne devons pas empêcher nos enfants d’utiliser la technologie, mais voici ce que nous pouvons leur apprendre :

• Ne soyez pas un utilisateur passif : lorsque vous utilisez quelque chose, essayez de comprendre comment il fonctionne, pourquoi il a été conçu de cette façon, etc. C’est vrai pour tout et c’est particulièrement utile lorsqu’il s’agit des médias sociaux et de nos adolescents.
• N’ayez pas peur du changement : il est également important de rappeler que le changement n’est pas effrayant. Si quelque chose disparaît, cela peut être la source d’une transformation positive plus tard. Nous pouvons diriger ce processus.
• Les humains ont le pouvoir de décider : ce que nous devons décider, c’est pourquoi nous utilisons ou développons certaines technologies pour ?
• L’esprit critique est essentiel : aidez les enfants à toujours remettre en question la source et à apprendre ce que signifie le raisonnement.
• Les émotions sont le moteur de tout ce que nous faisons : personne (ou rien) ne ressentira les choses à votre place.
• Le processus est aussi important que le résultat final : les raccourcis sont acceptables, mais vous devez réfléchir à la raison pour laquelle vous voulez aller plus vite et aux risques qui y sont liés.

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** 7 jours d’essai gratuit pour l’application Nabook** 

Dans notre monde rempli de technologies, il est difficile d’inciter les enfants à poser leur écran et à prendre un livre. C’est pourquoi les séries de livres numériques pour enfants sont un excellent moyen de remplacer le « temps d’écran passif » par quelque chose d’éducatif et d’intéressant.

Avec l’application Nabook, votre enfant peut explorer de nouveaux mondes, apprendre l’histoire ou la science, et même s’entraîner à lire. Avant de ranger l’iPad, jetez un coup d’œil à leurs superbes séries de livres numériques pour enfants !

Le temps d’écran des 7 – 14 ans devient un moment lecture !

Les nouvelles technologies ont apporté beaucoup de questionnements pour les parents : on est souvent tiraillé entre l’envie de retirer les écrans complètement à nos enfants et celle de céder car, soyons honnêtes… Nous aussi, nous sommes très accros à nos petits gadgets.

Le but pour Nabook n’est donc pas d’essayer de nager contre-courant, mais de bâtir un pont entre les écrans et le monde merveilleux de la littérature avec leurs séries jeunesse.

Les histoires sont adaptées aux jeunes lecteurs, chaque « épisode » dure environ 5 minutes. L’application comprend un dictionnaire intégré pour comprendre les mots difficiles.

Nabook s’adresse à tous, on y trouve des romans classiques, mais aussi des histoires tirées de jeux vidéo et l’appli propose également des séries sur les schtroumpfs, ainsi que des classiques tels que Robin des Bois adaptée de la série TFOU sur TF1.

Le constat de Nabook est intéressant : ce n’est pas l’envie de lire qui manque, c’est simplement que les écrans prennent beaucoup de place et que certains livres ne sont pas toujours très engageants. On substitue donc ici le temps d’écran « perdu » par un temps de lecture dans un format plus adapté aux jeunes réticents.

Des adaptations destinées à 3 groupes d’enfants

Les niveaux sont :

CP, CE1, CE2, CM1, CM2, ASH, Elémentaire, 6e, 5e, 4e, 3e, Collège

1. Les lecteurs accomplis

La bibliothèque Nabook contient plus de 100 romans adaptés en séries à lire sous dans un format. Pour le moment, sachez qu’il s’agit de livres courts mais engageants à lire confortablement sur l’écran de son choix.

2. Les lecteurs en puissance

Ce segment s’adresse aux jeunes qui ne sont pas encore des lecteurs accomplis (mais demandent seulement à le devenir). Nabook  aide les enfants qui lisent peu grâce aux épisodes courts à lire en 5 minutes, aux événements saisonniers avec des défis et au dictionnaire intégré pour comprendre et apprendre. Cela rend la lecture vraiment plus engageante.

3. Les lecteurs dyslexiques

Nabook propose aux des options qui facilitent la lecture des enfants dyslexiques. Pour cela, les enfants peuvent dans une quelconque série jeunesse activer leur « mode dyslexique » qui selon Nabook est spécialement conçu pour faciliter la lecture par le biais de la police Open Dyslexique et l’option d’agrandir ou réduire la taille de cette dernière. Si nous restons prudents sur la discussion autour de l’efficacité de ce genre de police, le concept Nabook est tout de même adapté car la structure du texte et les illustrations aident à comprendre le sens global du texte, ce qui reste le point essentiel pour aider les jeunes dyslexiques à rentrer dans le texte et prendre goût à la lecture.

Nabook propose une lecture de livres adaptée à la réalité des enfants de nos jours

Nabook est une nouvelle approche passionnante du roman classique. Alors que les livres à l’ancienne comportent de longs paragraphes et des pages intimidantes remplies de mots, les épisodes dans Nabook sont courts et peuvent souvent être lus en 5 minutes. Avec Nabook vous lisez comme si c’était une correspondance menée sur la messagerie dans WhatsApp grâce à des bulles qui identifient le personnage qui parle dans chaque scène ; cela permet une lecture rapide de haut en bas ! Bien sûr, tout reste intact : chaque personnage a son propre avatar et une couleur qui lui est attribuée afin qu’il soit facilement identifiable tout au long de la lecture.

Une sélection de livres personnalisée

Grâce à un algorithme d’analyse des livres choisis par l’enfant Nabook va proposer une sélection personnalisée de livres qui seraient susceptibles de l’intéresser. Cela permet à votre enfant d’être exposé à un plus grand nombre d’histoires. Il peut ainsi découvrir des genres qu’il n’aurait pas forcément choisi lui-même.

Il manque cependant des livres en langues étrangères

Un point défavorable pour Nabook est qu’ils ne proposent pas de livres en anglais ni en d’autres langues, comme certains de ses concurrents. Cela signifie que l’appli n’est pas disponible pour les jeunes qui souhaitent s’entraîner à lire dans une autre langue. Alors si cela est inclus dans une version future ce serait vraiment top pour les enfants issues de familles bilingues, et nous sommes certains que cela arrivera bientôt !

La structure aérée et des visuels adaptés

Nabook permet aux jeunes lecteurs de rentrer dans le livre en organisant le texte de manière plus engageante que les approches de lecture traditionnelles.  Nabook offre une liste de livres français relativement large ce qui permet de s’adapter à différents styles de lecture.

La barre en haut de chaque page permet de voir l’avancement dans la lecture et donc à l’enfant de constater que ce n’est pas si exigeant que cela en termes de temps voire qu’il a avancé sans voir le temps passé.

Ceci dit, les enfants plus jeunes regrettent le manque d’illustration (qui permettrait de se rapprocher encore un peu plus de l’univers de la Bande Dessinée sans nécessairement la remplacer)

Bien entendu, nous aimons vraiment l’approche innovante qui découpe des gros paragraphes en petites bulles comme nous sommes habitués à les voir dans nos applications de messageries instantanées.

Des nouvelles fonctionnalités à venir

Ceci dit, pour une plateforme qui a démarré en 2021 et qui a probablement de nombreux plans de développement futurs.

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Pour bien vous accueillir vous recevrez également, par e-mail, notre « Guide pour l’usage des applications enfants ».

Merci d’avoir lu cet article nous espérons vivement de vous revoir à une future date et bonne lecture sur Nabook !

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Comment aider nos enfants à améliorer leur écriture ?

Certains peuvent penser que l’écriture manuscrite est une activité d’un autre siècle : elle est pourtant un acte essentiel pour apprendre la langue, communiquer mais également se concentrer et réfléchir. Elle reflète également notre personnalité et notre culture. Que l’on soit en difficulté ou non, pouvoir mieux écrire est un apprentissage pour la vie qui est à encourager pour tous les enfants.

Parents, enseignants ou thérapeutes posent régulièrement cette question : chacun est confronté aux difficultés des plus jeunes lors du passage à l’écrit. C’est un acte complexe et il ne faut en aucun attendre d’être en réelle difficulté avant d’agir : plus on prend des bonnes habitudes tôt, plus l’apprentissage sera fluide. Des outils comme l’application Dynamilis sont de précieuses aides pour tous comprise pour rééduquer la dysgraphie . Oui, l’apprentissage passe parfois par l’utilisation du numérique et nous sommes fiers et heureux, chez App-enfant, de vous faire découvrir des perles technologiques qui s’avèrent être d’excellents supports des apprentissages. Pour des enfants bien dans leur peau, ayant réglé leurs difficultés d’écriture, nous vous proposons une plongée dans l’application Dynamilis. Vous serez surpris mais Dynamilis a pensé l’application pour être très engageante pour les enfants : il ne s’agit pas de remplir des lignes d’écriture ennuyeuse mais bien d’apprendre en s’amusant !

L’écriture : un acte essentiel

L’écriture : définitions

L’écriture est une activité complexe, nécessitant de nombreuses années d’apprentissage pour être complètement automatisée. M. Julian de Ajuriaguerra, un psychiatre illustre dans le domaine de la rééducation de l’écriture, s’intéresse, en 1971 au geste d’écriture. Dans son livre, L’écriture de l’enfant, il écrit :

• Le graphisme est une « forme d’expression du langage qui implique une communication symbolique à l’aide de signes isolés par l’homme, signes variables selon les civilisations ».
• L’écriture représente une « activité conventionnelle et codifiée, fruit d’une acquisition » .

Les fonctions de l’écriture

Le passage à l’écrit implique bien plus de critères qu’on ne peut penser au premier abord. En effet, en inscrivant des mots sur la page, plusieurs fonctions sont mobilisées. Oui, l’écriture convoque plusieurs fonctions essentielles. 

• La fonction cognitive : en écrivant, l’enfant garde une trace de sa pensée. A travers le geste d’écrire, il mémorise mieux les savoirs et élabore sa pensée. L’écrit lui permet de structurer ses idées, de les organiser tout en prenant de la distance. Les mots prononcés à l’oral se voient désormais et ne s’évaporent pas ! Ils sont ancrés… Encrés également, sur la page ! 
• La fonction psychique : chez App-enfant, nous savons que les règles sont structurantes. L’écriture demande de se conformer à un certain nombre de principes préétablis, essentiels pour être compris lors de la lecture. 
• Les fonctions relationnelles et personnelles : l’écriture est un outil d’échange, commun à tous. En rédigeant, chacun pense au destinataire et adapte son propos. Écrire, c’est donc faire un pas vers le monde extérieur, créer un lien entre nous et les autres. 

L’acte d’écriture consiste aussi à se montrer soi-même : chacun, avec le temps, construit sa propre graphie, en fonction de sa personnalité. 

En connaissant tous ces enjeux, nous comprenons pourquoi il est important que chaque enfant soit « en paix » avec sa graphie. Dynamilis permet l’accès au plaisir d’inscrire des mots sur la tablette, puis sur la page. 

Rééduquer l’écriture : comment faire ?

La dysgraphie : définition

La dysgraphie fait partie des nombreuses – Dys existantes, mais elle diffère car elle peut se rééduquer : une excellente nouvelle ! 

C’est une altération de l’écriture engendrant :

• une lisibilité difficile voire impossible ;
• une douleur lors du geste ;
• une lenteur plus ou moins importante.

Qui n’a pas déjà entendu une maîtresse ou un parent dire à un enfant qu’il écrit vraiment trop mal, qu’il est cochon ou brouillon ? 

Ces mots sont à bannir car en réalité, l’enfant, la majorité du temps, ne possède pas les clés pour être lisible ou pour aimer l’acte d’écriture. La dysgraphie se rééduque pourtant, la majorité du temps et les plus jeunes peuvent enfin aimer coucher les mots sur le papier !

Pourquoi rééduquer l’écriture ?

Chez les enfants, les difficultés d’écriture engendrent des problématiques connexes. En travaillant leur graphie, ils surmontent souvent les obstacles tels que :

• Le manque de confiance en soi. L’enfant en difficulté reste bloqué dans le cerveau limbique, siège des émotions. Il se sent incapable, nul. Son manque d’assurance l’empêche de rationaliser. En se réconciliant avec l’écriture, il fait également la paix avec lui-même et croit enfin en ses capacités.
• Les difficultés d’apprentissage. En focalisant toute son attention sur l’acte d’écriture, le cerveau ne peut pas se concentrer sur les savoirs. Voilà pourquoi automatiser l’écriture est essentiel.

Dynamilis : une application ludique pour lutter contre les problèmes de graphie

Avec l’application Dynamilis, chaque enfant dysgraphique ou en difficulté d’écriture peut progresser, à son rythme, de manière ludique, à l’aide d’une tablette et d’un stylet. Un atout pour les parents, mais aussi pour les enseignants et thérapeutes souhaitant accompagner les progrès des plus jeunes. Destinée aux 5-12 ans, cette application devrait faire couler de l’encre ! 

Le saviez-vous ? Les troubles de l’écriture manuscrite se retrouvent dans 8,6% de la population française ! Troubles fréquents, ils sont également très handicapants, particulièrement lors de la scolarité de l’enfant qui du fait de ses difficultés, perd confiance en lui.

L’analyse de l’écriture comme point de départ

La science pour étudier les problématiques d’écriture

Les concepteurs de Dynamilis étudient depuis des années les difficultés d’écriture, en s’appuyant sur des études scientifiques très poussées. Grâce à l’intervention de plus de 5040 spécialistes de l’écriture reconnus, ils ont pu développer une application basée sur des données chiffrées, analysées et comparées. Leur objectif ? Aider les enfants à mieux écrire grâce à une analyse approfondie de leur graphie. 

Ces années de recherche ont donné lieu à des publications scientifiques, parues dans des revues à la renommée internationale ! 

Nous vous invitons à les lire, ou à consulter le résumé sur le site de l’application.

Première étape : constitution du profil et analyse.

1. Création du profil
Une fois le compte créé sur Dynamilis, il vous faudra ajouter le profil de votre enfant. Pour cela, vous devrez indiquer :

• son sexe ;
• la main avec laquelle il écrit
• sa date de naissance.

Les données chiffrées en pourcentage lors de l’analyse sont basées sur des études de groupes d’enfants du même âge et du même sexe. 

2. Analyse de l’écriture : le bilan

• Votre enfant doit désormais reproduire le dessin d’un chat, à l’aide de son stylet. Ce dessin plaît, il est facilement reproductible, et l’enfant prend beaucoup de plaisir à faire cette activité sur la tablette.
• Puis, il doit réécrire un texte de quelques lignes.
• Enfin, après validation, les travaux sont étudiés, analysés et, en quelques secondes, vous obtenez le profil chiffré de l’écriture de votre enfant.

Quels sont les différents aspects de l’écriture étudiés par l’application ?

Les thérapeutes rééduquant l’écriture basent leurs bilans sur une grille analysant l’écriture des enfants, appelée BHK. Les concepteurs de l’application évaluent eux aussi des données multiples centrées autour des aspects suivants :

• La statique : cette dimension prend en compte le rendu final du tracé lors de l’écriture. Forme des mots, proportion entre le temps passé en l’air et le temps passé à écrire, taille du tracé entre deux levés de stylo… Tout est relevé par l’analyse!
• La pression : changements de pression, fluidité dans les changements de pression… Réguler cet aspect est important pour, par exemple, écrire sans douleur.
• La vitesse : Mesure du rythme dans l’enchaînement des lettres, de la vitesse constante ou de la fluidité des changements de vitesse : tout est analysé pour vérifier si l’automatisation de l’écriture est efficiente.
• L’inclinaison : Quel angle d’écriture l’enfant privilégie-t-il ? Y a-t-il des changements d’angles brutaux ? L’étude de l’angle permet de comprendre les difficultés d’écriture de l’enfant et aide à y remédier.

Des données chiffrées explicitées

Chez App-enfant, nous aimons les qualités didactiques de Dynamilis ! Chaque donnée analysée est retranscrite dans l’onglet SCORES. En y accédant, vous voyez une analyse très profonde et approfondie de l’écriture de votre enfant. Pour chaque aspect étudié, vous trouvez :

• Les principales caractéristiques de la catégorie notées sur 100.
• Une explication de ce qui a été évalué et des difficultés engendrées par un mauvais score dans cette caractéristique.
• Un exemple concret pour expliciter le développement.

C’est tout simplement passionnant et très instructif ! 

Une aide ludique et interactive pour l’écriture

Une fois le bilan établi, il est temps de passer aux exercices ! L’onglet « Activités » mène directement aux différentes propositions. 

C’est le moment tant attendu par les enfants : ils vont pouvoir apprendre en jouant ! 

Des visuels adaptés aux enfants

Les visuels et le choix des couleurs sont doux. Nous pensons qu’ils sont peut-être un peu enfantins pour les enfants les plus grands, mais vraiment adaptés aux plus jeunes.

Les pages d’exercices sont organisées avec clarté, sans fioritures gênant la compréhension ou la prise en main de l’outil. 

Des étoiles matérialisent l’avancée dans les exercices : les enfants comprennent immédiatement leur fonctionnement. 

Côté sonore, les sons amènent une ambiance sereine dans l’activité : 

• chants d’oiseaux très agréables et apaisants ;
• bruits marins ;
• bruissement de crayon sur une feuille…

Le petit moins. Seule la voix du robot donnant les consignes nous semble légèrement métallique. 

Des jeux adaptés aux scores obtenus

Pour chaque score, des activités spécifiques sont recommandées : elles permettent de progresser sur les dominantes les plus faibles relevées lors du bilan. 

Bien sûr, les enfants ont accès à toutes les activités, mais celles qui sont marquées d’une croix sont celles à privilégier. 

Les activités décryptées

Bien sûr, nous souhaitons vous laisser découvrir les différentes activités possibles sur Dynamilis ! 

Mais en voici un aperçu, qui, nous en sommes sûrs, vous donnera envie d’en connaître davantage ! En cliquant sur le point d’interrogation, vous avez l’explication de l’intérêt thérapeutique de chaque activité : vous comprenez ainsi quels sont les points travaillés par l’enfant. 

Pour passer au niveau supérieur, l’enfant doit avoir débloqué la première étoile : pas de soucis, pour éviter de frustrer les enfants les plus en difficulté, cette étape a été conçue pour être assez facile. Par contre, pour ceux qui sont le plus à l’aise, la troisième étoile est plus difficile à débloquer ! Ils peuvent ainsi se challenger. 

Vous trouverez les activités suivantes :

• • Poursuite : l’enfant débloque les niveaux en suivant une ligne bleue verticale ou horizontale sans la dépasser pour gagner des ballons. Il travaille à la fois la vitesse et la précision. S’il perd un ballon, il perd des points et recommence s’il n’en a plus. Les enchaînements se complexifient au fil des niveaux. 
  • Sous-marin : plongée sous la mer pour mesurer la pression du stylo sans lever de main. Bien sûr, le sous-marin doit rester sous l’eau ! Les muscles des petits doigts vont devoir travailler et maîtriser leur force !
  • Apprenti : l’enfant aide le robot Proust à écrire en lui montrant l’exemple. C’est lui qui fait la leçon, pour son plus grand plaisir ! Les rôles sont inversés, et Proust essaie à trois reprises d’imiter l’écriture de son petit-maître. Une activité très valorisante pour l’enfant qui interagit avec l’avatar tout en ayant une réflexion sur les erreurs faites par le robot. Il cherche des solutions pour lui montrer comment bien faire et progresser. 
  • Hélicoptère : en faisant cette activité, l’enfant travaille sur la stabilité du stylet ainsi que la fluidité des changements d’angles. Le stylet lui sert à piloter un hélicoptère transportant une caisse remplie de points, à ne pas heurter contre les falaises ou les arbres. Un travail tout en délicatesse pour éviter les à-coups lors du passage à l’écriture. Au fil des niveaux, l’enfant découvre des environnements différents : dans des grottes, dans le noir, dans la neige… Pas de place pour la lassitude !
  • Chimiste : travailler les levers de stylo est désormais possible grâce à un travail de petit chimiste ! Il s’agit ici de recopier des mots en changeant les couleurs à chaque lever de stylo, en suivant l’exemple.  La police d’écriture choisie lors de la création du profil détermine grandement cet exercice : les levers de stylo différent en effet d’une police à l’autre. Plus de soixante-dix mots sont proposés pour cette activité ! 
  • Zoo : ici, l’enfant colorie des images, avec des couleurs imposées. Il effectue un travail de précision mobilisant la motricité fine. La notion de pression entre ici en jeu : l’enfant doit maîtriser son geste. S’il appuie fort, le trait est épais, s’il appuie doucement, le trait est fin. Pour cette activité, le passage des niveaux amène à des dessins avec des zones de plus en plus petites. 
  • Drapeaux : on joint ici culture et graphie. Il s’agit d’écrire le nom du pays correspondant au drapeau. Pour que tous les petits soient des pros de la géo ! Un curseur rouge indique les mouvements à faire pour le tracé des lettres. 
  • Archéologue : cette activité permet d’entraîner la maîtrise des pressions légères et moyennes. L’enfant creuse le sol pour trouver des objets sous terre. Mais attention à ne pas les casser en appuyant trop fort ! La pression que l’enfant doit appliquer est ici très proche de celle dont il a besoin pour l’écriture. 
  • Alphabet : un petit travail permettant de gagner un maximum de points en repassant sur les lettres ou les chiffres affichés sur l’écran. Attention, s’il dépasse, le trait passe de vert à rouge. Point intéressant, le trait devient jaune si la lettre est tracée à l’envers. La ligne est franchie, il faut vite revenir sur le tracé ! Cette activité reprend l’idée des cahiers d’écriture mais corrige en temps réel le travail des enfants. Ce retour avec la couleur est idéal pour permettre l’autocorrection et l’automatisation. 
  • Jus : créer des jus de fruits en mobilisant ses deux mains, voilà un défi de taille, permettant de travailler la dextérité et l’indépendance des doigts. Ici, on laisse le stylet et on fait jouer ses petits doigts avec habileté. Ce travail permet de détendre les doigts : beaucoup d’enfants écrivent bien mais sont très crispés. Ils ont rapidement des douleurs et ne peuvent pas écrire très longtemps. Cette activité assouplit leurs doigts : détente assurée pour les petites mains !
  • Pizzaïolo : le scooter prend la pizza et va la livrer sur le chemin. Ici, la planification visuelle est travaillée, ainsi que la précision. Réfléchir à quel trajet, et ainsi, à quel tracé effectuer permet de mettre en place des compétences d’anticipation visuelle. Cette activité propose 25 niveaux de difficulté croissante.

Qui peut se servir de Dynamilis pour aider à l’écriture ?

Chaque personne ayant un enfant entre 5 et 12 ans peut utiliser l’application pour remédier aux problèmes d’écriture, en classe, en cabinet ou à la maison. Les concepteurs ont constaté que les difficultés sont transposées du papier à la tablette : ainsi, bien que ce soient deux surfaces différentes, l’I pad est tout à fait adapté pour progresser. 

Pour les parents : un support idéal

À la maison, travaillez avec votre enfant sur Dynamilis pour l’aider à remédier à ses difficultés d’écriture. Vous lui permettez de faire des activités sur la tablette et l’utilisation du stylet l’amuse beaucoup. Vous pouvez faire deux ou trois sessions d’une quinzaine de minutes par semaine pour voir des progrès fulgurants !

Pour les thérapeutes : une aide lors de la rééducation

Aujourd’hui, passer par des outils comme la tablette est une aide précieuse pour les thérapeutes. Grâce à Dynamilis, vous pouvez évaluer les progrès de chaque petit patient, et bénéficier d’un outil de rééducation supplémentaire, support intelligent et ludique pour chaque enfant.

Pour les enseignants : un outil ludique pour pallier les difficultés d’écriture

Les enseignants sont parfois démunis face à l’écriture douloureuse, lente ou illisible de leurs petits élèves. En utilisant la tablette, ils peuvent prévoir des ateliers d’écriture bien plus amusants que certains travaux de copie, fastidieux pour les petits. 

Grâce à Dynamilis, nous pouvons rendre l’écriture ludique et aider les enfants qui sont en souffrance face à l’acte d’écriture ! Une application à conseiller encore et encore ! 

Prix : 1 semaine d’essai puis :

• PRIX PARENTS : 9,99 euros / mois accès pour toute la famille
• PRIX THERAPEUTES : 9,99 euros / mois pour 5 enfants. Possibilité d’avoir jusqu’à 100 enfantsPRIX ECOLES: sur demande, pour un nombre illimité d’iPads. (Contacter Dynamilis directement)

Âge conseillé : entre 5 et 12 ans 

Disponible sur iPad avec un  Apple Pencil

Pour savoir si votre iPad est compatible avec un Apple Pencil, veuillez vous référer au site d’Apple.

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Bravo, si déjà vous avez réussi à lire ce nom un peu compliqué ! L’éducation numérique aujourd’hui ce sont aussi les jouets connectés. Ils sont de plus en plus nombreux et comme dans toutes nouvelles tendances, il y a du bon et du moins bon. On s’intéresse à des nouveaux concepts, pour que vous soyez à la page mais il est possible que ces produits ne soient pas encore disponibles à la vente en France ou alors seulement sur Amazon pour le moment.

On commence avec avec Tacto Laser de PlayShifu qui a eu le prix de l’innovation au CES 2021 qui est le grand rendez-vous des innovations technologiques

Un jeu STEM pour développer les compétences techniques

C’est un jeu dit « STEM », c’est à dire qu’il fait appel à des compétences Scientifiques, Techniques, Ingénierie (Engineering en anglais) et/ou Mécaniques. À l’heure de la robotique et des technologies de l’information , les compétences STEM sont très demandées. L’Europe a d’ailleurs un train de retard sur la question car depuis longtemps les activités de ce type sont populaires aux Etats-Unis ou au Japon par exemple.

Dans ce kit, on va plus spécifiquement aborder les notions de prismes, de résolution de problèmes et de réflexion logique grâce à un ingénieux système de lasers. La résolution de problème est au coeur de la réflexion STEM : on construit rarement la bonne solution du premier coup. Il faut donc faire preuve de réflexion et procéder par essai et erreur pour avancer. C’est ce que les enfants vont apprendre grâce au Tacto Laser mais ils vont trouver cela vraiment amusant.

Un kit de démarrage et une application pour démarrer

La tablette un pré-requis pour pouvoir jouer

Ce kit est fourni avec des pièces de jeux et des figurines qui s’adaptent et s’utilisent avec la tablette ainsi qu’avec un accès à l’application pour mettre en route le jeu. En revanche, il faut avoir une tablette pour pouvoir jouer. Le jeu est compatibles avec :

• L’iPad 5e génération et supérieur (iPad 2 et iPad Mini 1 non pris en charge),
• Les tablettes Android 7 pouces et supérieures, minimum 2 Go de RAM (Samsung Tab A et S7+ non pris en charge), Fire HD 10 – 2021 (Fire 7 non pris en charge).

Que contient le kit Tacto Laser PlayShifu ?

Le kit contient plusieurs figurines 2 cadres antidérapants (il ne faudrait pas abimer la tablette !) et 4 pièces de jeu (1 figurine miroir, 1 figurine prisme, 1 figurine lampe de poche, 1 figurine laser). Les pièces de jeux peuvent se poser directement sur l’écran de la tablette : c’est fait pour ça, donc pas t’inquiétude, ça ne l’abîmera pas.

Quel est le principe du jeu Tacto Laser ?

Le set Tacto Laser fonctionne sur la base d’histoires au cours desquels il faudra résoudre des mystères. Il y a 4 jeux différents basés sur des histoires et plus de 200 défis et mystères à résoudre.

L’application fonctionne comme suit : l’histoire se déroule et quand il y a une obstacle, un défi, les explications apparaissent pour expliquer à l’enfant ce qu’il va devoir faire et avec quelle figurine. Cela peut-être diriger un laser, planifier des actions ou jouer avec les principes de la lumière. Cela demande un vrai raisonnement logique et les enfants de chaque âge y trouveront leur compte.

En revanche, le jeu est seulement disponible en anglais pour le moment.

Un jeu réussi, évolutif et adapté aux 5 – 11 ans

En conclusion, le jeu est une belle réussite. Il permet un usage intelligent des écrans qui ne se limitent pas en 2D. En revanche, comme pour tous les jeux qui usent des écrans, on surveille qu’ils n’y passent pas 2heures de suite non plus.

Au-delà ce jeu, l’éditeur de jeux Shifu est aussi une belle découverte. Ils ont même développé un jeu d’échec très sympa ou la tablette sert de plateau ou encore un super globe, Orboot Earth avec des activités  en réalité augmenté. C’est vraiment ultra didactique et très pratique pour découvrir les échecs.

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Du vendredi 7 au lundi 17 octobre – Maison du livre, de l’image et du son et médiathèque du Tonkin – atelier, conférence, exposition, projection

Cette année encore, les médiathèques de Villeurbanne sont heureuses de participer au grand événement populaire dédié au partage des savoirs qu’est la Fête de la science.

Pour cette édition, place aux créatures imaginaires et disparues par une approche scientifique ou plus créative !

> On découvre les maquettes grandeur nature des dinosaures qui envahissent la médiathèque du Tonkin aux horaires d’ouverture de la médiathèque et lors du grand jeu de piste organisé par Pop’Sciences. + d’infos ici

> On s’intéresse à la cryptozoologie, la science des “animaux cachés” avec le film documentaire d’Alexandre Brecher. + d’infos ici

> On crée nos propres animaux hybrides et on les met en scène lors de l’atelier stop motion de Camille Rosselle. + d’infos ici

> On explore les caractéristiques physiques des icônes de la culture geek lors de la très ludique mais non moins scientifique conférence dessinée de Jean-Sébastien Steyer et Arnaud Rafaelian. + d’infos ici

> Enfin, on emprunte des sélections artistiques et documentaires autour de ce thème à la Maison du livre et à la médiathèque du Tonkin.

Villeurbanne bénéficie du label « Capitale française de la culture » pour l’année 2022, un projet piloté et financé par le ministère de la Culture avec le soutien de la Caisse des Dépôts.

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Quand il s’agit de numérique, on a tendance à faire pas mal de raccourcis. On pense que la vie c’est avec ou sans les écrans. Il faut voter pour ou contre. Or, on peut utiliser la technologie sans nécessairement rester collés derrière un écran : le numérique ne se limite pas à une activité passive et les éditeurs de contenus l’ont bien compris en fournissant aujourd’hui des applications plus interactives qui incitent à s’activer dans le monde réel. On a donc réuni une petite sélection d’idées d’applications pour se sevrer des écrans sans boycotter la technologie.

Avant 6 ans, le numérique sans aucun écran

S’il y a bien une contradiction dans l’éducation du 21ème siècle, c’est la gestion des écrans. On a envie d’imposer des limites concernant les écrans, on a aussi très peur de faire de nos enfants des arriérés, hermétiques à la technologie. Il est hors de question pour nous d’être cette personne qui pense que c’était mieux avant et qui diabolise les nouvelles technologies mais en même temps on ne sait pas trop comment s’y prendre pour donner les bons outils à nos enfants.

Comprendre la logique du numérique avant de se mettre devant les écrans

Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que les outils numériques sont un moyen, pas une fin en soi. Il est donc possible de se passer des écrans quand on est petits. Ce qui compte, c’est que les enfants comprennent le raisonnement logique d’un algorithme par exemple et cela peut se faire sans aucun écran. C’est même recommandé : cela permettra aux enfants d’être bien moins passifs dans leur usage des écrans par la suite. On comprend aisément que cela peut être utile de comprendre les réseaux sociaux marchent avant de les utiliser. C’est un peu comme de connaître le code de la route avant de rouler.

La pédagogie de l’apprentissage du numérique sans écran est en plein essor et on ne peut que louer cette approche qui permet aux enfants de comprendre la logique numérique de manière active avant de rentrer dans les usages passifs. C’est essentiel pour garder la maitrise des usages des écrans et surtout acquérir les compétences nécessaires pour le futur. En effet le langage informatique évolue en permanence : comprendre les mécanismes de sa construction est donc bien plus utile.

Colori est, par exemple, une méthode qui accompagne justement les enfants dans l’apprentissage du numérique dès 3 ans et sans écran.

L’apprentissage du numérique sans écran ne s’arrête d’ailleurs pas à l’âge de 6 ans et c’est d’ailleurs là le positionnement de Digitowl.school qui propose des box d’activités originales et passionnantes autour des sciences que les enfants peuvent faire en toute autonomie. N’oublions pas que le temps passé sur les écrans reste une vraie problématique s’il vient aux dépens de l’activités physique et de la vie sociale (les réseaux sociaux n’étant pas vraiment synonyme d’interactions sociales, on est bien d’accord !?),

Les applications qui encouragent à se bouger

Quand on parle de limiter le temps d’écran, on parle surtout de limiter le temps passif. On peut aisément imaginer qu’un enfant rivé sur un téléphone la tête penchée pendant plus de 30 minutes va finir par avoir des problèmes d’articulation. Le second problème reste que souvent le temps d’écran sur un smartphone ou autre remplace le temps d’activité physique. Cependant, on peut trouver des alternatives car il existe plusieurs applications qui vont permettre de faire des activités physiques.

Les applications qui poussent à faire des pauses

On aime les applications qui vont mêler le temps d’activité cérébrale et celui d’activités physique. Vous pouvez par exemple installer Coco, une application qui propose de nombreux jeux pour penser et bouger. Quoi qu’il arrive, toutes les 15 minutes, l’ application propose de faire une pause et suggère des activités physiques. C’est une réelle originalité pour limiter le temps d’écran. C’est une fonctionnalité originale qui permet de rassurer les parents.

Les applications qui accompagnent l’effort physique

On n’est pas toujours très motivés pour se bouger. Une autre alternative est de proposer des applications qui vont les motiver à se mettre en marche, que cela soit Lilli Cool app ou le petit yoga de l’appli Bayam ou des vidéos du Live Fun Family Workout de Lucile Woodward. C’est un vrai plus pour leur bien-être et pour apprendre à user les écrans autrement

Les applications qui nous ramènent à la vraie vie

La sélection des outils numériques pour découvrir la nature

Enfin, on notera qu’il existe aujourd’hui de nombreuses applications permettent de mieux comprendre le monde qui nous entoure, notamment la nature. Le temps d’une balade, on a le droit de sortir son téléphone mais seulement si c’est pour découvrir le nom d’une plante ou d’un animal avec Seek par i-naturalist , pour y trouver le nom d’un sommet avec Peak Finder ou celui d’une constellation avec Sky View. Ces trois applications sont vraiment bluffantes : il suffit de viser le ciel pour y voir se dessiner les sommets ou les constellations ou de prendre une photo avec Seek qui va retrouver le nom de l’animal ou du végétal en fonction de différents facteurs dont la zone géographique. C’est vraiment top et ça contribue au bien-être de toute la famille pendant les balades !

La sélection des applications sur les sujets d’actualité

La surabondance d’information à disposition contribue hautement à passer trop de temps sur les écrans. Pire encore cela nous enferme dans une bulle cognitive qui nous pousse à penser que le monde se limite à ce flux d’information que l’on reçoit : on cherche des réponses sur un sujet, les différents algorithmes et autres systèmes d’intelligence artificielle vont nous pousser d’autres contenus sur ce sujet. Résultat : on pense que le monde tourne autour de cette thématique. Sans parler de la tendance naturelle de l’humain a être attiré par les mauvaises nouvelles. Il va donc être essentiel d’apprendre à nos enfants à prendre du recul :

• choisir et varier ses sources
• ne pas consulter toujours les mêmes thématiques
• essayer de ne suivre que des contenus qui sont font du bien

Dans cette catégorie, notre préférée, c’est WoW! News : une application qui non seulement ne donne que des bonnes nouvelles mais qui incite aussi à se mettre en action. L’application est très bien pensée pour encourager le dialogue entre les parents et les enfants. Bref, on adore !

Pour se décoller des écrans, il faut prendre conscience du temps qu’on y passe et de ce qu’on y fait

Trouver des alternatives aux applications traditionnelles est une bonne chose mais il est

Attention à l’usage des réseaux sociaux

Les réseaux sociaux restent la partie la plus compliquée à contrôler. D’abord car ils sont addictifs et très chronophage : le temps d’écran est souvent principalement lié à l’usage des réseaux. Ensuite, parce qu’ils sont rentrés dans la norme en termes de relations sociales (si t’y es pas, c’est que t’as pas d’ami). Enfin, parce que les stratagèmes pour se créer un compte sont multiples (comme se créer une fausse adresse e-mail) et que si on les bannit, les enfants trouveront tôt ou tard un moyen de contourner la règle.

Souvent avec les réseaux, vous ne prenez pas conscience du temps que vous passez dessus. Le contrôle parental permet de mettre une limite concernant ce temps mais la prise de conscience doit être personnelle. Votre enfant doit réaliser que le temps passé à scroller sur différents contenus sur instagram ne va pas lui apporter grand chose et que cela représente parfois plusieurs heures consécutives de passivité. Nous encourageons les parents à faire des temps de pause où personne n’a accès à son téléphone.

Ensuite, il est important d’essayer au maximum d’avoir une vue sur les contenus et les comptes que suivent les enfants et de les encourager à prendre du recul. Beaucoup de jeunes filles ont une vision erronée de leur image parce que les contenus qui leurs sont proposés leur donne l’impression que le standard correspond à ce flux continue d’image.

Pour le bien être de tous pas de mot de passe

Ensuite, contrôler les contenus que votre enfant consulte ou poste peut sembler intrusif mais reste essentiel quand ils ont moins de 13 ans. Ce n’est pas comme un cadenas sur un journal intime car votre enfant ne contrôle pas le contenu qui lui est proposé. Les applications de contrôle parentale donnent une cadre mais il faut tout de même continuer à être vigilant et mettre particulièrement des limites sur l’usage des réseaux sociaux. Vous n’êtes pas obligés d’aller voir mais le fait de savoir que vous pouvez le faire est une sécurité pour vous et une barrière pour votre enfant.

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On passe quand même beaucoup de temps à chercher des applications pour les enfants et une fois qu’on en a trouvé une qui n’est pas trop mal, les enfants s’en lassent au bout de 5 minutes. Bizarrement cela ne semble pas leur arriver avec Temple Run qui reste le jeu le plus répétitif du monde mais beaucoup plus avec certaines applications éducatives que l’on a mises tellement de temps à leur trouver.

Nous avons trouvé la solution… Cela s’appelle Pit&Pit : un kiosque d’applications éducatives dédiées aux 5-11 ans. Plus de 40 applications pour apprendre l’anglais, la géographie et même les mathématiques sans jamais s’ennuyer !

Une bibliothèque exhaustive d’application facilement accessible

Pour accéder aux applications, on peut soit se rendre sur la plateforme en ligne soit on télécharge le kidikiosk (disponible sur le Google Play et l’App store) qui vous permet de voir la liste exhaustive des applications. Les thématiques abordées sont :

• L’anglais
• La culture générale
• La conjugaison 
• L’écriture
• Le vocabulaire
• La géographie
• Le temps
• La lecture
• Les mathématiques
• Les sciences

Certains jeux sont gratuits pour vous permettre de vous familiariser avec l’univers Pit&Pit reconnaissable à son univers graphique riche. Des nouvelles applications sont mises à disposition régulièrement ce qui permet de faire de nouvelles découvertes fréquemment et d’aborder les matières de différentes manières. Chacun y trouve son bonheur et les parents sont également rassurés sur le contenu éducatif.

Des applications éducatives mais qui sortent du cadre scolaire habituel

Le gros point fort des applications Pit&Pit est qu’elles permettent vraiment aux enfants d’apprendre d’une autre manière. La bibliothèque de jeux est d’ailleurs très appréciée des enseignants car elle permet de varier les modes d’apprentissages : mots croisés, quiz, fabriques à calculs et autres livres numériques sont autant de moyens utilisés pour susciter l’intérêt des enfants autour des mathématiques, de la géographie ou encore de la lecture. 

Quelques exemples de ce que l’on peut trouver dans la bibliothèque Pit&Pit

La fabrique à soustractions : un petit jeu simple où l’on doit résoudre les défis de soustraction lancés par la maîtresse. Un outil très utile en classe également pour développer des automatismes et bien poser les soustractions et gérer les retenues.

Au fil du temps : une application très efficace pour apprendre les jours de la semaine, les mois, les saisons, etc. Cette application plaît pour son environnement ludique : on démarre dans le décor d’une petite école et on choisit la marelle pour apprendre les jours de la semaine, la boîte aux lettres pour les mois de l’année ou encore l’arbre pour aborder les saisons. 

Go-Conjug : un jeu sous forme de quiz où l’on doit répondre aux questions correctement pour faire avancer le personnage. Les phrases de chaque jeu sont toutes différentes. Elles proviennent d’un ensemble de plusieurs centaines de phrases existantes, ce qui permet aux enfants de bénéficier d’un travail de conjugaison diversifié !

Les courses de la petite sorcière : ce petit livre interactif est un chouette moyen d’impliquer les enfants dans la lecture. Pour accéder à l’histoire, on doit résoudre des petits défis ce qui permet de se plonger encore un peu plus dans l’histoire et d’encourager les enfants à lire. Les histoires sont disponibles en anglais et en français.

Qui sait quoi : un jeu qui a bien plu aux enfants lors du test. Il est actuellement accessible gratuitement. On peut jouer à plusieurs et adapter le niveau des questions pour chaque joueur. Cela fonctionne comme un petit jeu de plateau avec des questions /réponses sur des thématiques différentes de culture générale.

L’atelier de géométrie : la géométrie est loin d’être la matière préférée de nos jeunes testeurs. Et pourtant c’est un jeu qui a bien plu car il rend les concepts beaucoup plus concrets.

Un prix plus qu’abordable pour accéder au kiosque

L’avantage de Pit&Pit ne se limite pas à l’exhaustivité des ressources proposées : c’est aussi une application vraiment abordable avec un abonnement mensuel à 1€99 sans engagement ou 19,90 € par an. Ça vaut vraiment la peine et cela permet également jusqu’à connexions simultanées.

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Malgré ce nouveau rythme certaines habitudes restent : on continue à manger, à dormir et les enfants continuent à demander des temps d’écran

Moduler les temps d’écran pendant les vacances

• Changer les périodes d’écran

• Moduler la durée des temps d’écran

Proposer des contenus différents

Partagez avec vos enfants !

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Mon enfant doit-il réviser pendant les vacances ? Cette question revient souvent dans les discussions de parents. Deux mois de congés sans mettre le nez dans les matières scolaires semblent bien longs ! Après une année fort chargée, le repos est bénéfique pour chaque écolier, pourtant, les cahiers de vacances s’avèrent bien utiles, parfois même essentiels. Non seulement ils occupent les enfants pendant l’été, mais en plus, ils permettent de revoir les notions du programme, la majorité du temps de manière ludique. App-enfant vous a concocté un panel de cahiers de vacances et d’activités scolaires numériques pour travailler en s’amusant et développer de nouvelles compétences ! 

Réviser avec mes enfants durant les voyages

Les longs trajets en voiture, en famille… Qui dira qu’ils sont toujours un long fleuve tranquille ? Trop serrés, trop chaud, la route qui tourne trop, les embouteillages sur la fin du voyage, alors qu’il ne restait que vingt petites minutes avant l’arrivée…Nous connaissons tous ces situations délicates durant lesquelles la respiration ventrale est le seul moyen d’éviter à notre patience de voler en mille éclats ! 

Pour éviter d’en arriver à des situations extrêmes, mieux vaut prévenir les disputes et les agacements. 

Voici une sélection d’applications à proposer à vos enfants durant les voyages, pour une route qui défile dans une ambiance harmonieuse et sereine. L’occasion parfaite pour réviser ! Laquelle choisirez-vous ?

Travailler Géographie, Histoire et Patrimoine en voiture grâce à Kabriol

“Qu’est-ce-qu’on fait aujourd’hui”, vous demandent vos petits anges. Tiens, une question récurrente, à laquelle vous n’avez pas toujours de réponse… Sur la route, afin de les occuper, utilisez Kabriol, l’application de voyage faisant découvrir à chaque passager l’environnement qu’il traverse grâce à son système de géolocalisation. 

Cette appli est un compagnon de voyage ludique et éducatif : chacun découvre le patrimoine français au fil des kilomètres, accompagné de Kabriol, le petit moineau. 

Les trajets deviennent alors : 

• des moments de découverte de l’environnement ;
• des instants de partage ;
• une multitude de points d’intérêts variés, idéaux pour éveiller la curiosité. 

Finis les “maman, quand est-ce qu’on arrive ?” ! Le visage collé à la vitre, chaque membre de la famille va de découvertes en découvertes et d’aventures en aventures. 

Au programme, pour chaque point d’intérêt à proximité :

• une histoire audio de 6 à 10 minutes afin de découvrir les traditions, les lieux historiques, des anecdotes ;
• des devinettes ;
• des quizz … 

Une application utile, éducative et ludique, pour des trajets en toute sérénité. 

L’info prix. Différentes formules existent pour Kabriol. Vous pouvez choisir le pack France à 14 euros 99 ou simplement opter pour l’autoroute empruntée : A9, A7 ou A6, pour 6 euros 99. Et si vous souhaitez tester l’appli avant de l’acheter, vous bénéficiez de 30 minutes d’écoute gratuites. 

Disponible dans l’Apple Store 

Développer sa culture générale en famille lors des trajets : Quizup

Les parents aussi peuvent s’occuper durant les voyages. Les quizz permettent de jouer en famille, et ainsi, de profiter du temps de trajet pour faire une activité en commun et partager, bien souvent, des fous rires ! Quel plaisir de passer de bons moments avec ses enfants. La route paraît bien moins longue. 

Quizup est une application amusante : les enfants défient leurs parents et vice-versa, en leur posant des questions sur des thèmes variés. Vous trouvez des quizz sur la gastronomie, les sciences, le cinéma, la géographie… Il y en a pour tous les goûts ! Une excellente manière de réviser pendant les vacances.

Quizup en chiffres : 

• 600 000 questions ;
• 1200 sujets ;
• des séries de sept questions avec 4 réponses possibles. 

Avec cette application, promis, les kilomètres ne seront plus qu’un lointain problème. Et vous entendrez désormais : “Ah bon, on est déjà arrivé !”.

Des histoires à écouter : s’évader par la pensée

Les enfants aiment aussi écouter des histoires. Nombreuses sont les applications d’histoires lues rendant les voyages en voiture moins ennuyeux. 

Vous pouvez télécharger en amont des histoires lues :

• • Les Histoires en musique d’Elodie Fondacci, pour rêver, partir dans des mondes imaginaires, développer ses capacités langagières et enrichir son lexique.
  • Quelle Histoire, pour tout connaître sur les grandes figures Historiques mais aussi pour devenir un pro des frises chronologiques !
  • Les histoires de l’application Bayam.

Les histoires audio s’écoutent les yeux fermés, ouverts, seuls ou à plusieurs. Elles offrent une alternative aux applications de jeu demandant de regarder l’écran. En effet, respecter les durées de temps d’écran reste important, même lors des trajets en voiture. 

Vous pouvez aussi opter pour la Fabrique à Histoire de Lunii : une merveilleuse solution pour occuper les trajets. Vos enfants choisissent les histoires qu’ils souhaitent écouter, ils partagent l’audio avec leur frère ou sœur grâce à la double entrée jack, pour un moment de détente et de rêverie commun. 

Nomad education : des quizz pour changer la manière de réviser de nos enfants

Sur l’application Nomad éducation, chaque enfant trouve le niveau lui correspondant. De l’enseignement primaire jusqu’aux écoles supérieures, les quizz proposés peuvent animer vos trajets en voiture ! Vous les choisissez en fonction :

• Des matières souhaitées. Vous faites réviser à vos enfants le français, les mathématiques, les sciences, la compréhension de lecture.
• Des niveaux scolaires. L’interface vous propose différents niveaux, à partir du CP. 

Le plus de l’appli. Lors de vos voyages avec vos enfants, renforcez leur connaissance des langues étrangères grâce à la section préparant aux tests de langue. Idéal pour les grands voyageurs ! 

Profiter des temps de trajet pour réviser : voilà une excellente idée. Proposez à vos enfants de vous faire participer. Voilà une promesse de bons moments partagés !

Développer ses compétences en vacances de 3 à 6 ans

Les trajets ont permis à chacun d’apprendre, de s’évader, de développer des connaissances, grâce à des applications utiles sur la route. Mais une fois les valises posées, comment les plus petits peuvent-ils continuer à apprendre ? Quelles solutions numériques adopter pour développer ses compétences durant l’été ? App-enfant vous liste quelques idées de cahiers de vacances ludiques pour les 3-6 ans. 

Des cahiers de vacances à télécharger

Les jeunes enfants aiment beaucoup travailler sur un support papier. Ils jouent avec leurs parents au parfait petit élève, et s’appliquent à tracer, compter, découper. Quelle fierté pour eux de leur montrer les progrès accomplis ! 

Vous trouverez de nombreuses ressources numériques à télécharger sur la toile. Nous aimons beaucoup les cahiers de vacances à télécharger de Lulu la taupe. Grâce à ces quelques feuillets, les plus petits s’entraînent au graphisme, au coloriage avec un plaisir non dissimulé ! 

Un petit bémol en ce qui concerne Lulu la Taupe : la publicité est très envahissante et tend à affecter la qualité globale de l’expérience utilisateur.

Boukili : l’application pour apprendre à lire dès 4 ans

Pendant les vacances, les plus jeunes aiment se plonger dans les livres. Le programme sportif est souvent chargé, alors, quoi de plus reposant que de faire une pause, bien installé, le temps d’un repos mérité ? 

Boukili est une application donnant envie à tous nos petits anges d’apprendre à lire : des albums éducatifs, gratuits et amusants, dont votre enfant ne pourra plus se passer. Accompagné du raton laveur, mascotte de l’appli, il découvrira au fil des œuvres de nouveaux univers, tous plus plaisants les uns que les autres. 

Deux solutions s’offrent à eux, en fonction de leur progression en lecture : 

• écouter le texte lu, en mode narration ;
• lire de manière autonome. 

Le petit plus éducatif. Suite aux écoutes ou aux lectures, l’enfant peut tester sa compréhension grâce à des questions amusantes et interactives. 

Boukili est un accompagnement idéal pour l’apprentissage de la lecture, même pendant les vacances ! 

Développer ses compétences artistiques : le monde d’Artie

Les plus petits aiment dessiner : à travers leurs superbes productions, ils développent de nombreuses compétences. Les grandes vacances sont propices à des temps durant lesquels ils s’adonnent à leur art ! Gribouillis ou dessins plus avancés, laissez-les s’exprimer crayon en main. Une merveilleuse occasion de travailler également le langage oral, lorsqu’ils vous présentent leur production avec des yeux exprimant toute leur fierté face au travail accompli. 

Demandez leur quelle histoire raconte leur dessin : vous devriez partir dans un grand voyage imaginaire, peuplé de créatures connues ou totalement fantastiques. 

Pour travailler le graphisme, nous vous conseillons l’application le monde d’Artie. Les moins de 6 ans créent des formes géométriques simples, au fil des aventures d’Artie. 

• Ils apprennent ainsi à dessiner.
• Ils développent leur motricité fine.
• Ils exercent leur créativité.
• Ils développent leur imagination. 

Réviser tout en s’amusant pendant les vacances de 6 à 12 ans

Travailler les mathématiques en s’amusant pendant les vacances

Chez App-enfant, nous aimons vous conseiller des applications éducatives ludiques, permettant à vos petits de travailler tout en s’amusant. En vacances, les faire réviser ne doit pas devenir le parcours du combattant. Nous vous conseillons vivement de leur présenter Kidaia pour les aider à développer leurs compétences scientifiques. 

Les jeunes vacanciers trouvent des progressions :

•  liées à leur niveau scolaire ;
•  en lien avec les programmes ;
•  leur faisant découvrir les mathématiques et les sciences de manière ludique. 

Jeux de calcul mental, de résolution de problèmes, vidéos pour s’éveiller aux sciences : il trouve une grande variété de supports, grâce auxquels apprendre devient une aventure passionnante. 

Le plus qu’on adore : Kidai propose un kit  en mode holographique, permettant une immersion totale de chaque enfant dans les sciences. La technologie est une fois de plus au service du plaisir des apprentissages.

Professeur Muchi : le cahier de vacances dont rêvent les enfants !

Comment réinvestir les connaissances liées au programme scolaire de l’année ? Professeur Muchi, un savant un peu distrait, nous donne une solution très intéressante ! Réviser en s’amusant grâce à la résolution de défis divers et variés. 

Une alternative idéale aux cours en classe. 

Grâce à cette application, disponible sur Apple Store et sur Google Play, les enfants du CP jusqu’à la 3ème réactivent les notions vues avec leurs enseignants durant l’année scolaire et les mémorisent différemment. 

Comment ça marche ? 

1. Le professeur lance des défis en fonction de la matière choisie par l’enfant. 
2. Le joueur répond aux quiz, exercices et défis.
3. A chaque challenge remporté, il gagne des objets lui permettant de compléter son avatar, commencé en début de partie. 

Le saviez-vous ? 

La mémoire a besoin d’être régulièrement réactivée afin d’ancrer définitivement les apprentissages. En effet, il existe plusieurs niveaux de mémorisation. La mémoire à court terme et la mémoire à long terme. En travaillant pendant les vacances sur des supports variés, ludiques si possible, l’enfant mobilise ses connaissances afin de les stocker dans l’hippocampe, au cœur du cerveau. 

Les jeux vidéo pendant les vacances d’été:  oui, grâce à Power Z

Durant les vacances, les enfants ont davantage de temps. Leur autoriser les écrans, en respectant les préconisations de temps, les accompagne dans leurs révisions d’été. 

Chez App-enfant, nous avons eu un coup de cœur pour le jeu vidéo POwer Z, un bijou numérique féérique, à proposer à toutes nos chères têtes blondes, dès 6 ans. 

Comment ça marche ? 

Chaque joueur crée son avatar puis part à l’aventure avec comme objectif de franchir différentes sections. Pour cela, il doit accomplir des missions liées à des connaissances scientifiques, langagières ou de culture générale. 

Le plus du jeu. Power Z fonctionne grâce à la co-construction entre les concepteurs et les joueurs. L’ expérience des enfants, transmise aux concepteurs, fait évoluer le jeu : idéal pour mettre en valeur les idées de chacun.  

Une plateforme de révisions parfaite pour les vacances : Pit et Pit

Toutes les supers maîtresses des réseaux en sont les ambassadrices : la plateforme Pit et Pit est validée et alimentée par les enseignantes. Vos enfants vont adorer ! Grâce à la richesse des contenus numériques présents sur l’application, ils révisent toutes les matières durant l’été, tout en s’amusant. 

Chacun trouve les domaines dans lesquels il doit progresser ou renforcer ses connaissances.

Nous vous listons ici quelques possibilités, mais nous vous conseillons de vous rendre sur la plateforme afin de découvrir tout le panel proposé par les supers maîtresses !

• • Les courses de la petite sorcière est un livre numérique dans lequel l’enfant se retrouve au centre de l’histoire.  L’enfant interagit sur chaque page de l’histoire, et se prend au jeu immédiatement.  Il travaille, sans s’en rendre compte, sur la construction des textes et sur leur développement. Vous trouvez de nombreux livres numériques interactifs sur Pit et Pit. 
  • La géographie en France, pour tout savoir sur la variété de ce merveilleux pays.
  • La fabrique des additions, pour savoir poser une addition à deux nombres.
  • La bataille des multiplications, pour réviser ses tables en s’amusant, grâce à une interface ludique et visuelle.

Les cahiers de vacance numériques : des révisions en autonomie

Une équipe d’enseignants motivés, d’auteurs passionnés, de rêveurs et idéalistes nés : voilà à quoi ressemblent les adultes travaillant pour offrir à nos enfants des cahiers de vacances intéressants et ludiques chez Mes cahiers numériques. 

Conscients des infinies possibilités du digital pour aider les élèves à progresser, ils ont créé des supports et des applications. Nous vous les conseillons. 

Comment ça marche ? 

Mes cahiers numériques, c’est :

• une application web 100 % numérique, dédiée aux révisions pendant les grandes vacances ;
• accessible de juillet à août ;
• des séances de travail courtes pour limiter les temps d’écran ;
• 5 matières : français, mathématiques, Histoire, Géographie et anglais ;
• des bilans, montrant la progression et permettant aux adultes d’intervenir pour accompagner si une compétence n’est pas validée.

Chez App-enfant, nous sommes friands de ces cahiers de vacances numériques car ils guident aussi les parents : si une notion n’est pas comprise par votre enfant, mes cahiers numériques vous proposent une aide dédiée, précieuse pour accompagner au mieux votre petit lors de la remédiation. 

Une application parfaite pour consolider les acquis et pour préparer avec sérénité le passage dans la classe supérieure. 

Réviser le français pendant les vacances grâce à Savio

Je conjuguais, je conjugue, je conjuguerai… Et si nos enfants conjuguaient ? 

Le français : une matière essentielle, parfois fort complexe, souvent associée à ses irrégularités. Pourtant, notre langue mérite de l’attention et en la choyant, nos enfants apprennent à la parler mais aussi à l’écrire. Aidons les à aimer le français grâce à l’application Savio : ils partent dans un voyage ludique et passionnant, surfant sur les conjugaisons, l’orthographe et la grammaire avec brio. 

Savio donne l’occasion à vos petits de jouer avec leur langue, grâce à des parcours thématiques ludiques, durant lesquels ils abordent les outils de la langue grâce à des défis interactifs. 

Une alternative numérique parfaite aux cahiers de vacances classiques, pensée dans une approche bienveillante.  

Les petits plus. 

• Savio est conçu pour que chaque enfant travaille en autonomie. 
• Les consignes et les mémos peuvent être soit écoutés, soit lus. Chaque enfant choisit le mode lui convenant le mieux. 
• La progression de chacun est récompensée par un gain : un autocollant à coller sur une image, une pièce pour décorer sa mascotte… 

Les cahiers de vacances n’ont pas dit leur dernier mot ! Les concepteurs, enseignants, éditeurs leur donnent de nouvelles vies en les adaptant aux évolutions du web afin de proposer chaque année de véritables bijoux numériques. Les apprentissages sont ainsi toujours plus ludiques et variés, tout en respectant les programmes de l’éducation nationale ! Approfondir ses connaissances, réviser avant de passer dans la classe supérieure grâce aux applications devient amusant et permet de passer des moments agréables pendant les vacances. Nous conseillons toutefois de maîtriser les temps d’écrans ainsi que leurs usages, grâce notamment aux applications de contrôle parental. 

Bonnes vacances à tous les écoliers : elles sont bien méritées !

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Hootop, une application de révision ludique et 100% conforme au programme scolaire

Il est parfois compliqué de trouver des alternatives ludiques pour réviser avec les enfants. Les options à dispositions sont soit très amusantes mais plutôt éloignées du programme de l’Éducation Nationale soit elles ne sont pas très engageantes pour les enfants. Nous avons aimé Hootop (anciennement Mes Cahiers Numériques) qui offre un bel équilibre entre apprentissage ludique et utile.

Réviser n’est pas un gros mot et n’a pas besoin d’être ennuyeux. C’est pour cela que nous avons adoré Hootop. L’application fonctionne un peu à la manière d’un cahier de vacances. On fait quelques révisions chaque jour – sans se mettre la pression – pour clarifier les concepts et s’entrainer un peu. En effet, non seulement la répétition est nécessaire aux apprentissages mais le cerveau est également comme un muscle que l’on doit faire fonctionner pour l’entretenir.

Pourquoi choisir l’option numérique pour les révisions ?

Les applications numériques sont une alternative plus que pertinente aux cahiers de révision traditionnels car ils permettent une approche évolutive, parfois plus ludique et plus engageante pour les enfants. Les applications sont évolutives, permettent de s’adapter au niveau des enfants (certains vont plus vite et d’autres plus doucement) et surtout, ils permettent de se tromper ! Si l’enfant fait une erreur, aucun problème : les personnages Hootop sont là pour accompagner les enfants et il aura l’occasion de refaire l’exercice plus tard.

Chez App-enfant, nous sommes friands de ces cahiers numériques car ils guident aussi les parents : si une notion n’est pas comprise par votre enfant et que vous ne vous sentez pas non plus capable de l’expliquer, l’application propose une aide dédiée, précieuse pour accompagner au mieux votre petit lors de la remédiation. 

Une application parfaite pour consolider les acquis et pour préparer avec sérénité la suite du programme ou le passage dans la classe supérieure.

C’est quoi exactement l’application de révision Hootop ?

Une application complète pour réviser tout au long de l’année

• Une application 100 % numérique, dédiée aux révisions pendant les grandes vacances ;
• Accessible toute l’année
• Des séances de travail courtes pour limiter les temps d’écran ;
• 3 matières : français, mathématiques et anglais ;
• Des bilans, montrant la progression et permettant aux adultes d’intervenir pour accompagner si une compétence n’est pas validée.
• Des encouragements et des systèmes de récompense pour encourager les enfants à progresser.

Une approche évolutive développée avec une équipe d’experts pédagogiques

Hootpop a été développé selon le programme scolaire. Vous trouverez donc des leçons adaptées au passage vers le CE1, le CE2, le CM1, le CM2 et même la sixième. Vous connaissez peut-être Bout de Gomme, un blog créé par deux enseignants ? Une maîtresse de CE1 et un maître de CM2 qui travaillent en REP et qui propose des tas de ressources pédagogiques ? Bout de Gomme ce sont aussi 2 petits personnages, Tirobot et Robotine, avec lesquels les enfants sont familiers car on les retrouve souvent dans les manuels scolaires.

Finalement, pourquoi ça nous intéresse ? Dans un premier temps, cela nous permet de garantir que les contenus sont en conformité avec le programme. Ensuite, cela donne un côté familier à l’application aux travers de ces petits personnages. Il y a également d’autres mascottes comme Toni le crabe ou encore Julian et Emma.

Aborder la plupart des matières de manière ludique

Les cahiers de vacances numériques couvrent l’ensemble du programme pour le français et les mathématiques mais également l’anglais. Ces matières restent le socle de apprentissages et même si chacun a sa petite préférence, l’approche ludique permet à tous les enfants de prendre du plaisir quelle que soit la matière.

L’application Hootop peut être utilisée pour les révisions de grandes vacances mais également tout au long de l’année. Chaque jour, on revoit les différentes matières avec des petits exercices agréables à compléter : on compte environ 30 minutes en moyenne par session mais chacun son rythme et ses envies !

A quoi ressemblent les exercices Hootop

Pour vous donner une idée de petits exercices que l’on peut retrouver sur l’application Hootop (liste non exhaustive !).

• En Français : des exercices sonores de reconnaissances des sons pour les plus petits , des mots à trous pour les plus grands, des jeux du type “trouver l’intrus”
• En mathématiques : des quizz, des exercices de tracés en géométrie, des problèmes
• En Anglais : des exercices de compréhension ou de traduction

Dans tous les cas, les enfants peuvent gérer ces exercices de manière autonome dès 7 ans car ce sont généralement des notions et des approches déjà vues en classe. 

Si les enfants ne trouvent pas la réponse, ce n’est pas la peine de vous précipiter pour les aider. Ils ont à leur disposition 2 outils principaux : 

• Un petit tableau blanc virtuel qu’ils peuvent utiliser quand ils veulent. Ce support peut servir pour tester des réponses, réfléchir, etc. Parfois cela aide à griffonner !
• Des explications sous la forme d’aides enregistrées pour que l’enfant puisse trouver la bonne réponse. 

Il est probablement conseillé que les plus jeunes (6-7 ans) soient accompagnés dans un premier temps mais ils prendront très vite l’outil en main.

L’application Hootop, le programme scolaire, mais pas que

L’application de révisions Hootop permet aussi d’accéder à des petits jeux ludiques (puzzles, lettres mélangées, jeux de l’intrus, memory, sudoku) mais qui sont débloqués progressivement. Cela permet à l’enfant de faire des pauses moins scolaires ou d’apprendre en s’amusant à d’autres moments de la journée. Les enfants remportent également des petits stickers qui  permettent de décorer une petite valise virtuelle. Ces petits prix sont une motivation de plus pour les enfants qui les apprécient généralement. 

Une application sur iOS ou Androïd mais avec la possibilité de paramétrer les accès pour optimiser les temps d’écran

On est bien d’accord, le but n’est pas de rester collé aux écrans et de réviser en boucle. Le site propose aux parents de personnaliser les profils de chaque enfant. On peut ainsi :

• Avoir accès à un tableau de bord avec une vue sur les performances globales et par matière
• Personnaliser les droits d’accès (limiter à une session par jour, définir les plages horaires d’utilisation ou encore limiter le nombre de jeux)

On ne peut pas négliger le côté addictif des écrans qui se règle vite si les paramètres sont clairs. La solution de contrôle parental proposée par Hooton est simple, claire et efficace.

Une application inclusive avec un design ludique mais épuré pour répondre aux enfants aux besoins particuliers 

Dernier point à noter : l’application a un design relativement simple mais pas simpliste. Le but ici est de rendre le contenu accessible aux enfants avec des difficultés du type dyslexie. Les textes sont donc aérés. C’est également adapté pour les enfants avec des difficultés de concentration en limitant les distractions possibles. 

Un usage possible pour l’instruction en famille (IEF) et pour les enseignants

Les outils numériques tels que Hootop peuvent accompagner également les professionnels de l’éducation ou pratiquant l’instruction en famille.  Les supports clés en main avec des leçons et les exercices interactifs sont faciles à utiliser et parfaitement en ligne avec le programme scolaire.

Hootop, un prix abordable et dégressif si l’on a plusieurs enfants

L’application est au prix de 6,99 € par mois sans engagement. Le tarif annuel est de 69,90 € (soit environ 2 mois offerts). L’application est utilisable pour toute la famille soit jusqu’à 3 enfants avec un seul abonnement.

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