Vue lecture

Heinrich von Kleist, le génie tragique du journalisme littéraire

Le 1er octobre 1810, un journal inédit voit le jour à Berlin : les Berliner Abendblätter, ou Feuilles du soir berlinoises. À la tête de cette entreprise, l’écrivain, poète et dramaturge Heinrich von Kleist, qui en assure la rédaction en chef et l’essentiel du contenu. Sa ligne éditoriale est claire : offrir un divertissement au lecteur, mais sans jamais sombrer dans la légèreté gratuite. 

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Un prof idéaliste dans un lycée en déclin

En ce jour de rentrée, notre protagoniste s’est apprêté avec soin, prêt à conquérir, tel un jeune chevalier, le lycée Célestin-Pharamont où il s’apprête à enseigner le français pour les années à venir. Fraîchement auréolé de brillants résultats au concours, il porte haut l’idéal de la transmission. Pour lui, enseigner n’est pas une simple profession : c’est un appel, une vocation, presque une raison d’exister.

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Fille d’Iran, prisonnière de la loi des hommes

En Iran, selon la loi islamique, le père de famille est propriétaire du sang de ses enfants et ne peut donc être poursuivi pénalement s’il s’en prend à sa progéniture. De là découle en partie la construction de la société iranienne où l’homme a les pleins pouvoirs, notamment sur les femmes, en toute impunité.

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Ce que les mères taisent

Un soir, Amani, soixante-sept ans, femme de ménage à la retraite dans une cité HLM paisible en bordure de forêt, s’en va. Pas de dispute, pas de cris, pas de valise non plus. Juste une casserole de pâtes piquantes laissée sur la cuisinière et un mot griffonné à la hâte : « Je dois partir, vraiment. Mais je reviendrai. » 

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